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Grande Tour solaire

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  • Grande Tour solaire

    J'en veut plusieurs comme ça dans mon pays
    quelqu'un pourrai montrer la video à Boutef ?



    Immense tour solaire qui sera construire au sud-est de l'Australie. Ce projet est baptisé "Le Projet Buronga", organisé par la société Enviromission qui à reçu le feu vert du gouvernement Australien pour construire les tours.

    Le Projet Buronga est sans doute le plan de construction le plus titanesque que l'homme n'ai jamais envisagé. Il s'agit bien là d'une grande preuve de vonlonté d'un état de réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Et pourtant, l'Australie, fonctionnant principalement au charbon, fait partie des 2 états qui n'ont pas ratifiés le protocole de Kyoto.

    Le principe de cette technologie et de chauffer tout l'interieur du disque en verre, et, par effet de serre, l'air chaud cherchera naturellement une issue pour monter en altitude, là où l'air est frais. En entrant dans la tour, l'air chaud fera ventiler à son passage 32 immenses turbines alternateurs. Plus la tour en béton est haute, plus elle produira d'énergie électrique, non pas de facon linéaire, mais exponentiellement !
    Et quand il fait nuit, la chaleur continue de se propager dans le disque, car des panneaux solaires délivrerons la chaleur qu'ils ont emmagasinés pendant la journée.
    Selon les calculs, on estime qu'une tour comme celle ci produira [U]200MW/U] si il fait 30°C à l'exterieur, de quoi alimenter une ville d'au moins 250 000 habitants.
    Mais, en réalité, elle en produira plus en raison des températures trés chaudes dans le desert Australien, au moins 40°C par jour toute l'année.

    Selon les sources, les traveaux commencerons dès 2007 pour la première tour, et finiront, si tout se passe bien, vers 2013. Si la tour présente un succes, les 4 autres serons immédiatement érigées à côté de la première, et d'autres tours serons aussi dès l'instant construites au Canada, au Névada, dans le Sun Belt, en Egypte, au Pakistan, en Inde, en Chine et dans pleins d'autres pays à régions desertiques !

    Le soleil est sans aucun doute l'avenir énergitique de l'humanité.
    Dernière modification par absent, 14 novembre 2007, 20h51.

  • #2
    C'est clair qu'avec le potentiel du Sahara il serait bête de passer a coté d'idée comme celle la, la vidéo est géniale, on a l'impression de voir l'avenir du désert Algérien, espérons que nos dirigeant aurons assez de jugement pour investir l'excédent pétrolier dans de tels projet et ainsi préparer l'après pétrole

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    • #3
      Une Tour solaire de 1 000 mètres de haut en Australie


      Son principe est tout simple mais ses dimensions sont tout bonnement gigantesques. Une tour en béton de 1 km de hauteur visible à 80 km à la ronde et entourée de panneaux solaires couvrant une superficie de 5 km2 devrait voir le jour dans le bush australien en 2005. Le gouvernement fédéral a approuvé, en août 2002, le lancement de ce projet mis au point par Jorg Schlaich, un chercheur allemand de l'université de Stuttgart, et qui devrait fournir à terme une puissance maximale de 200 MW.

      "VENT ARTIFICIEL"

      La Tour solaire – c'est son nom – n'attend plus que l'accord du gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud pour que ses promoteurs commencent les travaux au début de l'année prochaine. A terme, 2 700 personnes travailleront sur ce chantier géant. La technique utilisée a déjà fait ses preuves. L'air réchauffé par les panneaux solaires sera dirigé vers une immense cheminée d'un diamètre de 130 m. Sachant que l'air chaud se dirige toujours vers le haut et que la température dans l'atmosphère chute en moyenne de 1 degré tous les 100 m d'altitude, un courant d'air de 35 à 50 km/h soufflera en permanence dans le tube en béton.

      Ce vent artificiel fera tourner trente-deux turbines qui seront construites à la base de la cheminée. Au contraire des autres techniques utilisant l'énergie solaire (des panneaux composés de miroirs chauffent de l'eau qui se transforme en vapeur et alimente des turbines), la centrale mise au point par les chercheurs allemands produira de l'électricité de jour comme de nuit. Sous le clair de lune, la plus haute structure jamais construite par l'homme (les tours Petronas à Kuala Lumpur en Malaisie culminent à 452 m de hauteur et la tour CN à Toronto, au Canada, ne dépasse pas 552 m de haut) devrait fonctionner d'autant mieux que l'air extérieur sera plus frais, accélérant le souffle d'air chauffé par les panneaux solaires.

      Le cabinet allemand Schlaich Bergermann and Partner (SBP) a déjà testé avec succès sa technique. Construite en 1982 à Manzanares, en Espagne, sa première centrale solaire, composée d'une cheminée de 194 mètres de haut et de panneaux couvrant une superficie de 6 000 m2, a produit pendant sept ans 50 MW.

      Pour fonctionner au mieux, une usine de ce type doit être construite dans une région très ensoleillée et disposant de nombreux espaces inhabités. L'Australie est en cela un terrain d'expérience parfait.

      Le site choisi par les promoteurs et le gouvernement fédéral se trouve à Buronga, à 25 km au nord-est de Mildura, à la frontière des Etats de Victoria et de Nouvelle-Galles du Sud, et à 625 km au sud-ouest de Sydney. Cette région, sèche et ensoleillée tout au long de l'année, est également très plate (un facteur déterminant pour la mise en place des panneaux solaires) et proche d'une ligne à haute tension.

      Canberra semble très favorable à ce projet. Le ministère fédéral de l'industrie a décidé, en août, de classer ce programme parmi les grands travaux prioritaires du pays. Plus de 90 % de l'électricité aux antipodes est en effet produite aujourd'hui par des centrales au charbon, fortement polluantes. Pour produire 200 MW et éclairer environ 200 000 foyers, ces centrales génèrent, selon l'Institut australien de l'énergie (AIE), près de 900 000 t de dioxyde de carbone par an, ce qui aggrave le phénomène d'effet de serre. La centrale solaire ne dégage, elle, qu'un courant d'air et une fine buée au sommet de sa cheminée. Elle mettra toutefois deux ans et demi à économiser le volume de dioxyde de carbone dépensé par les producteurs de ses différents composants (acier, verre, béton, turbines...).

      Ce type d'énergie propre devrait connaître un franc succès dans les années à venir. Les pays signataires des accords de Kyoto doivent en effet trouver des méthodes leur permettant de faire chuter, d'ici à 2010, de 5 % leurs émissions de gaz à effet de serre enregistrées en 1990. L'Australie, qui émet le plus gros volume annuel de gaz à effet de serre par habitant au monde (27 t), s'est refusé à ratifier cette convention.

      LES PROMOTEURS CONFIANTS

      Espérant "surfer" sur la vague environnementaliste, les promoteurs du projet de Buronga, réunis au sein d'une société baptisée EnviroMission, ne pensent pas connaître de problèmes pour lever les 380 millions d'euros (une centrale au charbon d'une capacité similaire coûterait environ 340 millions d'euros) nécessaires à la construction de la plus haute structure au monde.

      "Nous pensons que notre demande de financement ne rencontrera pas de grosses difficultés, estime Roger Davey, le patron d'EnviroMission. Notre appel d'offres sera original et nous prévoyons de développer des partenariats avec les sociétés de construction et les fabricants de matériaux avec lesquels nous allons travailler. Nous allons également signer des accords de production d'électricité avec des entreprises qui ont besoin de nouvelles sources d'énergie verte. Le gouvernement fédéral et ceux des différents Etats peuvent aussi nous aider en nous accordant des déductions fiscales." De grands groupes internationaux pourraient également s'intéresser à un tel projet. En juillet, la Banque mondiale a annoncé que dix-sept multinationales, dont BP, Mitsubishi et le géant allemand de l'énergie RWE, avaient créé un fonds commun destiné à compenser leurs émissions de dioxyde de carbone en investissant dans des énergies propres.

      Si le projet de Buronga rencontre le succès escompté, ses promoteurs prévoient de construire en Australie quatre autres centrales similaires d'ici à 2010. Le principal actionnaire d'EnviroMission qui est coté à la Bourse australienne depuis août 2001, Energen Global (il possède 38 % des parts), envisage la construction d'autres centrales solaires en Arizona, au Nevada, en Californie et au Mexique. La société a également acquis les droits pour développer cette technologie en Jordanie, au Vietnam, en Chine, en Inde, au Sri Lanka, au Pakistan, au Canada et en Egypte. Si la centrale de Buronga prouve son efficacité, d'autres tours géantes devraient rapidement être érigées dans des régions désertiques de la planète.

      Frédéric Therin


      Une construction trois fois plus haute que la tour Eiffel

      Un casse-tête de bâtisseurs. Les architectes allemands de la centrale solaire de Buronga ont dû travailler pendant des années pour trouver les solutions techniques aux problèmes posés par cette structure colossale. La cheminée, avec son kilomètre de hauteur, sera plus de trois fois plus élevée que la tour Eiffel (324 m) et près de cinq fois plus grande que la tour Montparnasse (210 m).

      D'un diamètre de 130 m, elle sera construite en béton armé d'une épaisseur de 1 m à sa base et de 25 cm à son sommet. Les 400 000 m3 de béton qui seront utilisés dans cette tour géante seront pompés à partir de plates-formes construites au fur et à mesure de l'érection de la cheminée. Les fondations ne devraient, elles, pas dépasser quatre mètres de profondeur.

      Pour échapper au phénomène d'ovalisation, qui touche toutes les grandes tours creuses en béton, tout en évitant d'adopter la forme concave des cheminées de refroidissement des centrales thermiques, le cabinet Schlaich Bergermann and Partner a eu l'idée d'installer, sur six niveaux différents (280 m, 460 m, 600 m, 730 m, 860 m et 990 m), des câbles de métal horizontaux qui supporteront les parois intérieures de la tour, une technique semblable à celle des rayons de roue de bicyclette. L'impact de la présence de ces câbles sur le courant d'air montant dans la cheminée ne devrait pas dépasser 2 %.

      Les panneaux solaires, qui couvriront une superficie de 5 km2, seront installés sur des structures d'acier construites à 6 m d'intervalle. Sous les milliers de carreaux de verre qui seront posés de 2 à 20 m au-dessus du sol, une température constante de trente degrés devrait être maintenue. Afin de garder en réserve de la chaleur pour les nuits fraîches, des tubes de plastique noir rempli d'eau (l'eau conserve la chaleur six fois mieux que le sol) seront installés sous les panneaux solaires.

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      • #4
        TRENTE-DEUX TURBINES

        A terme, ces énormes serres seront utilisées pour la culture de légumes et de plantes. Pour alimenter les générateurs électriques, la centrale australienne sera équipée de trente-deux turbines d'une capacité de 6,5 MW chacune. A l'origine, ses concepteurs voulaient créer une turbine géante de 90 mètres de diamètre, composée de douze pales en matériaux légers. Mais sa construction s'est avérée très difficile à réaliser. SBP a donc préféré choisir une solution moins risquée en utilisant des équipements déjà disponibles sur le marché. Ce cabinet basé à Stuttgart possède un savoir-faire reconnu par tous les spécialistes. Leader mondial dans la construction de structures "légères", cette société a dessiné les toits en toile tendue du stade olympique de Munich et des arènes de Pusan et d'Inchon, en Corée du Sud, qui ont abrité plusieurs matches de la dernière Coupe du monde de football. SBP a également conçu les halls d'exposition des Foires de Francfort, Hanovre et Düsseldorf, ainsi que de nombreux ponts routiers et ferroviaires à Hongkong et Macao notamment.

        Les usines de montage à Hambourg du futur avion géant d'Airbus, l'A-380, ont aussi été créées par le cabinet allemand. Schlaich Bergermann and Partner s'est également spécialisé dans la construction de centrales solaires. Mais, depuis plus de vingt ans, la société cherche désespérément à trouver des investisseurs qui acceptent de financer ses projets de complexes géants équipés d'une immense cheminée. Le coût d'un tel chantier étant légèrement supérieur à celui d'une centrale thermique conventionnelle, les groupes énergétiques ont longtemps été réticents à se lancer dans une telle aventure. Les accords de Kyoto ont toutefois changé cette donne. Mais, pour savoir si un tel concept est viable d'un point de vue financier, ses promoteurs vont tout d'abord devoir construire cette tour géante. Le défi n'est pas mince.

        Frédéric Therin


        Génie civil et enjeu énergétique, un double défi technologique

        La tour australienne représente un défi technologique, à double titre. D'abord en ce qui concerne le changement d'échelle du principe de la cheminée solaire, qui n'a jusqu'alors été expérimentée en Espagne que sur une structure cinq fois plus petite. Ensuite en matière de génie civil : les tours les plus hautes jamais construites sont deux fois plus petites.

        "Une cheminée, c'est finalement un projet assez pur et normalement, ça devrait marcher", juge cependant Gilles Causse, professeur à l'Ecole nationale des ponts et chaussées, responsable du module béton armé et précontraint, et directeur, chez Bouygues Construction, d'une équipe qui a répondu à n appel d'offres pour une tour de 500 m de haut qui va être construite à Hongkong. De cette expérience, il tire la conclusion que ce projet "sera très cher, mais pas hors d'atteinte". Contrairement aux gratte-ciel, véritables villes verticales, la tour échappe en grande partie aux épineuses questions de sécurité-incendie et d'évacuation des occupants ainsi qu'aux contraintes de fonctionnement (eau, électricité, air conditionné).

        DÉPLACEMENTS DE 10 MÈTRES

        Ici, l'architecture sera presque entièrement gommée au profit du génie civil. Or "la forme circulaire est sympathique car on enregistre la même résistance dans toutes les directions", ce qui simplifie les calculs de tenue de l'édifice – hormis pour la base de la tour qui sera percée pour laisser passer les flux d'air chaud. Le cercle parfait induit en revanche des effets aérodynamiques (tourbillons) au passage du vent. C'est la raison pour laquelle les grandes cheminées industrielles sont ceintes de nervures qui s'enroulent en hélice sur leur face extérieure, afin de favoriser les écoulements d'air.

        "Le vent est le problème fondamental", souligne Gilles Causse. Il pourrait induire des déplacements de 10 m d'amplitude au sommet de la tour. "On peut le tolérer mécaniquement, mais, pour ceux qui y monteront, il faudra être capable de modérer les accélérations." Il sera également nécessaire de dessiner des ascenseurs géants qui n'existent pas aujourd'hui, et imaginer des méthodes de travail inédites pour les équipes travaillant à ces hauteurs vertigineuses.

        Le matériau employé, le béton précontraint, lui, semble bien adapté. "Les meilleurs bétons supportent des contraintes de 10 000 t par mètre carré, ce qui à raison de 2,5 t/ m3 de béton, autorise des hauteurs théoriques de 4 000 m", calcule-t-il. Si l'on tient compte des contraintes supplémentaires induites par le vent, avec une structure de 1 kilomètre de haut, on reste, selon lui, "dans le bas de l'ordre de grandeur du techniquement faisable".

        L'efficacité de la tour solaire "divise un peu la communauté des chercheurs en énergie renouvelable", indique Alain Ferrière, chercheur au four solaire d'Odeillo à Font-Romeu (Pyrénées-Orientales). Le principe de convexion d'air est très simple. "C'est l'équivalent aérien d'une turbine hydraulique. Mais les études théoriques ont montré que pour obtenir un rendement intéressant, il fallait viser le gigantisme", indique-t-il. Mais beaucoup s'interrogent sur les impacts réels de ce changement d'échelle.

        Certains doutent même de l'intérêt de cette énergie en termes de lutte contre l'effet de serre. Eric Hu, de l'université Deakin à Melbourne, cité par le magazine Wired, estime qu'en transformant le rayonnement solaire en air chaud, la tour risque de réchauffer l'atmosphère. Il recommande des études supplémentaires évaluant le bilan écologique avant de lancer des travaux d'envergure.

        Hervé Morin

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        • #5
          Impressionant ! vraiment titanesque ! il porte les couleurs du future ce projet !!

          Incroyable une tour d' 1 Km !!!!!

          Sinon j' aimerais bien savoir la gestion de l'electricité ainsi produite !! car c'est là qu' il y a encore des probleme.

          Normalement une partie de cette electricité est va directement aux consomateur et le reste va dans le systeme de reseau electrique conventile !

          Et le plus souvent le reseau central recoit plus d'electricié solaire (ou eolien) qu' il ne peut emmagaziner (capacité de stockage limité).

          En Allemagne par exemple cett excés d' electricité est souvent devié sur les reseaux des pays voisins et elle fait le tour de 3 ou 4 pays avant de regagner encore une fois l' Allemagne. Ce qui est cause bien sûr des coûts supplementaire et met la rentabilité de ces systemes en question !!

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          • #6
            a mon avis en cas de réalisation d'un tel projet en algerie, la solution aux probleme que tu cite s'appel MEDGAZ, en effet il est envisagé en plus des conduite de gaz de la pose de cables:

            Les deux gazoducs qui relieront l’Algérie et l’Europe, Medgaz et Galsi, seront complétés chacun par la pose de lignes de communication en fibre optique et de câbles afin de transporter de l’électricité produite en Algérie vers le marché européen, selon le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil

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            • #7
              Oui ca sera une solution en effet ! le probleme aura enocre de petits problemes paratiques a regler !! mais c'est ca aussi le but d' insataller de telles systeme aujourdhui tant quand on peut encore la maitriser.

              pour le Sahara, j' vais un professeur en Heliothechnique qui a dit un jour que la meilleur region pour l' installation des systenes solaires est effectivement le Sahara. Car là la densité des rayons solaires est constante durant toute l' année. et il y tout un projet en bon et du forme ladessus.

              Et la consatnce pour un projet technique est enormement importante quand a sa rentabilité.
              Enivisagé est aussi l'export de cette extricité vers l'europe .

              Le probleme est le conflict du Sahara et cette instabilité decourageait les investisseurs dans ce megaprojet !

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              • #8
                http://www.sonelgaz.dz/Potentiels-des-Energies

                Potentiel d’énergie solaire en Algérie
                De par sa situation géographique, l’Algérie dispose d’un des gisements solaires les plus élevés au monde.

                La durée d’insolation sur la quasi totalité du territoire national dépasse les 2000 heures annuellement et peut atteindre les 3900 heures (hauts plateaux et Sahara). L’énergie reçue quotidiennement sur une surface horizontale de 1m2 est de l’ordre de 5 KWh sur la majeure partie du territoire national, soit prés de 1700KWh/m2/an au Nord et 2263 kwh/m2/an au Sud du pays.


                Ce gisement solaire dépasse les 5 milliards de GWh / an.

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                • #9
                  Merci massi pour le complément d'info
                  les promoteurs du projet de Buronga, réunis au sein d'une société baptisée EnviroMission, ne pensent pas connaître de problèmes pour lever les 380 millions
                  Ça ne coutera que 380 millions $ ! franchement ce n'est pas énormément cher qu'attendons nous pour nous joindres aux autres pays :
                  Energen Global (il possède 38 % des parts), envisage la construction d'autres centrales solaires en Arizona, au Nevada, en Californie et au Mexique. La société a également acquis les droits pour développer cette technologie en Jordanie, au Vietnam, en Chine, en Inde, au Sri Lanka, au Pakistan, au Canada et en Egypte. Si la centrale de Buronga prouve son efficacité, d'autres tours géantes devraient rapidement être érigées dans des régions désertiques de la planète.

                  Commentaire


                  • #10
                    surtout qu'un projet comme celui la pourais booster l'objectif de l'Algérie objectif de monter à 5 pour cent la part de l'énergie solaire dans la production d'électricité d'ici 2010


                    "L'Algerie se joint a l'accord de mise en oeuvre du Programme de Concentration Solaire pour la Production d'energie de l'AIE

                    See Related Publication or Event
                    13 January 2003 Paris --- Le Ministre de l'Energie et des Mines de la République Algérienne Démocratique et Populaire, Président Directeur Général de Sonatrach et ancien Président de l'OPEP, M. Chakib Khelil, et l'Ambassadeur William C. Ramsay, Directeur exécutif en fonction de l'Agence Internationale de l'Energie, se sont rencontrés aujourd'hui au siège de l'Agence à Paris pour assister à la cérémonie d'entrée de NEAL (New Energy Algeria) dans le programme d'énergie solaire et de systèmes énergétiques chimiques (SolarPACES) de l'AIE. L'Algérie est le deuxième pays membre de l'OPEP à s'associer à un accord de mise en oeuvre de l'AIE et le premier dans le domaine des énergies renouvelables"


                    Dans le cadre de son engagement à étendre ses capacités de production d'électricité, l'Algérie vise à augmenter la part de l'énergie solaire dans sa production d'électricité jusqu'à 5 pour cent en 2010. Elle souhaite fournir de l'électricité au départ de centrales solaires algériennes en partenariat avec l'Union européenne. Un projet est en cours pour poser deux cables de transmission sous-marins d'une capacité de 1,2 GW chacun, destinés à approvisionner l'Espagne et l'Italie depuis l'Algérie en électricité produite partiellement à base d'énergie solaire. "

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                    • #11
                      Remaruqe

                      En pensant a ce systeme de tour je pense que ce projet est en faite plutot un eolien qu' un systeme solaire ! on dira donc un "eolien solaire" car la puissance electrique est éxtraite du mouvment (la vitesse) de l'air de bas en haut causé par la difference de temperature.

                      Les plaques solaire ici ont le role de chauffer l' air et creer cette difference de temperature (et de densuté) qui favorise ce mouvement.

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                      • #12
                        Exact Tizi le terme "Eolien Solaire" est bien choisi

                        Faut dire que les ingénieurs Allemands sont fort.

                        Commentaire


                        • #13
                          far solitaire, essaie de te renseigner sur les nombreux projets d'éoliennes et de panneaux solaires qui se font dans la province pétrolière de l'Alberta. C'est assez impressionant. Un promoteur immobilier a déjà construit un quartier avec pleins de maisons utilisant des panneaux solaires pour l'électricité et ça marche super bien, l'électricité est stockés sous forme d'eau bouillante dans des citernes. Un autre quartier résidentiel avec 200 maisons est en contruction. Il suffit qu'un idéaliste rencontre un scientifique et les possiblilités sont endless.

                          Je vais essayer de te retrouver ça
                          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                          Commentaire


                          • #14
                            Merci dzmes, si t'as des images ou viedos partage avec nous

                            Commentaire


                            • #15
                              A propos du la tour

                              Au debut des années 80 une petite central de 50 kW se basant sur ce principe a ete contruite a Manzanares au sud de l' espagne pour but de rechrche.

                              Le diametre du Collecteur solaire (voir photo ou video) etait de 122 m et la tour avait une hauteur de 195 m. L' experience a ete un succes complet et l' ionstallation a ete detruite en 1988 quand la partie superieur de la tour a ete detruit par une tempete.

                              A notre que le rendement de ces systemes est tres faible. Raison pourlaquelle elle ne sont a envisager que dans des tres grand projet avec des dimensions hors norme.

                              Pour une capacité de 30 MW par exemple on a besoin de colecteur solaire d' uen surface de 3,8 Mio. m² et une tour 750 Metern !!!

                              C' est donc pas un system pour alimenter le Hammam du quartier

                              Tour solaire

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