« les Nouvelles de Majnūn Laylā » de Qāsim Ḥaddād - Poeme .
Il est l’amour
Dis : il est l’amour
un vent souverain, un verre qui dévoile l’âme et la psalmodie d’un ramier.
Dis : il est l’amour,
et n’écoute que le coeur,
ne te laisse pas distraire,
ne laisse pas la peur s’emparer de toi et assécher ton discours.
Dis-leur en un éclair
Entre le Livre de Dieu et le désir
se glissent tes commandements
et le brouillard de la création s’écroule dans le feu des tentes.
Dis-leur,
tandis qu’ils dorment sur leurs rêves,
tu verras dans la narcisse du désert,
dans la mélopée du luth et le nuage de la poésie un récit et un effondrement.
Dis : il est l’amour
et ce qui doit s’écrouler s’écroulera, et il n’y aura après les fleurs odoriférantes
que l’inconnu des déserts et les détails de la fuite
que la couronne de sable arrachée a nos pieds,
et ce qui nous restera, l’oeil de la poussière le lira.
et ce qui n’a pas de fin ne finira pas.
comme le secret de la mort
et il restera pour nous le pur suicide.
Dis il est l’amour
un chemin un ange auprès de qui nous pleurons, que nous pleurons.
si nous avions eu dans le paradis sur terre un seul portique.
si nous avions possède la pomme de Dieu, nous nous serions prosternes a ses pieds.
chaque fois qu’il nous a confie un secret il nous était familier
et nous avons célébré pour lui l’amour
et nous avons pris la route de nuit pour le rejoindre.
Dis il est l’amour
comme si Dieu ne se penchait que vers toi
n’écoutait que toi,
comme s’il n’était dans la création d’autre fou que toi.
vraiment comme si Dieu n’était la que pour essuyer la tristesse des gens dans ton coeur,
il te rachète et ta rançon, ce sont tes secrets places dans la couronne de l’archange.
Dis il est l’amour
qui a fait faire à Leyla un voyage nocturne
et qui a guidé Qays vers l’eau de la perdition
dis il est l’amour il te voit.
Il est l’amour
Dis : il est l’amour
un vent souverain, un verre qui dévoile l’âme et la psalmodie d’un ramier.
Dis : il est l’amour,
et n’écoute que le coeur,
ne te laisse pas distraire,
ne laisse pas la peur s’emparer de toi et assécher ton discours.
Dis-leur en un éclair
Entre le Livre de Dieu et le désir
se glissent tes commandements
et le brouillard de la création s’écroule dans le feu des tentes.
Dis-leur,
tandis qu’ils dorment sur leurs rêves,
tu verras dans la narcisse du désert,
dans la mélopée du luth et le nuage de la poésie un récit et un effondrement.
Dis : il est l’amour
et ce qui doit s’écrouler s’écroulera, et il n’y aura après les fleurs odoriférantes
que l’inconnu des déserts et les détails de la fuite
que la couronne de sable arrachée a nos pieds,
et ce qui nous restera, l’oeil de la poussière le lira.
et ce qui n’a pas de fin ne finira pas.
comme le secret de la mort
et il restera pour nous le pur suicide.
Dis il est l’amour
un chemin un ange auprès de qui nous pleurons, que nous pleurons.
si nous avions eu dans le paradis sur terre un seul portique.
si nous avions possède la pomme de Dieu, nous nous serions prosternes a ses pieds.
chaque fois qu’il nous a confie un secret il nous était familier
et nous avons célébré pour lui l’amour
et nous avons pris la route de nuit pour le rejoindre.
Dis il est l’amour
comme si Dieu ne se penchait que vers toi
n’écoutait que toi,
comme s’il n’était dans la création d’autre fou que toi.
vraiment comme si Dieu n’était la que pour essuyer la tristesse des gens dans ton coeur,
il te rachète et ta rançon, ce sont tes secrets places dans la couronne de l’archange.
Dis il est l’amour
qui a fait faire à Leyla un voyage nocturne
et qui a guidé Qays vers l’eau de la perdition
dis il est l’amour il te voit.
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