Ils sont fragiles nos petits muslims de pacotille.
Ils se déguisent parfois (barbe, gandoura, claquettes) mais n'ont pas la foi nécessaire pour résister au jeûne à priori.
C'est drôle, des gens mangent tous les jours devant des musulmans ailleurs sans problème.
Les mounafiqhs ont dû avoir un mandat de dieu pour juger en son nom.
Ils se déguisent parfois (barbe, gandoura, claquettes) mais n'ont pas la foi nécessaire pour résister au jeûne à priori.
C'est drôle, des gens mangent tous les jours devant des musulmans ailleurs sans problème.
Les mounafiqhs ont dû avoir un mandat de dieu pour juger en son nom.
Ramadan en Algérie : un étudiant diabétique sauvagement agressé pour avoir mangé
Par Pica Ouazi
Un étudiant s’est fait tabasser et a grièvement été blessé à l’œil, le 11 mai au campus universitaire d’Alger-2 (Bouzareah), pour ne pas avoir respecté le jeûne durant ce mois de ramadan.
Mohamed T., un étudiant diabétique avec un début de cancer du foie s’est isolé derrière une bâtisse pour manger et prendre ses médicaments en toute discrétion, quand deux individus arrivent et le rouent de coups sans même lui laisser le temps de s’expliquer.
Transporté à l’hôpital, le médecin, après lui avoir prodigué les soins nécessaires, lui a délivré un certificat médical d’incapacité de travail de 5 jours, et lui a notamment conseillé de rester chez lui sous surveillance pendant les jours qui viennent.
Cette agression vient après celle de la jeune fille lynchée hier 11 mai pour les mêmes raisons. Ce climat s’installe chaque mois de carême, où des polémiques se déclenchent sur la liberté des citoyens à observer ou non le jeûne. Une sorte d’inquisition s’installe alors dans la société, où « une police de mœurs » agit en toute impunité. Des campagnes haineuses sont aussi menées sur les réseaux sociaux afin que les femmes changent leurs habitudes vestimentaires pour ne pas « tenter les jeûneurs ». Cette intolérance, qui remet en cause la liberté de culte et de conscience pourtant garanties par la constitution algérienne, est aussi le fruit de campagnes orchestrées par le courant islamiste qui n’accepte pas l’existence de non-jeûneurs dans la société algérienne. Il reste à savoir si les autorités vont réagir pour mettre fin à ces agissements.
Par Pica Ouazi
Un étudiant s’est fait tabasser et a grièvement été blessé à l’œil, le 11 mai au campus universitaire d’Alger-2 (Bouzareah), pour ne pas avoir respecté le jeûne durant ce mois de ramadan.
Mohamed T., un étudiant diabétique avec un début de cancer du foie s’est isolé derrière une bâtisse pour manger et prendre ses médicaments en toute discrétion, quand deux individus arrivent et le rouent de coups sans même lui laisser le temps de s’expliquer.
Transporté à l’hôpital, le médecin, après lui avoir prodigué les soins nécessaires, lui a délivré un certificat médical d’incapacité de travail de 5 jours, et lui a notamment conseillé de rester chez lui sous surveillance pendant les jours qui viennent.
Cette agression vient après celle de la jeune fille lynchée hier 11 mai pour les mêmes raisons. Ce climat s’installe chaque mois de carême, où des polémiques se déclenchent sur la liberté des citoyens à observer ou non le jeûne. Une sorte d’inquisition s’installe alors dans la société, où « une police de mœurs » agit en toute impunité. Des campagnes haineuses sont aussi menées sur les réseaux sociaux afin que les femmes changent leurs habitudes vestimentaires pour ne pas « tenter les jeûneurs ». Cette intolérance, qui remet en cause la liberté de culte et de conscience pourtant garanties par la constitution algérienne, est aussi le fruit de campagnes orchestrées par le courant islamiste qui n’accepte pas l’existence de non-jeûneurs dans la société algérienne. Il reste à savoir si les autorités vont réagir pour mettre fin à ces agissements.
Commentaire