Après quatre mois, focalisés sur deux noms à enlever, il n y a rien à l'horizon à part, le vide des uns et l'aventurisme de l'autre.
Le uns veulent garantir des élections, sans aucun candidat ni programme, et les autres veulent rester au pouvoir quelque soit le candidat ou programme.
Les uns cherchent une transition sans repères ni délais ni objet précis, les autres sont déjà dans leur transition vers la continuité du système, de ses méthodes et intérêts.
Les uns refusent tout sans rien proposer et encore moins imposer, et les autres imposent n'importe quoi sans rien proposer en refusant de partir.
Dans tout ça, il ne sortira rien de Bon, ni pour les uns, ni pour les autres, et surtout pas pour le pays et ses citoyens.
Les militaires ne feront rien de bon s'ils sont au pouvoir direct, et on en a déjà un aperçu, à part discréditer leur institution une bonne fois pour toutes, en lui collant toutes les dérives, erreurs et errements qui se feront en son nom.
Les "Opposants professionnels" ne feront pas mieux, en s'étripant au premier virage pour des dossiers que la rue à rejeté comme source de querelles, mais qu'eux vont ressusciter comme source d'attraction par la division des rangs.
En quatre mois, il n y a pas l'ombre d'une vision, d'un programme, d'un plan, ni d'une solution des uns et des autres, qui ne se décline soit par la tentation du coup de force aventureux chez les uns, soit sous la formule lapidaire sensée construire un avenir sur des maximes chez les autres.
Au fond chacun croit à une dictature mais qui arrange ses intérêts et visions propres, et tous en besoin du peuple mobilisé, sans croire à son droit et capacité à faire ses choix et les protéger à long terme.
Pour moi le peuple dont je ne suis pas tuteur, a le droit de choisir, le devoir d'assumer, et l'obligation de payer pour être respecté, mais pour lui et pour aucun tuteur improvisé ou imposé par le culot ou par la force.
S'il se trompe, il assume, ce qui ne veut pas dire il subit, et la différence est de taille, ailleurs quand un peuple se trompe, il rectifie le tir par les élections, ou même avant si l'erreur est criminelle en matière de résultat.
S'il ne peut ni assumer, ni rectifier, grand bien lui fasse, c'est qu'il n'est pas exactement un peuple, et dans ce cas, personne ne pourra le sauver malgré lui.
Et celui qui pourra le faire, à ses frais, et à ses risques, ne le fera certainement pas pour lui faire cadeau de ses sacrifices propres pour l'amour d'une génétique commune.
Alors avec un peu de decence, faire à ce peuple le cadeau de le laisser choisir son destin rapidement à travers les urnes, et de se battre pour quelque chose de clair et de visible,
Est l'unique oeuvre utile que tous les gens qui ont parasité le destin de ce pays depuis 57 ans pour les uns et au moins 30 pour les autres, pourraient faire de toute leur triste existence.
sinon, l'avenir va nous éclairer sur les intentions, la valeur et les projets des uns et des autres, qui ne seront pas les seuls projets en place, mais une introduction à d'autres, peut etre plus utiles,et peut etre plus dangereux.
Car le monde est vaste, et chacun attend l'hallali pour entrer en chasse.
même si les chiens sont locaux, les chasseurs seront d'ailleurs. et tout le monde sait que dans les chasse à courre, le Sanglier bléssé, s'en prend aux chiens le chasseur etant loin.
ferhat ait ali
Le uns veulent garantir des élections, sans aucun candidat ni programme, et les autres veulent rester au pouvoir quelque soit le candidat ou programme.
Les uns cherchent une transition sans repères ni délais ni objet précis, les autres sont déjà dans leur transition vers la continuité du système, de ses méthodes et intérêts.
Les uns refusent tout sans rien proposer et encore moins imposer, et les autres imposent n'importe quoi sans rien proposer en refusant de partir.
Dans tout ça, il ne sortira rien de Bon, ni pour les uns, ni pour les autres, et surtout pas pour le pays et ses citoyens.
Les militaires ne feront rien de bon s'ils sont au pouvoir direct, et on en a déjà un aperçu, à part discréditer leur institution une bonne fois pour toutes, en lui collant toutes les dérives, erreurs et errements qui se feront en son nom.
Les "Opposants professionnels" ne feront pas mieux, en s'étripant au premier virage pour des dossiers que la rue à rejeté comme source de querelles, mais qu'eux vont ressusciter comme source d'attraction par la division des rangs.
En quatre mois, il n y a pas l'ombre d'une vision, d'un programme, d'un plan, ni d'une solution des uns et des autres, qui ne se décline soit par la tentation du coup de force aventureux chez les uns, soit sous la formule lapidaire sensée construire un avenir sur des maximes chez les autres.
Au fond chacun croit à une dictature mais qui arrange ses intérêts et visions propres, et tous en besoin du peuple mobilisé, sans croire à son droit et capacité à faire ses choix et les protéger à long terme.
Pour moi le peuple dont je ne suis pas tuteur, a le droit de choisir, le devoir d'assumer, et l'obligation de payer pour être respecté, mais pour lui et pour aucun tuteur improvisé ou imposé par le culot ou par la force.
S'il se trompe, il assume, ce qui ne veut pas dire il subit, et la différence est de taille, ailleurs quand un peuple se trompe, il rectifie le tir par les élections, ou même avant si l'erreur est criminelle en matière de résultat.
S'il ne peut ni assumer, ni rectifier, grand bien lui fasse, c'est qu'il n'est pas exactement un peuple, et dans ce cas, personne ne pourra le sauver malgré lui.
Et celui qui pourra le faire, à ses frais, et à ses risques, ne le fera certainement pas pour lui faire cadeau de ses sacrifices propres pour l'amour d'une génétique commune.
Alors avec un peu de decence, faire à ce peuple le cadeau de le laisser choisir son destin rapidement à travers les urnes, et de se battre pour quelque chose de clair et de visible,
Est l'unique oeuvre utile que tous les gens qui ont parasité le destin de ce pays depuis 57 ans pour les uns et au moins 30 pour les autres, pourraient faire de toute leur triste existence.
sinon, l'avenir va nous éclairer sur les intentions, la valeur et les projets des uns et des autres, qui ne seront pas les seuls projets en place, mais une introduction à d'autres, peut etre plus utiles,et peut etre plus dangereux.
Car le monde est vaste, et chacun attend l'hallali pour entrer en chasse.
même si les chiens sont locaux, les chasseurs seront d'ailleurs. et tout le monde sait que dans les chasse à courre, le Sanglier bléssé, s'en prend aux chiens le chasseur etant loin.
ferhat ait ali
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