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TSA
Pourquoi avez-vous convoqué, ce dimanche 26 mai, une réunion du bureau du groupe parlementaire du FLN ?
Khaled Bouriah est le chef du groupe parlementaire FLN à l’APN. C’est dans l’objectif d’examiner l’évolution de la situation au sein de l’Assemblée nationale et réfléchir sur les suites à donner au communiqué rendu public par certaines personnes qui comptent parmi les soutiens du président de l’APN Mouad Bouchareb.
Justement comment réagissez-vous par rapport à ce groupe de députés qui ont décidé de rendre public un communiqué en soutien au président de l’APN ?
Justement après les débats qu’on a eus au sein du bureau du groupe parlementaire, il s’est avéré que ces personnes-là ont bénéficié d’avantages au sein de l’APN qui les a poussé à dévier de la ligne du parti. C’est dans cette optique que nous avons rendue public, ce dimanche un communiqué pour clarifier les choses.
Quel est le nombre exact de ces députés opposés à la ligne du parti ?
C’est un groupuscule qui est utilisé par le président de l’Assemblée nationale et qui ont reçus des avantages contraires aux textes de l’institution.
Pourquoi dites-vous que c’est un groupuscule alors qu’eux se targuent d’être nombreux ?
J’ai téléphoné un à un à l’ensemble des députés du FLN. Ces derniers ont déclaré récuser de signer un quelconque communiqué autre que celui du groupe parlementaire officiel
De quels avantages bénéficient les députés que vous dénoncez ?
L’un des avantages concerne l’obtention de véhicules par ces députés qui n’ont pas droit à cela. Les présidents de groupes parlementaires, les présidents de commissions ou les vice-présidents de l’assemblée nationale sont les seuls qui ont droit à des véhicules de l’APN. L’autre avantage se décline à travers le fait que ces députés que nous dénonçons emploient leurs proches au niveau de l’APN. Il y en a même ceux qui emploient jusqu’à 6 ou de 7 proches au sein de l’institution.
Des députés emploient jusqu’à 7 proches à l’Assemblée nationale ?
Oui. Il y en a ceux qui emploient leurs enfants, leurs épouses, leurs belles-sœurs et leurs neveux. C’est une vérité. Et l’autre avantage dont a bénéficié ce groupuscule ce sont les missions à l’étranger, mais sans aucune plus-value. Il faut savoir que ce petit groupuscule qui bénéficie d’avantages est instrumentalisé par Bouchareb pour créer des tensions au sein du parti.
Y-a-il une scission au sein du groupe parlementaire ?
Non. Le groupe parlementaire est uni, discipliné et unanime dans son soutien à la direction du parti. Exception faite d’un groupuscule qui bénéficie d’avantages dont je vous ai fait état.
Qu’allez-vous faire face au refus de Bouchareb de démissionner de son poste ?
Lui demeure et nous persistons à militer pour son départ conformément au vœu du mouvement salvateur du 22 février que nous soutenons. Quand on lui a demandé de partir, Bouchareb nous a dit qu’il a consulté des hautes sphères à ce propos et qu’il attend leur réponse avant de prendre sa décision. Mais dans tous les cas de figure, nous avons décidé de nous mettre du côté du peuple et nous comptons coûte que coûte tenir notre promesse et satisfaire la revendication relative au départ de Bouchareb.
Pourquoi avez-vous convoqué, ce dimanche 26 mai, une réunion du bureau du groupe parlementaire du FLN ?
Khaled Bouriah est le chef du groupe parlementaire FLN à l’APN. C’est dans l’objectif d’examiner l’évolution de la situation au sein de l’Assemblée nationale et réfléchir sur les suites à donner au communiqué rendu public par certaines personnes qui comptent parmi les soutiens du président de l’APN Mouad Bouchareb.
Justement comment réagissez-vous par rapport à ce groupe de députés qui ont décidé de rendre public un communiqué en soutien au président de l’APN ?
Justement après les débats qu’on a eus au sein du bureau du groupe parlementaire, il s’est avéré que ces personnes-là ont bénéficié d’avantages au sein de l’APN qui les a poussé à dévier de la ligne du parti. C’est dans cette optique que nous avons rendue public, ce dimanche un communiqué pour clarifier les choses.
Quel est le nombre exact de ces députés opposés à la ligne du parti ?
C’est un groupuscule qui est utilisé par le président de l’Assemblée nationale et qui ont reçus des avantages contraires aux textes de l’institution.
Pourquoi dites-vous que c’est un groupuscule alors qu’eux se targuent d’être nombreux ?
J’ai téléphoné un à un à l’ensemble des députés du FLN. Ces derniers ont déclaré récuser de signer un quelconque communiqué autre que celui du groupe parlementaire officiel
De quels avantages bénéficient les députés que vous dénoncez ?
L’un des avantages concerne l’obtention de véhicules par ces députés qui n’ont pas droit à cela. Les présidents de groupes parlementaires, les présidents de commissions ou les vice-présidents de l’assemblée nationale sont les seuls qui ont droit à des véhicules de l’APN. L’autre avantage se décline à travers le fait que ces députés que nous dénonçons emploient leurs proches au niveau de l’APN. Il y en a même ceux qui emploient jusqu’à 6 ou de 7 proches au sein de l’institution.
Des députés emploient jusqu’à 7 proches à l’Assemblée nationale ?
Oui. Il y en a ceux qui emploient leurs enfants, leurs épouses, leurs belles-sœurs et leurs neveux. C’est une vérité. Et l’autre avantage dont a bénéficié ce groupuscule ce sont les missions à l’étranger, mais sans aucune plus-value. Il faut savoir que ce petit groupuscule qui bénéficie d’avantages est instrumentalisé par Bouchareb pour créer des tensions au sein du parti.
Y-a-il une scission au sein du groupe parlementaire ?
Non. Le groupe parlementaire est uni, discipliné et unanime dans son soutien à la direction du parti. Exception faite d’un groupuscule qui bénéficie d’avantages dont je vous ai fait état.
Qu’allez-vous faire face au refus de Bouchareb de démissionner de son poste ?
Lui demeure et nous persistons à militer pour son départ conformément au vœu du mouvement salvateur du 22 février que nous soutenons. Quand on lui a demandé de partir, Bouchareb nous a dit qu’il a consulté des hautes sphères à ce propos et qu’il attend leur réponse avant de prendre sa décision. Mais dans tous les cas de figure, nous avons décidé de nous mettre du côté du peuple et nous comptons coûte que coûte tenir notre promesse et satisfaire la revendication relative au départ de Bouchareb.
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