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CPP - Fekhar, mourir au printemps pour que fleurisse la liberté des braves
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http://www.algerie-dz.com/forums/sho...57&postcount=1
Dans un monde de paroles et de pensées libres, la persécution n'est pas inscrite dans la Constitution, Nationale et Internationale, ni même absente des codes de la civilité et autres statuts portés en délibérés, et sans aller chercher pour l'heure les signes médicaux et biologiques d'une valeur possible et modérée, comme tout mouvement pacifique n'appelle à l'ignorance, à la violence, à l'intolérance, mais le sujet, une nouvelle fois parmi tout autre, entièrement comparables en irresponsabilités de décisions, puisque incompatibles à la justesse et à la sagesse commune, et, le plus dérangeant, complètement incompréhensibles aux valeurs* cadres et légitimes de la Citoyenneté, ici dramatiquement éprouvées*, par la vie d'un homme parmi les autres, de sa famille parmi les autres, de toutes légitimités parmi la sienne, expose dans sa totale contradiction, la profonde immoralité et la conséquente inhumanité des instances d'une Autorité Omnisciente et Populaire, aujourd'hui indifférente et peut être en deuil...
Bien Vous...
merci......Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.
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je l'ai toujours pensé il faut mosabisé l'ALgérie
Les événements qui se sont déroulés il y a quelques temps ont été une opération de division qui a bien marché à l'époque.
Les morpions (mouches-pions pour les intimes) avaient réussi, contrairement à aujourd'hui à faire s'opposer les populations qui sont tombées dans le piège.
Certains lahjaress ont été utilisés pour créer les violences et discréditer le mouvement.
J'ai vu un journal d'une certaine presstituée (ennahcanard wc hachakoum) profiter de la mort de Fekhar pour insulter ce militant des droits de tous les algériens sans exception.
Seuls les harka-mouches d'une certaine journaloperie peuvent semer la fitna.
La fitna : leur marque de fabrique.“Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.
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