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Gaid Salah: La lutte contre la corruption n'admet "aucune limite" et "aucune exception" à quiconque

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  • Gaid Salah: La lutte contre la corruption n'admet "aucune limite" et "aucune exception" à quiconque

    ALGER - Le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, a affirmé lundi à Bechar que la lutte contre la corruption n'admet "aucune limite" et "aucune exception ne sera faite à quiconque".

    "Partant du fait que la lutte contre la corruption n’admet aucune limite et qu’aucune exception ne sera faite à quiconque, cette voie sera celle que l’institution militaire veillera à entreprendre avec détermination, posant ainsi les jalons de l’affranchissement de l’Algérie du vice de la corruption et des corrupteurs avant la tenue des prochaines élections présidentielles", a déclaré M. Gaïd Salah qui effectue une visite de travail et d’inspection à la 3e Région Militaire à Béchar.

    "Il y a lieu d’affirmer encore une fois la détermination de l’institution militaire à accompagner la justice, avec une ferme conviction et un sens élevé du devoir, ainsi que de la protéger de façon à lui permettre d’exécuter convenablement ses missions et s’acquitter judicieusement de son rôle de moralisateur, en déterrant tous les dossiers et en les traitant en toute équité quelles que soient les circonstances, de façon à faire comparaitre devant la justice tous les corrompus quels que soient leur fonction ou leur rang social", a-t-il souligné.

    "Permettre à la justice de traiter les lourds dossiers de corruption et mener ses missions à terme, est un devoir national dont l’institution militaire ressent, devant Allah, l’histoire et le peuple, l’impératif d’accomplir, quelles que soient les circonstances", a fait savoir M. Gaïd Salah.

    Pour lui, il apparait "clair aujourd’hui" au peuple algérien à travers tous ces dossiers présentés devant la justice qu’"il a été procédé par le passé et de manière délibérée, à la mise en place des conditions propices à la pratique de la corruption". "Il apparait également à travers cela que ce qu’on appelait à l’époque réforme de la justice n’était malheureusement que des paroles en l’air et des réformes creuses qui, bien au contraire, ont encouragé les corrompus à persister dans leurs méfaits et ont été parrainés pour empiéter les droits du peuple et enfreindre les lois délibérément sans crainte et sans aucune conscience", a déploré le chef d'état-major de l'ANP.

    Il a, dans ce cadre, estimé que "l’heure des comptes est arrivée et le temps d’assainir notre pays de toute personne malhonnête qui s’est laissée tentée de troubler la vie quotidienne du peuple algérien par de telles pratiques et de tout ce qui a obstrué les horizons face aux Algériens et semé la peur, voire le désespoir en l’avenir".

    Par ailleurs, le général de corps d’Armée a souligné que tous les indices confirment que la crise économique que traverse le pays est due, "en premier lieu, à la mauvaise gestion de la part de quelques responsables qui ont bafoué le devoir et le sens de l’engagement et de la responsabilité dont ils sont tenus de porter le fardeau".

    La cause fondamentale de la crise économique dont souffre le pays "est un problème de gestion en premier lieu, à savoir que les deniers publics étaient pour certains gestionnaires, de l’argent commun, voire permis, où ils se servaient à volonté quand ils voulaient en toute impunité et sans contrôle ou considération envers le poids de la responsabilité dont ils portent le fardeau".

    Pour lui, la responsabilité dans sa définition la plus large, la plus exhaustive et la plus correcte est "d’honorer sa parole et avoir bonne conscience et c’est une qualité qui permet à l’homme d’être à la hauteur de son engagement".

    "La responsabilité, dans son sens le plus profond, c’est tenir également son engagement et rester fidèle au serment. Mais ce qui parait étrange, c’est que le gravité des dossiers présentés devant la justice aujourd’hui démontre que les concernés par ces dossiers ont perdu tous les attributs de l’engagement, et les exigences de la responsabilité, du fait de la mise à profit de leurs fonctions, leur influence et leur pouvoir pour transgresser les lois et enfreindre leurs limites et leurs règles", a relevé M. Gaïd Salah.

    "Cette gestion illégale a permis de créer des projets stériles et sans intérêts réels pour l’économie nationale. Ils ont été octroyés de manière sélective, et à des montants astronomiques sous forme de crédits, ce qui a perturbé la cadence du développement en Algérie. Ces pratiques viciées et immorales sont en parfaite contradiction avec la teneur des discours hypocrites de ceux qui les tenaient", a-t-il fait savoir.

    APS
    Dernière modification par Abdu, 17 juin 2019, 19h40.
    F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

  • #2
    Gaid Salah: La lutte contre la corruption n'admet "aucune limite" et "aucune exception" à quiconque
    Allô,son excellence le peuple cherche une solution politique .
    kech ma yella,wella khlli nass li ta3raf tkoum b'el mouhima yarham al waldines..
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      Gaid Salah veut à lui seul régler tous les problèmes de l’Algérie.
      De la surveillance de l'examen du Bac à la corruption dont lui même n'est qu'un fervent adepte.
      Gaid Salah oublie-t-il que pas une seule ville de toute l’Algérie n'est épargnée de la corruption? Faut-il ouvrir les dossiers de tous les ministres, les hauts gradés, les wallis, les chefs de daira, les PDJ, les DJ, les Secrétaires généraux les maires, les chefs d'entreprise etc ...au moins depuis les 20 dernières années.
      F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

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      • #4
        Bon alors quand est-ce qu'il s'auto-défère en justice avec son fils responsable de la mort d'un wali ?
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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        • #5
          Gaid Salah: La lutte contre la corruption n'admet "aucune limite" et "aucune exception" à quiconque
          Sauf qu'on ne peut pas être juge et partie. Pour avoir une justice juste, il faut un nouveau régime.

          Ce qui se passe actuellement c'est de la justice-spectacle !
          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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          • #6
            qui peut juger gaid salah?

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            • #7
              qui peut juger gaid salah?
              Personne ! c'est le nouveau maître à bord qui remplace son autre maître Bouteflika.
              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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              • #8
                non serkouf
                le futur president le jugera si le vote sera nazih

                Commentaire


                • #9
                  Azulkabyle

                  le futur president le jugera si le vote sera nazih
                  Dans l'absolu oui !
                  Morsi a justement essayé de se battre contre un tel régime qui est resté en place et il a eu pour son grade.
                  La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                  • #10
                    >>>cette voie sera celle que l’institution militaire veillera à entreprendre avec détermination

                    C'est le ministre de la justice qui parle ou bien le vice ministre de la défense !

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                    • #11
                      On veut Bouteflika et ceux qu'ils l'ont fait empreure

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                      • #12
                        et qui juge ce mafieux de gaid saleh et son clan?! ya3ni la3ab h'mida o rachem h'mida fi dar h'mida !

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                        • #13
                          GS se prend pour le 1er magistrat du pays... que de perte de temps, ce qu’il prétend faire c’est du normal business d’un gouvernement qui fonctionne à peu près bien. Rien d’extra ordinaire, depuis quand un juge qui fait son travail est synonyme de sauvetage du pays? Et la justice sociale ? Et le chômage ? Et la gestion de la période estivale ? Et la ruine de l’ecole algérienne ? Et l’industrie qu’il faut aider au plan régional et au delà à exporter et les infrastructures et et et ....

                          C’est la preuve que GS fait dans les règlements de comptes et le populisme
                          Votre ennemi c'est celui que vous n'avez pas encore invité à déjeuner Edgar Faure

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                          • #14
                            Hsselna fi jedou cet espèce d'analphabete plus bavard qu'une teyaba de hammam !!
                            Il raconte n'importe quoi ..tous ses discours c'est du n'importe quoi

                            Il ne veut pas comprendre... il bloque le pays..il s'y plait dans son nouveau rôle et fait semblant de ne pas comprendre qu'il fait partie des corrompus et des yetnehaw ga3 :22:
                            مالي و للناس كم يلحونني سفها
                            ديني لنفسي و دين الناس للناس

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                            • #15
                              la muette est devenue tres tres bavarde.

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