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Le Franc CFA, la monnaie qui tue...

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  • Le Franc CFA, la monnaie qui tue...

    Le Franc CFA, la monnaie qui tue...

    Droite des Valeurs
    Gauche du Travail
    Centre "Intérêt de Mon Pays"

  • #2
    Le Franc CFA, la monnaie qui tue...
    .
    Sans aucun doute ..

    Le Franc CFA, la monnaie qui appauvrit les ex-colonie fraçaise ..
    Le franc CFA, un outil de contrôle politique et économique sur les pays africains de la zone franc

    Un héritage du post-indépendance ,AfrikaFrance / FrançAfrique
    le néo-colonialisme avéré pour permettre à la France de garder une relation politique aux services des intérêts de la France officielle ( sorte de colonialisme moderne et cachée )
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #3
      Le Franc CFA n'est pas une exception en Afrique, beaucoup de pays fabriquent leur monnaie à l'étranger c'est encore le cas de l'Algérie qui ne produit qu'une partie de sa monnaie localement le reste est fabriqué en France chez l'ancien colonisateur.

      Comme tout le reste, l’Algérie importe ses billets de banque et ses pièces de monnaie


      2 octobre 2017

      Alors que les experts économiques et financiers de tout poil focalisent sur la faisabilité de l’utilisation de la planche à billets pour sortir de la crise économique et financière aigüe dans laquelle le « programme virtuel de fakhamatouhou » a empêtré l’Algérie, CNPNEWS met l’accent sur le processus et le coût d’impression des dinars en billets de banques et monnaie métallique .

      ÉCLAIRAGE SUR LES BUTS DE LA PLANCHE À BILLETS.

      Les spécialistes en la matière indiquent qu’un des principaux buts de la planche à billets est le rachat de la dette publique des États surendettés : le laxisme monétaire rejoint le laxisme budgétaire, en l’amplifiant dans une spirale destructrice. La planche à billets est la façon qu’ont choisie les étatistes de diluer leur responsabilité en faisant subir à l’ensemble des utilisateurs de la monnaie les conséquences de leurs propres erreurs. Loin d’être un outil capitaliste, c’est un outil collectiviste qui permet de collectiviser les pertes et l’irresponsabilité, les bénéfices restant au profit d’une oligarchie, une nomenklatura, comme en ex URSS et aujourd’hui en Algérie .

      L’intérêt du procédé est qu’aussi bien les bénéfices que les déficits ne sont pas immédiatement ni facilement visibles à l’œil non exercé, ni aisés à rattacher à leur cause originelle, même si les effets n’en sont pas moins sensibles (hausse des prix de certains actifs, enrichissement injustifié de quelques grandes entreprises, grandes banques ou oligarques).
      Une autre finalité de la planche à billets est la prétendue «*relance*» de l’économie. Dans sa forme la plus extrême, la banque centrale pratique l’helicopter money : l’hélicoptère monétaire distribue le nouvel argent directement à la population, espérant stimuler ainsi l’économie. *»

      Mais qu’en est-il par exemple de la faisabilité de la capacité de production à l’impression des billets réels ? Quoique paradoxal, c’est une question centrale que de savoir comment trouver l’argent pour financer la fabrication de nouveaux billets pour remplacer les vieux billets incinérés, détournés, thésaurisés, etc…
      La banque de France consacre environ la moitié de sa capacité de production à l’impression de billets d’autres monnaies étrangères destinés à une vingtaine de pays étrangers dont l’Algérie.

      COMME TOUT LE RESTE, L’ALGÉRIE IMPORTE SES DINARS

      L’Algérie importe à un prix ne défiant aucune concurrence le papier fiduciaire pour imprimer localement à peine 10% de ses besoins en billets de banque. Elle achète à des sociétés allemandes, françaises, belges et même autrichiennes, les matières premières tels que papier, encre, fils, et bien entendu les équipements.

      A la question de savoir la nature du partenariat franco-algérien en termes d’émission de billets de banques, un fonctionnaire de la banque de France répond : « La Banque de France est un acteur de référence sur le marché fiduciaire international. Elle consacre environ la moitié de sa capacité de production à l’impression de billets d’autres monnaies étrangères destinés à une vingtaine de pays étrangers dont l’Algérie » et de poursuivre ; « Notre prestation ne se limite pas à la simple fourniture de billets, elle met également au service de ses banques centrales clientes : son expertise fiduciaire L’analyse de l’authentification des signes monétaires de sécurité, assistance dans la mise en place de laboratoires d’analyse des contrefaçons, de communication, etc…).
      A la question relative aux coûts de fabrication, l’interlocuteur s’est tenu au secret. Il a néanmoins indiqué que le secteur privé de la fabrication de papiers fiduciaires a largement la part belle. « Il faudra aller demander ces détails aux responsables de ce secteur », conclura-t-il.

      Officiellement, l’Algérie conçoit et émet des pièces de monnaie depuis 1988 et les billets de banque depuis 1964, date à laquelle a été créée la Maison des monnaies. C’est au niveau de la Banque d’Algérie que les commandes de billets de banque et monnaie divisionnaire (monnaie métallique) sont effectués sur la base de réservations effectuées par les trésoreries centrales des banques et autres institutions financières.

      Pour être clair, aucun intrant ou presque n’est algérien à 100%. Les usines algériennes assurent l’émission de 10% de billets mis en circulation, tout le reste est fabriqué à l’étranger depuis 1962. L’Algérie commande aussi le papier fiduciaire pour imprimer les billets, ce papier comporte déjà les trois signes de sécurité (bande holographique, filigrane et fil), nécessaires pour la sécurité du billet. Elle importe tous les équipements et produits y compris l’encre indélébile pour le coloriage des billets. Certains dessins sont réalisés par des peintres algériens, citant ici feu M’hamed Isiakhem, le père de la peinture sur papier fiduciaire. Le reste des illustrations sont réalisées par des dessinateurs étrangers.

      Les usines algériennes réalisent néanmoins le montant, ainsi que les numéros des billets sur des planches à billets de marque allemande, française, suisse, autrichienne et belge notamment. La société allemande A. Muller, fut le premier exportateur de presses monétaires à la première petite usine algérienne entre 1963 et 1965 pour marquer symboliquement la souveraineté de l’Algérie. Actuellement, La KBA de Würzburg, en Allemagne et en Autriche assure la fabrication des presses monétaires.

      Avec l’avènement d’Abdelaziz Bouteflika au pouvoir ne jurant que par la France, il a favorisé les sociétés françaises dans l’octroi de ce marché combien sensible au détriment des allemands, suisses, autrichiens et belges. Pis, les sociétés françaises sous-traitent avec des sociétés roumaines et d’autres pays de l’Est, ce qui leur permet de réduire drastiquement le coût et d’augmenter les bénéfices puisque les produits vendus à l’Algérie sont alignés sur les prix de la concurrence des sociétés de l’Europe de l’Ouest.

      S’il y a une question qui brulent les lèvres de l’Algérien averti ou profane, ce serait celle-ci : Monsieur Bouteflika combien coûte au peuple la pléthore de billets de banque que vous fabriquez pour Votre République bananière en totale déchéance ?

      CNPNEWS.

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      • #4
        LockDown

        Ce n'est pas une question de fabrication de la monnaie

        mais une impossibilité pour ces pays de géré leurs monnaie, leurs Or impossible de commercé avec n'importe qu'elle pays sans l'avale de Paris

        tout commerce doit se faire via paris

        les dépôts d'or se font à Paris les resserves monétaire de chaque Etat doivent êtres à au moins 50% à Paris toute autorisation de paiement doit venir de Paris et sans oublier la dévaluation monétaire qui est tout simplement du ressort de paris.
        Dernière modification par Hand, 11 juin 2019, 08h56.
        Droite des Valeurs
        Gauche du Travail
        Centre "Intérêt de Mon Pays"

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        • #5
          du franc cfa on passe au dinar algérien et il y en as qui prétendent ne pas être obsédé par le voisin
          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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          • #6
            J'ai a plusieurs reprise demandè: il se passe quoi si un pays avec le franc cfa l'abandonne, comme l'on fait certains autres pays?
            Pourquoi ne le font ils pas?
            Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

            La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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            • #7
              J'ai a plusieurs reprise demandè: il se passe quoi si un pays avec le franc cfa l'abandonne, comme l'on fait certains autres pays?
              Pourquoi ne le font ils pas?
              .
              Parce que la France impose a ces pays : la personne " toutou " qui préserve les intérêts de l ex -colon ??
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                Le franc cfa a aussi des avantages.
                Voici ce qu'en disent les économistes :

                Quels sont ses avantages?

                Le principal est la stabilité. La création de monnaie étant sous contrôle extérieur, il n'y a pas la tentation de "faire tourner la planche à billets": les pays de la zone franc bénéficient ainsi d'une dette publique limitée (moins de 70% du PIB) et d'une inflation maîtrisée (moins de 3%), quand nombre de leurs voisins se battent avec une inflation en dents de scie.

                Le CFA, en outre, est un atout en terme d'intégration régionale: il facilite les échanges entre pays de la zone, "au bénéfice des économies nationales et des acteurs économiques", selon Noël Magloire Ndoba, ancien doyen de la Faculté d'Economie de l'université de Brazzaville.

                Le franc CFA bénéficie enfin d'une crédibilité internationale qui manque aux autres monnaies de la région, du fait de son lien avec l'euro. "C'est un gage de sécurité auprès des marchés. Et ces pays ont besoin des marchés financiers pour l'investissement", juge Christopher Dembik, économiste chez SaxoBank.
                au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                • #9
                  scipio

                  c'est faux

                  adoptons le Dollar ou l'Euro directement dans ce cas
                  Droite des Valeurs
                  Gauche du Travail
                  Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                  • #10
                    Envoyé par hand
                    adoptons le Dollar ou l'Euro directement dans ce cas
                    Ce n'est pas possible, en raison des critères requis pour faire partie de la zone euro. Les pays africains sont loin de remplir ceux-ci.
                    Il faut :
                    - la stabilité des prix
                    - des finances publiques saines et viables
                    - la stabilité du taux de change
                    - le taux d'intérêt à long terme.

                    Les pays candidats à l'adhésion à la zone euro doivent également veiller à ce que leurs lois et règles nationales prévoient l'indépendance de leur banque centrale nationale et à ce que ses statuts soient conformes aux dispositions des traités et soient compatibles avec les statuts de la Banque centrale européenne (BCE) et du système européen de banques centrales (SEBC).

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                    • #11
                      y'a pas besoin de faire partie du club européen pour utilisé l'euro comme monnaie national

                      un Etat peut utilisé l'euro/dollar/Yen etc.. à la place de sa monnaie national comme le fait le Zimbabwe comme d'autres Etats


                      Président zimbabwéen: « le Zimbabwe ne peut pas se développer s’il continue d’utiliser les monnaies de d’autres pays »

                      Le Zimbabwe va renoncer à l’utilisation de devises étrangères - dont le rand, le dollar américain et d'autres unités - actuellement accepté comme monnaie légale aux côtés du RTGS $ consistant en obligations et en soldes électroniques, a déclaré vendredi le président Emerson Mnangagwa.

                      intellivoire.net
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                      • #12
                        LockDown

                        Ce n'est pas une question de fabrication de la monnaie*

                        mais une impossibilité pour ces pays de géré leurs monnaie, leurs Or impossible de commercé avec n'importe qu'elle pays sans l'avale de Paris*

                        tout commerce doit se faire via paris

                        les dépôts d'or se font à Paris les resserves monétaire de chaque Etat doivent êtres à au moins 50% à Paris toute autorisation de paiement doit venir de Paris et sans oublier la dévaluation monétaire qui est tout simplement du ressort de paris.
                        Oui c'est vrai je suis d'accord mais chaque pays présentent des situations de souveraineté monétaire différente. Le cas de l'Algérie touche à la fabrication donc en cas de crise les européens peuvent facilement faire pression sur l'Algérie et faire tomber le pays en quelques semaines sans tirer la moindre cartouche.

                        Commentaire


                        • #13
                          Parce que la France impose a ces pays : la personne " toutou " qui préserve les intérêts de l ex -colon ??

                          C'est sa la reponse?? ta pas lu la question qui etait simple pourtant, bon sa ne fera que la enieme fois que on accuse sans savoir vraiment le pourquoi
                          Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

                          La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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                          • #14
                            la monnaie est controlé et accepté ou refusé par des groupe multinationaux qui ont presque le commerce mondial entre les mains..comme les ex compagnies des indes ..les arabes avaient eux entre les mùains un empire commercial n'oubliez pas que notre prophète Mohamed sallalhou 3alayhi wassalame faisait du commerce, donc le coté politique de notre prophète n'a jamais été bien étudié par les universitaire on montrait que le coté religieux...

                            de ce coté notre prophéte a presque aneanti le premier reseaux commerciale fait par le prophéte Salomon avant lui..

                            tout l'heritage salomien est tombé entre les mains des arabes..


                            donc y'a un groupe qui sont accaparé de tous le produit de la planéte...
                            ils vont un jour ou l'autre vers le mur..il ya une forte" déliquescence dans les villes mondiales et y'aura plus de producteur je me demande ces groupe demain ils vont vendre quoi?? un homosexuel avec un anneaux dans LES oreille va produire du Thé et du café ??

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                            • #15
                              @mario23
                              La France ne lâche jamais ses ex-colonies , tous les moyens sont bons pour préserver ses intérêts
                              sa géopolitique est néfaste envers toute l Afrique
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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