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Par R. Mahmoudi – Signalée par les services de la coalition internationale, une possible présence de l’insaisissable gourou de Daech, Aboubakr Al-Baghdadi, en territoire libyen provoque la panique en Tunisie où les autorités ont promptement décidé de renforcer la sécurité des frontières sud.
Selon des médias locaux, les autorités tunisiennes prennent très au sérieux une information transmise par les services de la coalition internationale, selon laquelle le chef de l’organisation terroriste autoproclamée «Etat islamique» aurait été localisé dans le Sud libyen. Cette alerte vient conforter les mises en garde lancées par de nombreux observateurs de la scène régionale sur les conséquences de la reprise des hostilités depuis quelques mois entre les deux factions rivales en Libye. Les groupes affiliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et à Daech ont trouvé dans ce pays ravagé par la guerre civile depuis huit ans leur terreau pour élargir leur champ d’action et se redéployer dans les vastes régions du Maghreb et du Sahel.
Très inquiète de la brusque dégradation de la situation sécuritaire en Libye, l’Algérie se sent doublement concernée par les efforts déployés actuellement par différentes parties pour essayer d’amener les belligérants à la table de négociations, en vue de trouver une solution politique et pacifique à la crise.
D’abord, parce que l’Algérie est pleinement engagée dans les démarches diplomatiques qui se poursuivent inlassablement depuis des années. Mais, surtout, parce que la persistance de la violence dans le voisinage oblige les autorités algériennes et son armée à renforcer la surveillance des longues frontières avec ce pays, et à juguler d’éventuels afflux de groupes armés qui profiteraient du chaos qui y règne pour tenter de traverser la frontière.
C’est pourquoi, ce signalement, non encore confirmé, de la présence d’Aboubakr Al-Baghdadi au sud de la Libye interpelle au plus haut point l’armée algérienne, qui doit redoubler de vigilance pour parer à toute éventualité.
R. M.
Selon des médias locaux, les autorités tunisiennes prennent très au sérieux une information transmise par les services de la coalition internationale, selon laquelle le chef de l’organisation terroriste autoproclamée «Etat islamique» aurait été localisé dans le Sud libyen. Cette alerte vient conforter les mises en garde lancées par de nombreux observateurs de la scène régionale sur les conséquences de la reprise des hostilités depuis quelques mois entre les deux factions rivales en Libye. Les groupes affiliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et à Daech ont trouvé dans ce pays ravagé par la guerre civile depuis huit ans leur terreau pour élargir leur champ d’action et se redéployer dans les vastes régions du Maghreb et du Sahel.
Très inquiète de la brusque dégradation de la situation sécuritaire en Libye, l’Algérie se sent doublement concernée par les efforts déployés actuellement par différentes parties pour essayer d’amener les belligérants à la table de négociations, en vue de trouver une solution politique et pacifique à la crise.
D’abord, parce que l’Algérie est pleinement engagée dans les démarches diplomatiques qui se poursuivent inlassablement depuis des années. Mais, surtout, parce que la persistance de la violence dans le voisinage oblige les autorités algériennes et son armée à renforcer la surveillance des longues frontières avec ce pays, et à juguler d’éventuels afflux de groupes armés qui profiteraient du chaos qui y règne pour tenter de traverser la frontière.
C’est pourquoi, ce signalement, non encore confirmé, de la présence d’Aboubakr Al-Baghdadi au sud de la Libye interpelle au plus haut point l’armée algérienne, qui doit redoubler de vigilance pour parer à toute éventualité.
R. M.
c'est sûrement une opération psychologique de l'arabie yehoudite et les émiratis.
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