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Afrique du sud: Les Affaires étrangères toujours entre les mains des amis du Polisario

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  • Afrique du sud: Les Affaires étrangères toujours entre les mains des amis du Polisario

    La composition du nouveau gouvernement de Cyril Ramaphosa comporte quelques nouveautés. Lindiwe Sisulu, une amie du Polisario, a quitté le département des Affaires étrangères. Naledi Pandor, une autre partisane du Front la remplace.

    Après quelques jours de tractations, le président sud-africain a fini par annoncer ce mercredi la composition de son gouvernement. Une équipe réduite composée de 28 ministres contre 36 auparavant et dans laquelle les femmes occupent une importante place, comme l’indique la liste publiée sur site de la présidence.

    «J’ai pris en compte un certain nombre de considérations, notamment l'expérience, la continuité, la compétence, la composition générationnelle et la composition démographique, ainsi que la diversité régionale» a déclaré Cyril Ramaphosa à l’occasion de la présentation de son cabinet.

    Contrairement à ce qui a été annoncé la semaine dernière par des médias sud-africains, le poste de vice-président n’a pas été confié à Mme Nkosazana Dlamini-Zuma. Il est toujours entre les mains de David Mazuba.

    Après une semaine de retard, ce dernier a pu prêter serment mardi 28 mai en sa qualité de député. Les soupçons de corruption qui pesaient sur lui se sont dissipés ; la commission de l’intégrité au sein de l’ANC qui l’a auditionné ayant conclu à son «innocence». «L’ANC félicite le vice-président pour la position exemplaire qu’il a prise et pour la priorité accordée aux intérêts et à la réputation de l’ANC», a indiqué mardi le parti dans un communiqué.

    Ya Biladi.ma

  • #2
    La composition du nouveau gouvernement de Cyril Ramaphosa comporte quelques nouveautés. Lindiwe Sisulu, une amie du Polisario, a quitté le département des Affaires étrangères. Naledi Pandor, une autre partisane du Front la remplace.


    Le Maroc est fotu.
    Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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    • #3
      L' obsession du Maroc il a peur de quoi , une seule vision du monde les pour et très peu nombreux les contre polisario

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      • #4
        Aucune obsession, malgré le développement technologique des télécommunications et du transport ,l'afrique du sud est très lointaine pour peser quoique ce soit,ce qu'ils disent le Maroc ne l'entend pas,et puis la politique extérieure du Maroc suivra son cours et au sein de l'ua pour la contrer.

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        • #5
          La politique sud africaine peut être plus efficace au règlement de ce conflit dans une solution allant dans le sans des revendications du peuple Sahraouie quand tandem avec la provocation de troubles sur le terrain de la zone occupé

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          • #6
            Il faut comprendre la politique sud-africaine. A ce propos, les électeurs votent pour une formation politique et non un pour un candidat. Ceci explique la raison pour laquelle la formation politique instituée par Nelson Mandela- à savoir l'ANC- s'est vue contrainte de rectifier sa politique "adultériste" d'égard au dépositaire de Madiba et dont notamment soutenir tout peuple luttant pour son indépendance.


            - En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n’a pas la mémoire courte, s’engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l’entité sahraouie. Le Polisario ouvre aussitôt un bureau à Pretoria. Mais les pressions américaines, françaises, saoudiennes, puis celles de James Baker – le représentant spécial de Kofi Annan au Sahara – incitent l’Afrique du Sud à reporter sa décision-.


            Jeune Afrique

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