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Anadarko Algérie le contrat du siècle 2 . 2

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  • Anadarko Algérie le contrat du siècle 2 . 2



    Dernière modification par nacer-eddine06, 05 juin 2019, 20h11.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Enquête. La BACE, la mystérieuse banque algérienne de Zurich

    La Banque Algérienne du Commerce Extérieur a été créée le 06 Juin 1981 à Zurich en Suisse. L’actuel Président du conseil d’administration de la BACE, Mr Achour ABBOUD, est également PDG de la BNA.

    Nous retrouvons également Ahcène HADDAD, Directeur Général du FNI, comme membre du conseil d’administration de la BACE. La BACE s’est spécialisée depuis des dizaines d’années dans les opérations de financement du commerce extérieur – spécialement les crédits documentaires entre les pays européens notamment et l’Algérie.



    La Banque Algérienne du Commerce Extérieur est une banque commerciale de droit suisse, installée exclusivement sur le territoire helvétique depuis plus de 36 ans. Elle ne possède pas de filiale, succursale ou de bureau de représentation.

    Cette banque de droit Suisse est autonome, même si son capital est détenu par la BNA à hauteur de 50 % du capital et le fonds national des Investissements (FNI) pour le reste du capital qui s’élève à 200 millions de Francs suisses.

    Avec sa propre licence, la BACE opère indépendamment et le principe de consolidation des entités n’est pas applicable. Elle obéit, d’ailleurs, aux règles suisses et aux recommandations relatives ou régissant les activités financières en général.

    Ainsi, la banque s’est engagée à ne pas procéder ou soutenir des activités de blanchiment et de fonds provenant d’activités illicites : corruption, terrorisme… comme nous le montrent les documents que nous vous exposons.

    La BACE serait un prolongement logique de l’affaire des comptes de Khider qui abritaient l’équivalent de 60 millions de francs suisses, ouverts à la Banque Commerciale Arabe à Genève (BCA) depuis la guerre pour l’indépendance comme le démontre ce document :



    C’est Zoheir Mardam Bey, le fils du fondateur de la banque et ‘’ami’’ de Khider qui dirigeait la BCA lorsque l’affaire dite du « trésor du FLN » éclatera et qui précipitera l’expulsion du dirigeant algérien de Suisse.

    L’Algérie, en Juin 1973, comme vous pouvez le lire sur les documents que nous vous proposons, après une longue bataille juridique et un scandale international, a pu avoir gain de cause et récupérer ce trésor de guerre dont le montant avoisinait les 43 millions de francs suisses à l’époque, et surtout hériter d’une banque en Suisse.

    La BACE n’en aura pas fini, pourtant, avec les scandales puisqu’elle a été à nouveau impliquée dans l’affaire les transferts illicites de pots de vin de la Sonatrach sous l’ère de Chakib Khelil.

    Nous vous rappelons qu’à partir de 2003, Chakib Khelil, alors ministre de l’Energie et P-DG de Sonatrach, confia au fonds d’investissement américain Russel Investment et plus précisément à sa succursale basée à Dubaï et dirigée par Farid Bédjaoui, Rayan Asset Management, la gestion du portefeuille de titres diversifié, pour près de trois milliards de dollars selon les dernières estimations.

    Et c’est précisément la BACE qui avait été chargée de «transférer» les fonds de Sonatrach dans les caisses de la Rayan Asset Managment !

    Les comptes de cette banque, pourtant approuvés, comportent des postes et des comptes qui ont suscités l’étonnement d’experts comptables, tels les dépenses d’exploitation liées à l’informatique et à la communication, qui s’élèvent pour l’année 2016 à près d’1,5 millions de francs suisses ! Ce document rend compte de ces dépenses qui soulèvent de nombreuses interrogations et explique que les bénéfices de cette banque algérienne dépassent les 4 millions de francs suisses en 2016. Comment est géré cet argent ?
    Alors la responsabilité des dirigeants de cette banque n’était-elle pas engagée dans la mesure où personne n’a attiré l’attention du gouvernement algérien, la banque d’Algérie sur les transferts illicites?
    Ahcène HADDAD, l’inamovible Directeur du FNI et membre permanent du conseil d’administration de la BACE ne doit-il pas rendre des comptes pour son silence sur l’utilisation de la banque pour transférer des fonds dans une affaire de corruption et de blanchiment alors que, comme précisé plus haut la, BACE a pris un engagement ferme vis-à-vis de la loi Suisse et Algérienne ?

    Enfin qu’en est-il de la fiscalisation des différentes rémunérations des membres du conseil d’administration ? ou du personnel? Les déclarations seraient elle soumises taxation en Algérie ? Plus de détails sur ce lien : https://www.shab.ch/shabforms/servle...&DOCID=3021959

    Les fonds de cette banque appartenant au sacrifice du peuple algérien pendant la guerre de libération et remis aux dirigeants du FLN comme soutien de la cause nationale seront-ils soumis à un audit sérieux quant à leur exploitation et utilisation?

    Une part des bénéfices ne pourrait-elle pas servir à financer des bourses d’études aux meilleurs de nos élèves à l’étranger par exemple ?

    Il y a dans notre pays des magistrats, des élites, des personnes intègres et compétentes qui pourraient soutenir cette honorable cause.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

    Commentaire


    • #3
      le loup c'est celui qui denonce sans arguments

      Le papier n'indique rien d'anormal puisque une entité financiere relais fait le job qu'on lui demande et si c'est pour 1.5 mfrancs suisse en une année pour les moyens informatique si cela englobe la gestion (externalisée) c'est un cout normal.
      Un autre cachir doit chercher a bouter dehors un autre cachir et nous on gobe pas l'ameçon

      Commentaire

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