Au Maroc, il semblerait que sa presse outrepasse allègrement à la déontologie en mentant d'une part et d'autre part, se moquer du monde en faisant lien étroit entre un match de football (opium du peuple) et le cas de la colonisation marocaine du Sahara Occidental.
(...).
C’est aussi un déshonneur pour la Tunisie d’avoir été représentée, dans ce niveau de la compétition, par un club de football qui recourt à tricherie et à la tromperie,technique et humaine, pour remporter un duel devant naturellement se dérouler dans l’esprit de la compétition sportive dans laquelle l’équipe perdante reconnait sa défaite et applaudit celle qui l’a gagnée par la sueur des maillots de ses joueurs et la force de leur bravoure. Le valeureux Hannibal ne peut être fier d’eux…
À Rabat, le 26 mai dernier, l’arbitre égyptien, qui avait officié l’aller, recourait au VAR chaque fois qu’on le lui demandait, tout en gardant toujours à l’esprit ou bien les instructions des instances dirigeantes de la CAF ou bien les largesses de ceux à qui profitait son forfait. C’est pourquoi au lieu de donner raison à la raison, il décrétait l’injustice dans ses aspects les plus vils et abjects. Il refusera deux buts au Wydad. Il sera suspendu pour… seulement six mois par la CAF ! Une brebis galeuse,d’une telle effronterie, devrait logiquement être radiée pour donner plus de crédibilité au football africain.
(...).
À tous les étudiants en Sciences politiques, en journalisme et aux chercheurs intéressés par la question du Sahara marocain de retenir la leçon édifiante de Radès pour savoir comment les dirigeants africains corrompus se montraient hostiles au Maroc et à son intégrité territoriale. Ils opéraient à huis-clos sans transmission en direct, sans VAR et ni des dizaines de millions de spectateurs…
L’arbitre Bakary Gassama me rappelle un personnage de triste mémoire pour les Marocains. Il s’agit d’Edem Kodjo, ancien secrétaire général de la défunte Organisation de l’Unité Africaine (OUA) qui s’était personnellement et fortement impliqué dès 1982 pour faire admettre la fantomatique RASD au sein de l’Organisation panafricaine, sur les insistances sonnantes et trébuchantes, disait-on à l’époque, de l’Algérie de Boumediene.
C’est alors que Hassan II a prononcé cette phrase prémonitoire: « Ce qui se passe à l’OUA depuis des années sont des conférences tam-tam… des conférences de danse de Saint-Guy… je dois être isolé de ce cloaque… pour refaire cette Afrique, parce que l’Afrique est bien mal partie (…). L’OUA a besoin d’un assainissement sur le plan moral ».
Cet assainissement moral est plus que nécessaire. Maintenant plus qu’auparavant. Les temps ont changé, et les Africains aussi. Ils méritent des instances sportives dirigées par des personnes dignes de confiance et non par des individus malhonnêtes et desmagouilleurs qui ne peuvent malheureusement que servir d’exemple aux suprématistes blancs et les conforter dans leurs thèses racistes.
Quant au Wydad de Casablanca, il est le vainqueur moral de cette tragédie, plus qu’humiliante pour ses auteurs et ses bénéficiaires. Il est triste pour un club que ses dirigeants et ses fans se sentent gênés toutes les fois qu’ils se trouvent, à l’intérieur du local de leur club, en présence d’un trophée volé à leurs compétiteurs, au vu et au su du monde entier-.
Article 19.ma (extraits)
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C’est aussi un déshonneur pour la Tunisie d’avoir été représentée, dans ce niveau de la compétition, par un club de football qui recourt à tricherie et à la tromperie,technique et humaine, pour remporter un duel devant naturellement se dérouler dans l’esprit de la compétition sportive dans laquelle l’équipe perdante reconnait sa défaite et applaudit celle qui l’a gagnée par la sueur des maillots de ses joueurs et la force de leur bravoure. Le valeureux Hannibal ne peut être fier d’eux…
À Rabat, le 26 mai dernier, l’arbitre égyptien, qui avait officié l’aller, recourait au VAR chaque fois qu’on le lui demandait, tout en gardant toujours à l’esprit ou bien les instructions des instances dirigeantes de la CAF ou bien les largesses de ceux à qui profitait son forfait. C’est pourquoi au lieu de donner raison à la raison, il décrétait l’injustice dans ses aspects les plus vils et abjects. Il refusera deux buts au Wydad. Il sera suspendu pour… seulement six mois par la CAF ! Une brebis galeuse,d’une telle effronterie, devrait logiquement être radiée pour donner plus de crédibilité au football africain.
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À tous les étudiants en Sciences politiques, en journalisme et aux chercheurs intéressés par la question du Sahara marocain de retenir la leçon édifiante de Radès pour savoir comment les dirigeants africains corrompus se montraient hostiles au Maroc et à son intégrité territoriale. Ils opéraient à huis-clos sans transmission en direct, sans VAR et ni des dizaines de millions de spectateurs…
L’arbitre Bakary Gassama me rappelle un personnage de triste mémoire pour les Marocains. Il s’agit d’Edem Kodjo, ancien secrétaire général de la défunte Organisation de l’Unité Africaine (OUA) qui s’était personnellement et fortement impliqué dès 1982 pour faire admettre la fantomatique RASD au sein de l’Organisation panafricaine, sur les insistances sonnantes et trébuchantes, disait-on à l’époque, de l’Algérie de Boumediene.
C’est alors que Hassan II a prononcé cette phrase prémonitoire: « Ce qui se passe à l’OUA depuis des années sont des conférences tam-tam… des conférences de danse de Saint-Guy… je dois être isolé de ce cloaque… pour refaire cette Afrique, parce que l’Afrique est bien mal partie (…). L’OUA a besoin d’un assainissement sur le plan moral ».
Cet assainissement moral est plus que nécessaire. Maintenant plus qu’auparavant. Les temps ont changé, et les Africains aussi. Ils méritent des instances sportives dirigées par des personnes dignes de confiance et non par des individus malhonnêtes et desmagouilleurs qui ne peuvent malheureusement que servir d’exemple aux suprématistes blancs et les conforter dans leurs thèses racistes.
Quant au Wydad de Casablanca, il est le vainqueur moral de cette tragédie, plus qu’humiliante pour ses auteurs et ses bénéficiaires. Il est triste pour un club que ses dirigeants et ses fans se sentent gênés toutes les fois qu’ils se trouvent, à l’intérieur du local de leur club, en présence d’un trophée volé à leurs compétiteurs, au vu et au su du monde entier-.
Article 19.ma (extraits)
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