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Plusieurs intellectuels, avocats et activistes politiques appellent à juger le professeur Rachid Bougherbal. Ils accusent ce dernier d’être coupable d’avoir signé un certificat médical déclarant Bouteflika apte à assurer la fonction de président de la république. Le professeur avait déclaré à l’époque que « l’état de santé du président Bouteflika est excellent, son cœur va très bien et il n’a subi aucune séquelle que ça soit pour la fonction motrice ou sensorielle » avant qu’il soit démenti quelques jours après par le diagnostic des médecins parisiens qui ont affirmé qu’il s’agissait d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Pour ses détracteurs dont l’ordre des médecins, le professeur qui a signé ce certificat a permis à Bouteflika de se présenter aux élections pour un quatrième mandat. Ils affirment que c’est le même professeur qui a permis à l’ex-président de se présenter en 2019. Ils l’accusent d’avoir « menti et failli à son devoir de médecin ». Ainsi ils demandent qu’il soit présenté devant la justice pour rendre des comptes. « Il doit être jugé et radié ce médecin qui a failli au serment d’Hippocrate, et qui a contribué à faire perdurer la dilapidation des richesses du pays par une mafia sans foi ni loi », indiquent les activistes.Il faut rappeler qu’en 2013 maître Ali yahia Abdenour s’interrogeait déjà sur le professeur et son équipe « quelle équipe médicale peut en son âme et conscience, délivrer un tel certificat médical à un malade hospitalisé durant 80 jours au Val de Grace et aux invalides à Paris ? ».
Il faut noter que Rachid Boudeghbal est professeur en cardiologie, il était chef de service à l’hôpital Mohamed Maouche, il était aussi ancien sénateur du tiers présidentiel et président de la commission nationale médicale pour soin à l’étranger. Il assurait la communication officielle sur l’état de santé de l’ex-président au moment où il était hospitalisé à l’étranger.
Cette sale figure doit être attacher en plein centre d'Alger et le livré au rafale de craches de la part de grand publique jusqu'à ce que mort s'en suive, sale crapule
Il faut noter que Rachid Boudeghbal est professeur en cardiologie, il était chef de service à l’hôpital Mohamed Maouche, il était aussi ancien sénateur du tiers présidentiel et président de la commission nationale médicale pour soin à l’étranger. Il assurait la communication officielle sur l’état de santé de l’ex-président au moment où il était hospitalisé à l’étranger.
Cette sale figure doit être attacher en plein centre d'Alger et le livré au rafale de craches de la part de grand publique jusqu'à ce que mort s'en suive, sale crapule
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