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♦Ou l’Olibrius en Charge du Conseil constitutionnel a t'il lu que le président pour 90 jours, a le droit de convoquer le corps électoral pour d'autres élections, et se farcir 90 jours en plus des 55 qu'il a déjà perdu à dormir et à signer les décisions des autres?
• Comme certains Foukaha New Wave ou piques assiettes des palais, font avec les textes sacrés, ces nouveaux gardiens de ce nouveau Totem juridique, se sont découvert, une exclusivité pour des lectures qui tordent le cou au texte, au droit et même au pays s'il le faut, l'essentiel étant pour eux le système qui les nourrit.
• Il n'y a aucune lecture de l'article 102 qui permette de prolonger le mandat d'un président, dont l'unique mission est d'assurer l'intérim pour 90 jours maximum, si la raison même de sa mission a disparu de facto.
• La lecture la plus proche de la logique et du droit, et surtout de l'esprit du texte, est justement de tirer sa révérence avant même la fin du délai de transmission des pouvoirs devenu sans objet.
• L'article 103 n'a pratiquement rien à voir, avec ce cas de figure, aucun candidat n’étant décédé avant un deuxième tour qui n'aura pas lieu faute de premier.
• Et dans notre cas de figure, en l'absence d'aucun article de ladite constitution qui ait prévu cette situation, ou qui permette au président de ce conseil sans objet lui même, d'en faire la lecture qui arrange les maîtres du jeu ou du moins ce qu'ils pensent être.
• Une lecture de la constitution universelle qu'est la morale la plus élémentaire, consiste à identifier les causes de cette absence d’élection, et en premier lieu les trois oiseaux en charge de leur supervision, comme étant la source de blocage,
• Et de les inviter à se retirer en s'excusant de nous avoir fait perdre trois mois, après nous avoir fait perdre quelques décennies à servir des bandits et des malades mentaux, pour une gamelle de misère.
• Et de laisser ce pays respirer , et organiser des élections avec des têtes dignes de confiance, des règles du jeu claires, et des objectifs tout aussi clairs, dans les meilleurs délais.
• Mais apparemment certains ne cherchent pas la solution, mais leur solution, en jouant sur un bras de force, et le pourrissement, pour imposer leur agenda, et quel agenda!!!, le statu quo de l'illégalité, de l'immoralité et de l’entêtement, .
• Maintenir Bensalah en poste, sans aucune couverture constitutionnelle, maintenant que les lectures tordues sont devenues des repères de légitimité, garantit juste l’échec de la prochaine période comme celle déjà perdue à cause de sa présence,
• Et laisse planer la menace d'un scénario tordu, qui n'a d'autre objet que d'imposer une sortie qui n’intéresse que quelques oiseaux sans projet précis, ou des ambitions risibles si elle n'étaient pas dangereuses pour tous.
• Et garantit en même temps, qu'à un moment donné, nous arriverons bien à un carrefour ou chacun dira ce qu'il compte faire et ses objectifs réels, sans aucun droit de s'attendre à une à autre chose de la part des parties adverses et de la société.
• C’est aussi la preuve que les régimes locaux, n'ont jamais su promouvoir et produire que des aventuriers et des tares incapables de se rendre compte d'un mauvais chemin avant l'impasse.
• Je suis pour l'application des constitutions, comme des codes de la route pour ne pas transformer le champ politique en jungle, mais surtout pour le respect scrupuleux de la lettre et de l'esprit des textes, sans aucune entorse, ni lecture tordue, et surtout pas dépassement ou omission volontaire du droit des autres.
• Et je considère toute entorse, omission, dépassement, ou lecture à contrario, non pas comme une infraction mineure, ou comme semblent le penser certains oiseaux du système un droit régalien acquis par la force du poste.
• Mais comme un crime contre la société, l’état et le pays, et un parjure, que toutes les civilisations respectables du monde, sanctionnent durement.
• La constitution n'est ni un paravent, ni un cache misère intellectuel, mais le seul repère qui permet à tous et à chacun de positionner ses actes à la lumière de ses droits et devoirs envers autrui.
• Or présentement, ce qui disent qu'elle est dépassée, ont peut être tort, de vouloir sortir du sentier balisé.
• Mais sen charge de veiller à son application et qui font le contraire en son nom, n'ont pas tort, mais commettent tout simplement un crime quasi quotidien, qualifié de forfaiture dans toutes les cultures.
• Et tout le monde sait que les forfaitures ne conduisent qu'à d'autres pires, ou à une fin peu glorieuse pour leurs auteurs et leurs adeptes.
• Prendre les gens pour des imbéciles, n'est pas le propre des âmes intelligentes, bien au contraire.
• Car au droit, nul ne peut imposer un droit plus fort, les droits se juxtaposent et ne s'opposent pas.
• Mais à la combine, quiconque peut opposer une autre plus efficace, et à la force il y'a toujours plus fort que soi.
✍ Ferhat Ait Ali / 03 Juin 2019
• Comme certains Foukaha New Wave ou piques assiettes des palais, font avec les textes sacrés, ces nouveaux gardiens de ce nouveau Totem juridique, se sont découvert, une exclusivité pour des lectures qui tordent le cou au texte, au droit et même au pays s'il le faut, l'essentiel étant pour eux le système qui les nourrit.
• Il n'y a aucune lecture de l'article 102 qui permette de prolonger le mandat d'un président, dont l'unique mission est d'assurer l'intérim pour 90 jours maximum, si la raison même de sa mission a disparu de facto.
• La lecture la plus proche de la logique et du droit, et surtout de l'esprit du texte, est justement de tirer sa révérence avant même la fin du délai de transmission des pouvoirs devenu sans objet.
• L'article 103 n'a pratiquement rien à voir, avec ce cas de figure, aucun candidat n’étant décédé avant un deuxième tour qui n'aura pas lieu faute de premier.
• Et dans notre cas de figure, en l'absence d'aucun article de ladite constitution qui ait prévu cette situation, ou qui permette au président de ce conseil sans objet lui même, d'en faire la lecture qui arrange les maîtres du jeu ou du moins ce qu'ils pensent être.
• Une lecture de la constitution universelle qu'est la morale la plus élémentaire, consiste à identifier les causes de cette absence d’élection, et en premier lieu les trois oiseaux en charge de leur supervision, comme étant la source de blocage,
• Et de les inviter à se retirer en s'excusant de nous avoir fait perdre trois mois, après nous avoir fait perdre quelques décennies à servir des bandits et des malades mentaux, pour une gamelle de misère.
• Et de laisser ce pays respirer , et organiser des élections avec des têtes dignes de confiance, des règles du jeu claires, et des objectifs tout aussi clairs, dans les meilleurs délais.
• Mais apparemment certains ne cherchent pas la solution, mais leur solution, en jouant sur un bras de force, et le pourrissement, pour imposer leur agenda, et quel agenda!!!, le statu quo de l'illégalité, de l'immoralité et de l’entêtement, .
• Maintenir Bensalah en poste, sans aucune couverture constitutionnelle, maintenant que les lectures tordues sont devenues des repères de légitimité, garantit juste l’échec de la prochaine période comme celle déjà perdue à cause de sa présence,
• Et laisse planer la menace d'un scénario tordu, qui n'a d'autre objet que d'imposer une sortie qui n’intéresse que quelques oiseaux sans projet précis, ou des ambitions risibles si elle n'étaient pas dangereuses pour tous.
• Et garantit en même temps, qu'à un moment donné, nous arriverons bien à un carrefour ou chacun dira ce qu'il compte faire et ses objectifs réels, sans aucun droit de s'attendre à une à autre chose de la part des parties adverses et de la société.
• C’est aussi la preuve que les régimes locaux, n'ont jamais su promouvoir et produire que des aventuriers et des tares incapables de se rendre compte d'un mauvais chemin avant l'impasse.
• Je suis pour l'application des constitutions, comme des codes de la route pour ne pas transformer le champ politique en jungle, mais surtout pour le respect scrupuleux de la lettre et de l'esprit des textes, sans aucune entorse, ni lecture tordue, et surtout pas dépassement ou omission volontaire du droit des autres.
• Et je considère toute entorse, omission, dépassement, ou lecture à contrario, non pas comme une infraction mineure, ou comme semblent le penser certains oiseaux du système un droit régalien acquis par la force du poste.
• Mais comme un crime contre la société, l’état et le pays, et un parjure, que toutes les civilisations respectables du monde, sanctionnent durement.
• La constitution n'est ni un paravent, ni un cache misère intellectuel, mais le seul repère qui permet à tous et à chacun de positionner ses actes à la lumière de ses droits et devoirs envers autrui.
• Or présentement, ce qui disent qu'elle est dépassée, ont peut être tort, de vouloir sortir du sentier balisé.
• Mais sen charge de veiller à son application et qui font le contraire en son nom, n'ont pas tort, mais commettent tout simplement un crime quasi quotidien, qualifié de forfaiture dans toutes les cultures.
• Et tout le monde sait que les forfaitures ne conduisent qu'à d'autres pires, ou à une fin peu glorieuse pour leurs auteurs et leurs adeptes.
• Prendre les gens pour des imbéciles, n'est pas le propre des âmes intelligentes, bien au contraire.
• Car au droit, nul ne peut imposer un droit plus fort, les droits se juxtaposent et ne s'opposent pas.
• Mais à la combine, quiconque peut opposer une autre plus efficace, et à la force il y'a toujours plus fort que soi.
✍ Ferhat Ait Ali / 03 Juin 2019
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