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Les périmètres sur lesquels Anadarko était impliqué jusqu'à 2010, ce qui n'a pas tellement changé depuis, pour une production propre de brut et autres hydrocarbures annuelle de l'ordre de 23 Millions de barils an, soit à peu près 63.000 barils jour. pour 2.168 Milliards de dollars, avec un résultat net après impôts de 563 Millions de dollars soit environ 25% de ses ventes brutes.
• Il reste à ré estimer sa production actuelle, à actualiser ses revenus en fonction des nouveaux cours du pétrole, pour voir s'il y a lieu d'acheter, de voir les investissements nécessaires pour maintenir ou améliorer la production, avant de foncer droit dans un panneau sous la poussée des charlatans et des pseudo ennemis de la France qui leur collent aux fesses, probablement pour rattraper une guerre ou ils n'avaient aucun rôle ou le mauvais rôle.
• Dans ce sillage, Total opère en Algérie dans des domaines divers, autrement plus juteux, certains plus dangereux pour nous comme les schistes, et d'autres qu'on aurait pu faire tout seuls, comme les lubrifiants et les bitumes, et personne n'en parle.
• Au passage les 266.000 Barils de brut jour, du bassin de Berkine, qui sont en réalité 328.000 Bep/J, en y intégrant tous les hydrocarbures, ne sont pas à Anadarko, mais à environ 24,5% sur certains périmètres tels qu’établis sur la carte, soit au grand maximum 80.000 barils jour.
• Et ne représentent au plus que 9% de notre production en déclin, faute d'investisseurs dans un pays à l'administration fantasque, putschiste et corrompue, mais surtout aux mentalités, réfractaires à l’économie de production et branchée sur un partage de butin fumeux ou les plus bruyants sont les premiers servis, et ou les ânes s'accaparent la mangeoire des bœufs après le fruit de leurs labours.
• Ce qui explique que le PDG Actuel de Sontrach et son sinistre, après avoir poussé leur chansonnette nationaliste pour faire taire les Nekkaz and Co, ont mis leur zlabia politique au frigo, pour éviter un conflit avec Anadarko en premier lieu, s'ils refusent le rachat au prix offert par Total, et sabordent son pack africain pour le reste de l'estimation, mais aussi avec Total, qui n'est pas à la portée de la fausse faucille des goumiers reconvertis en z"héros d'après guerre.
• Par contre les Algériens seraient bien inspirés de s’inquiéter de la chute de la production de brut, qui ira en s'accentuant, jusqu'à être en 2020 de 947.000 Barils Jour, avec une exportation de tout juste 441.000 pour le brut, rejoignant ainsi les niveaux de 2001. soit ceux de l'arrivée de la sinistre équipe en partie toujours en place aux commandes du pays.
• La règle morale dicte de critiquer l'action des gouvernants et leur poser des question même quand ils sont les meilleurs qu'on ait jamais eu, et la bassesse ancrée chez certains leur dicte de sublimer les gouvernants en place même quand ils sont pires que les pires au monde, comme c'est le cas chez nous.
• Et cette gale croit que la bassesse est contagieuse de force, contrairement à nous. ✍ Ferhat Ait Ali / 30 Mai 2019
• Il reste à ré estimer sa production actuelle, à actualiser ses revenus en fonction des nouveaux cours du pétrole, pour voir s'il y a lieu d'acheter, de voir les investissements nécessaires pour maintenir ou améliorer la production, avant de foncer droit dans un panneau sous la poussée des charlatans et des pseudo ennemis de la France qui leur collent aux fesses, probablement pour rattraper une guerre ou ils n'avaient aucun rôle ou le mauvais rôle.
• Dans ce sillage, Total opère en Algérie dans des domaines divers, autrement plus juteux, certains plus dangereux pour nous comme les schistes, et d'autres qu'on aurait pu faire tout seuls, comme les lubrifiants et les bitumes, et personne n'en parle.
• Au passage les 266.000 Barils de brut jour, du bassin de Berkine, qui sont en réalité 328.000 Bep/J, en y intégrant tous les hydrocarbures, ne sont pas à Anadarko, mais à environ 24,5% sur certains périmètres tels qu’établis sur la carte, soit au grand maximum 80.000 barils jour.
• Et ne représentent au plus que 9% de notre production en déclin, faute d'investisseurs dans un pays à l'administration fantasque, putschiste et corrompue, mais surtout aux mentalités, réfractaires à l’économie de production et branchée sur un partage de butin fumeux ou les plus bruyants sont les premiers servis, et ou les ânes s'accaparent la mangeoire des bœufs après le fruit de leurs labours.
• Ce qui explique que le PDG Actuel de Sontrach et son sinistre, après avoir poussé leur chansonnette nationaliste pour faire taire les Nekkaz and Co, ont mis leur zlabia politique au frigo, pour éviter un conflit avec Anadarko en premier lieu, s'ils refusent le rachat au prix offert par Total, et sabordent son pack africain pour le reste de l'estimation, mais aussi avec Total, qui n'est pas à la portée de la fausse faucille des goumiers reconvertis en z"héros d'après guerre.
• Par contre les Algériens seraient bien inspirés de s’inquiéter de la chute de la production de brut, qui ira en s'accentuant, jusqu'à être en 2020 de 947.000 Barils Jour, avec une exportation de tout juste 441.000 pour le brut, rejoignant ainsi les niveaux de 2001. soit ceux de l'arrivée de la sinistre équipe en partie toujours en place aux commandes du pays.
• La règle morale dicte de critiquer l'action des gouvernants et leur poser des question même quand ils sont les meilleurs qu'on ait jamais eu, et la bassesse ancrée chez certains leur dicte de sublimer les gouvernants en place même quand ils sont pires que les pires au monde, comme c'est le cas chez nous.
• Et cette gale croit que la bassesse est contagieuse de force, contrairement à nous. ✍ Ferhat Ait Ali / 30 Mai 2019
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