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Les fidèles de la Grande Mosquée de Reims ont vécu un Aïd al-Fitr particulier mardi 4 juin.
Quelque 500 personnes sont restées confinées dans le lieu de culte musulman après la prière de l'Aïd durant une trentaine de minutes afin d'assurer leur sécurité après qu'un homme a menacé des fidèles sortant de la mosquée d'un pistolet.
Les personnes gérant la sécurité de la mosquée, prévenus de l'incident par des fidèles effrayés, ont alors fermé les portes et prévenu les forces de l'ordre. Ces derniers sont rapidement intervenus et ont interpellé l'individu, un septuagénaire en pyjama tenant des propos incohérents. Son arme était en fait factice, un pistolet à billes.
La piste de l'acte islamophobe a été écartée. Une expertise psychiatrique est en cours. « L'équilibre de cet homme est pour le moins fragile », a fait savoir le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette.
Une fois l'interpellation faite, des militaires de l'opération Sentinelle ont été postés pour surveiller les abords du lieu de culte et rassurer les fidèles.
Benjamin Andria
Quelque 500 personnes sont restées confinées dans le lieu de culte musulman après la prière de l'Aïd durant une trentaine de minutes afin d'assurer leur sécurité après qu'un homme a menacé des fidèles sortant de la mosquée d'un pistolet.
Les personnes gérant la sécurité de la mosquée, prévenus de l'incident par des fidèles effrayés, ont alors fermé les portes et prévenu les forces de l'ordre. Ces derniers sont rapidement intervenus et ont interpellé l'individu, un septuagénaire en pyjama tenant des propos incohérents. Son arme était en fait factice, un pistolet à billes.
La piste de l'acte islamophobe a été écartée. Une expertise psychiatrique est en cours. « L'équilibre de cet homme est pour le moins fragile », a fait savoir le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette.
Une fois l'interpellation faite, des militaires de l'opération Sentinelle ont été postés pour surveiller les abords du lieu de culte et rassurer les fidèles.
Benjamin Andria