Le financement non- conventionnel, c’est terminé !
Le ministre de Communication et porte-parole du gouvernement, Hassan Rabhi, a fait dimanche une déclaration tonitruante qui ne manquerait pas d’alimenter la chronique politico-économique, dans les prochains jours.
Selon lui, le gouvernement a décidé de mettre fin définitivement à la politique du financement non conventionnel, adopté par le gouvernement Ouyahia en 2017 « pour éviter le recours au fiancent extérieur. »
« Le financement non conventionnel, c’est du passé, le Gouvernement a pris des mesures préventives qui permettront de préserver notre économie contre des chocs », a-t-il déclaré en marge d’un séminaire sur l’environnement dédié à la presse.
Sans donner plus de détails sur les tenants et aboutissants de la décision du gouvernement, Hasan Rabhi a néanmoins soutenu que « le plus important est la responsabilité de la protection de l’économie du pays et la sécurisation de ses instituions est une affaire de tous »
Pour rappel, le montant des crédits accordés au Trésor public avait atteint au 31 janvier 2019 le montant de 6.556 milliards de dinars, selon les chiffres révélés par Ahmed Ouyahia.
Le financement non –conventionnel est une décision prise par le président Bouteflika, puis mise en musique par Ahmed Ouyahia, à travers notamment un amendement à la loi sur la monnaie et le crédit, votée par les deux chambres du parlement.
"L'essentiel est que nous avons préservé la souveraineté de l'Etat sur la prise de décision économique, grâce au financement non conventionnel. Nous aurions pu perdre notre souveraineté économique, si nous avions eu recours au FMI", défendait Ahmed Ouyahia envers et- contre l’avis de la Banque d’Algérie et de nombreux experts économiques redoutant les incidences inflationnistes de ce mécanismes.
A1
23 Juin 2019
Le ministre de Communication et porte-parole du gouvernement, Hassan Rabhi, a fait dimanche une déclaration tonitruante qui ne manquerait pas d’alimenter la chronique politico-économique, dans les prochains jours.
Selon lui, le gouvernement a décidé de mettre fin définitivement à la politique du financement non conventionnel, adopté par le gouvernement Ouyahia en 2017 « pour éviter le recours au fiancent extérieur. »
« Le financement non conventionnel, c’est du passé, le Gouvernement a pris des mesures préventives qui permettront de préserver notre économie contre des chocs », a-t-il déclaré en marge d’un séminaire sur l’environnement dédié à la presse.
Sans donner plus de détails sur les tenants et aboutissants de la décision du gouvernement, Hasan Rabhi a néanmoins soutenu que « le plus important est la responsabilité de la protection de l’économie du pays et la sécurisation de ses instituions est une affaire de tous »
Pour rappel, le montant des crédits accordés au Trésor public avait atteint au 31 janvier 2019 le montant de 6.556 milliards de dinars, selon les chiffres révélés par Ahmed Ouyahia.
Le financement non –conventionnel est une décision prise par le président Bouteflika, puis mise en musique par Ahmed Ouyahia, à travers notamment un amendement à la loi sur la monnaie et le crédit, votée par les deux chambres du parlement.
"L'essentiel est que nous avons préservé la souveraineté de l'Etat sur la prise de décision économique, grâce au financement non conventionnel. Nous aurions pu perdre notre souveraineté économique, si nous avions eu recours au FMI", défendait Ahmed Ouyahia envers et- contre l’avis de la Banque d’Algérie et de nombreux experts économiques redoutant les incidences inflationnistes de ce mécanismes.
A1
23 Juin 2019
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