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L’Espagne mise sur l’Algérie pour se renforcer au Maghreb
Pour le roi d’Espagne, l’Algérie est l’un des pays prioritaires pour l’investissement et le développement des relations économiques avec le Maghreb.
lundi 19 mars 2007.
l'Algérie est considérée comme un marché stratégique pour l'Espagne « Au-delà du secteur de l’énergie, de nombreux domaines de coopération existent entre les deux pays », a relevé l’actuel locataire du palais royal à Madrid (Zarzuela). Le ministre espagnol de l’Industrie, du Tourisme et du Commerce, Juan Clos, l’a souligné jeudi à Alger : « l’Algérie est considérée comme un marché stratégique pour l’Espagne » et va même jusqu’à parler d’une « alliance stratégique entre nos deux pays ».
Ce que confortent les dirigeants algériens en faisant remarquer, comme le résume le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem, que l’Algérie, « associée au marché commun européen » depuis maintenant un an et demi (septembre 2005), offre des opportunités d’investissement parfois inexistantes ou alors très inférieures ailleurs. Et c’est le cas concernant l’accès à l’énergie à bon prix et à la main-d’œuvre qualifiée.
Les indicateurs de l’économie algérienne, ces dernières années, sont au vert : un taux de croissance moyen de 5%, un taux d’inflation de moins de 3%, un taux de chômage réduit de 30 à 15%, des entreprises industrielles (près de 163 000 dont 110 000 privées) de plus en plus nombreuses à être ambitieuses, etc. Bref, le marché algérien est à la fois attractif et prometteur avec ses quelque 34 millions de consommateurs, ce qui ne manquera pas de susciter des convoitises pour les entreprises en phase d’internationalisation.
Pour le roi d’Espagne, l’Algérie est l’un des pays prioritaires pour l’investissement et le développement des relations économiques avec le Maghreb.
lundi 19 mars 2007.
l'Algérie est considérée comme un marché stratégique pour l'Espagne « Au-delà du secteur de l’énergie, de nombreux domaines de coopération existent entre les deux pays », a relevé l’actuel locataire du palais royal à Madrid (Zarzuela). Le ministre espagnol de l’Industrie, du Tourisme et du Commerce, Juan Clos, l’a souligné jeudi à Alger : « l’Algérie est considérée comme un marché stratégique pour l’Espagne » et va même jusqu’à parler d’une « alliance stratégique entre nos deux pays ».
Ce que confortent les dirigeants algériens en faisant remarquer, comme le résume le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem, que l’Algérie, « associée au marché commun européen » depuis maintenant un an et demi (septembre 2005), offre des opportunités d’investissement parfois inexistantes ou alors très inférieures ailleurs. Et c’est le cas concernant l’accès à l’énergie à bon prix et à la main-d’œuvre qualifiée.
Les indicateurs de l’économie algérienne, ces dernières années, sont au vert : un taux de croissance moyen de 5%, un taux d’inflation de moins de 3%, un taux de chômage réduit de 30 à 15%, des entreprises industrielles (près de 163 000 dont 110 000 privées) de plus en plus nombreuses à être ambitieuses, etc. Bref, le marché algérien est à la fois attractif et prometteur avec ses quelque 34 millions de consommateurs, ce qui ne manquera pas de susciter des convoitises pour les entreprises en phase d’internationalisation.