Service National à TINDOUF durant les décennies 70 et 80. Y aurait-il eu des séquelles psychologiques ?
J’ouvre ce sujet de discussion en rapport avec les jeunes appelés ayant accomplis leur service national à Tindouf durant les décennies 70 et 80 et des perturbations psychologiques qui s’en sont suivies, tant pour les intéressés que pour leurs proches et amis qui ont les ont côtoyé .
En effet, ayant été jeune durant cette période , au lycée,entre amis... nous entendions par des témoignages , que les jeunes ayant accomplit leurs SN à Tindouf revenaient « m’karkdjine, m’dérangine fi 3qualhoum » , et même que que certains « heblou ». Il nous était parvenu aussi , toujours par des témoignages, que certains se sont suicidés après leur SN.
Ces dires ne concernait que la zone de Tindouf ,exclusivement ! C’était la terreur , l’angoisse de penser que l’on pourrait y aller un jour.
Je suis de ceux qui ont accomplis le SN à Tindouf vers la fin des années 70, et les gens de mon entourage me faisaient beaucoup de remarque quand à mes attitudes sociales, familiales et relationnelles , mais je ne m’en rendais absolument pas compte, je me trouvais tout à fait normal.
Les termes que l’on employait , « m’karkdjine, m’dérangine fi 3qualhoum ...» révélait un malaise psychologique que l’on ne pouvait expliquer par manque de connaissance en matière de psychologie.
Voilà , avez vous des choses à dire sur ce sujet ?
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J’ouvre ce sujet de discussion en rapport avec les jeunes appelés ayant accomplis leur service national à Tindouf durant les décennies 70 et 80 et des perturbations psychologiques qui s’en sont suivies, tant pour les intéressés que pour leurs proches et amis qui ont les ont côtoyé .
En effet, ayant été jeune durant cette période , au lycée,entre amis... nous entendions par des témoignages , que les jeunes ayant accomplit leurs SN à Tindouf revenaient « m’karkdjine, m’dérangine fi 3qualhoum » , et même que que certains « heblou ». Il nous était parvenu aussi , toujours par des témoignages, que certains se sont suicidés après leur SN.
Ces dires ne concernait que la zone de Tindouf ,exclusivement ! C’était la terreur , l’angoisse de penser que l’on pourrait y aller un jour.
Je suis de ceux qui ont accomplis le SN à Tindouf vers la fin des années 70, et les gens de mon entourage me faisaient beaucoup de remarque quand à mes attitudes sociales, familiales et relationnelles , mais je ne m’en rendais absolument pas compte, je me trouvais tout à fait normal.
Les termes que l’on employait , « m’karkdjine, m’dérangine fi 3qualhoum ...» révélait un malaise psychologique que l’on ne pouvait expliquer par manque de connaissance en matière de psychologie.
Voilà , avez vous des choses à dire sur ce sujet ?
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