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Moudjahid de la première heure, Larbi Alilat tire sa révérence

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  • Moudjahid de la première heure, Larbi Alilat tire sa révérence

    BEJAIA- Moudjahid de la première heure, Larbi Alilat, a tiré sa révérence mardi à Alger à l’âge de 97 ans des suites d’une longue maladie, a-t-on appris mercredi auprès de sa famille.

    Né en Août 1922, à Tinebdar (Sidi-Aich), à 60 km à l’ouest de Bejaia, au cœur du Arch des Ath Ouaghlis, dans la vallée de la Soummam, "Da Larbi" comme l’appelle affectueusement les gens de la région, avait rejoint très tôt le mouvement national en adhérant à l’âge de 17 ans au Parti du peuple Algérien (PPA) et d’y militer jusqu’au déclenchement de la guerre de libération nationale ou dès novembre, il rejoignit les rangs de l’ALN.

    Il avait surtout combattu dans les maquis de la vallée de la soummam et s’était surtout distingué par ses capacités à encadrer les populations civiles dans leur mobilisation et à entretenir leur révolte. C’est cette vertu qui a été mise à profit, du reste, par le FLN pour lui confier l’animation, avec les chouhada Bara Mohand et Bettouche Belkacem, des manifestations du 11 décembre 1960 qui avaient donné alors un nouveau retentissement international à la guerre de libération nationale.

    Tous trois, agissant collégialement au sein du réseau "El Malik" avaient réussi à détourner des manifestations coloniales conçues initialement pour soutenir le projet controversé du général De Gaulle visant à aller vers des élections libres pour l’autodétermination, en un "référendum" et plébiscite populaire en faveur de l’indépendance.

    Da Larbi, à cette époque, venait tout juste d’être libéré de prison, où il avait purgé (1956-1960) une peine de deux ans. Il était entièrement engagé, et pour beaucoup, il faisait partie, bien que discrètement, des grands héros de la Révolution.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Paix a ton ame tonton
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

    Commentaire


    • #3
      Figure emblématique de la révolution Algérienne : Larbi Alilat n’est plus

      L’Algérie a perdu aujourd’hui l’un des derniers authentiques moudjahids de la première heure en la personne de Larbi Alilat. Il est décédé ce mardi matin, apprend -on de sa famille.
      Larbi Alilat, un authentique Moudjahid qui a débuté son action nationaliste en participant à une manifestation anti française en 1937 en compagnie de Lakhdar Bentobal, Rabah Bitat et l’écrivain Malek Haddad. Elèves qu’ils étaient, ils ont dit leur mots avec des pierres à l’occasion des défilés du centenaire de prise de Constantine. Larbi Alilat se voit propulsé à la cheferie du Scouts Musulmans à l’occasion d’un congrès tenu El Khroub.

      Au début des années 40, il participe aux réunions nationalistes de Constantine présidées par Chadli El Mekki.

      Au déclenchement de la révolution, Larbi Alilat assure le recrutement, le contact, l’hébergement et le transit des djounoud de l’ALN dans la vallée de la Soumam et le coté Sud de l’Akfadou. Emprisonné en 1956, il ne sera libéré qu’en juillet 1960.

      Aussitôt hors des geôles, il rejoint la résistance à Alger. Avec Bettouche, Ben Slimane, Bara, il crée le réseau El Malik qui se distingua par la confrontation avec l’OAS.

      Larbi Alilat était à l’origine de l’infiltration des manifestations du 11 décembre 1960, initialement programmées par le Mouvement pour la Communauté, en soutien à De Gaule , et en faire une manifestation pour l’indépendance et de soutien au FLN.

      Arezki Lounis
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Témoignage par Mr Karim Younes.
        DDA LARBI ALILAT N'EST PLUS

        Dda Larbi Alilat,l’un des derniers témoins du mouvement national n’est plus. Il s'est éteint aujourd’hui, 25 juin 2019 à l’âge de 97 ans. Il laisse à tous ceux qui l’ont connu ou approché le souvenir d’un grand militant, d’une sincérité absolue et totalement dévoué à son pays.

        Il a été l’un des acteurs décisifs de la guerre de libération pour avoir connu les prémices de son déclenchement et participé à sa structuration sous la conduite du Commandant Kaci Hamai.

        Arrêté en 1956, il sera placé sous mandat de dépôt, avant d’être libéré en 1960, pour constituer, quelques temps après le « réseau El Malik ». Il poursuivra son combat jusqu’à l’indépendance.

        Après sa détention, il a repris le combat dès sa libération en 1960, en étant parmi les éléments du FLN/ALN qui ont réussi la gageure de détourner les manifestations du 11 décembre, censées accueillir le général de Gaulle, à son arrivée en Algérie.

        Dda Larbi et ses frères de combat ont donné une autre signification, celle de démontrer qu’ils ne voulaient pas de la politique française ni celle, plus insidieuse, de De Gaulle qui consistait à brandir le principe de "l’opium ou le bâton".

        La journée du 11 décembre 1960 est une journée, au cœur de l’histoire, très particulière, durant laquelle le peuple algérien s’est soulevé, spontanément, à travers l’ensemble des villes pour crier haut et fort « Non à l’Algérie française ! ».

        Dda Larbi Alilat qui a vu le jour en 1922 a adhéré au Parti du peuple algérien (PPA) alors qu’il avait tout juste 17 ans. Il rejoint les rangs de l’Armée de libération nationale (ALN) dès le déclenchement de la Révolution, en novembre 1954, dans la région de la Soummam (Basse Kabylie).

        J’ai été heureux d’être associé à l’hommage qui lui a été rendu, en cette date mémorable du 11 décembre, sur son sol natal, la terre des Aith Oughlis plus précisément à Tinebder en présence de ses frères de combat, venus de toute la région.

        Repose en paix Dda Larbi. L’Algérie, la vallée de la Soumman et les montagnes de la dignité te pleurent.

        Karim Younes
        Domicile rue Abou Nouas Hydra (à 50 m de la mosquée)
        Enterrement 26 juin après la prière du Asr .

        Que la vérité soit !
        Alilat LarbiPublié dans El Watan le 21 - 05 - 2007
        Dans les colonnes d'El Watan du 7 avril 2007, questionné par des jeunes désireux de connaître l'histoire de notre guerre de libération dite par certains des acteurs du grand combat, mon ami Mechati Mohamed n'a pas pu cacher son amertume et celle de nombreux autres militants pour certaines insuffisances au déclenchement du 1er novembre 1954.
        Membre des 21 ou 22 de Salembier, Mechati était de ceux qui, depuis le plus jeune âge, n'ont pas cessé « d'attendre » le combat pour la libération de la nation. C'est tout fier qu'il rentra, après Salembier, dans la bonne ville de Constantine, comme pour le grand nombre de militants PPA-MTLD. La l'accueil que lui firent ses amis n'était pas celui qu'il attendait : la majorité n'a pas apprécié qu'on veuille les jeter dans le combat sans leur accord préalable. Constantine ne fut pas présente le 1er novembre et, au désespoir, Mechati alla ailleurs répondre à l'appel du devoir : à Constantine, Messalistes et centralistes n'avaient pas encore mis fin à l'indigne division des meilleurs fils de l'Algérie. Dans la vallée de la Soummam, hélas, la situation était plus grave et les questions posées par les jeunes étaient différentes. Krim Belkacem, chef de la zone III, exigea de Boudiaf et Benboulaïd que la vallée de Béjaïa et ses montagnes soient rattachées à sa zone. Il ne connaissait pas notre région qui, politiquement, dépendait de Constantine et Sétif. Pourtant, tout était prêt pour le combat : Abane Ramdane, avant son arrestation, en avait la direction avec Mahmoud Guenifi à partir de Sétif. Il avait mis sur pied une organisation politique parfaite et son groupe OS (Organisation spéciale) que nous appelions « groupe d'Adekar ». Tout était donc prêt pour l'ultime combat. Krim et Ouamrane mobilisèrent le 1er novembre, les militants dont ils avaient la responsabilité au Djurdjura Nord. Ouamrane alla en renfort dans la Mitidja pour pallier l'absence des militants centralistes. Mais aucun des deux ne pensa à la Soummam où les militants étaient très énervés. Des déplacements de jeunes, de tribu en tribu, à la recherche de renseignements sur le combat qui se déroulait ailleurs. Deux militants étaient particulièrement visés : à Seddouk, Naït Kaâbache Med Akli et à Tazmalt, Larbi Oulebsir. Oulebsir avait quitté la région et Si Med Akli, comme tous les militants avec lesquels il constituait le groupe que nous appelions « groupe de Semaoun », n'avait aucun renseignement pour satisfaire l'attente des habitants qui lui rendaient visite. Hamou Kaci, qui sera fait commandant par le congrès d'Ifri, les officiers Mourah Mokrane et Si Moh Akli furent chargés de contacter le FLN. Ils touchèrent très vite le chahid Amour N'Cheikh, responsable d'Azazga. Ils le reçurent dans la région pour lui donner l'occasion de discuter avec les uns et les autres. Le combat débuta et partout des jeunes cherchaient à s'engager : les villages de toutes les tribus reçurent dignement les groupes de djounoud chargés de les « visiter ». Très vite, la vallée de la Soummam mérita que les Français l'appellent « Vallée pourrie ». Nous oubliâmes notre absence le 1er novembre.
        Dernière modification par nacer-eddine06, 26 juin 2019, 19h12.
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #5
          1960 : l'année de toutes les turbulences
          11 décembre 1960 : le FLN voulait contrecarrer les manifestations des partisans de de Gaulle
          Selon un des responsables du réseau El Malik
          «Une date déterminante pour l'Indépendance»
          11 DECEMBRE 1960 LARBI ALILAT, MEMBRE DU RESEAU D'ALGER
          Les manifestations du 11 décembre 1960 ont été la proclamation "solennelle" de l'indépendance
          «Les manifestations ont été un tournant décisif dans la lutte de Libération nationale»



          1960 : l'année de toutes les turbulences
          Alilat LarbiPublié dans El Watan le 09 - 01 - 2007
          La sauvagerie de ces «guerriers sans peur et sans reproche» ne cacha pas au général de Gaulle l'irréversibilité de la marche du peuple algérien vers l'indépendance. Il inventa, en septembre 1959, un nouveau sens au slogan «autodétermination». Il croyait que ce nouveau terme dans le vocabulaire du colonialisme allait amener, très vite, des Algériens à ses bottes pour constituer cette 3e force à laquelle il aspirait pour tisser avec les «communautaristes» indigènes des liens solides et nouveaux mettant fin au rêve «insolent» des héros du 1er novembre. Dans ce but et pour donner une certaine crédibilité à cette opération, il fit libéré d'anciens militants des partis patriotiques, même modérés, pour les appâter par des élections qu'il affirmait «solennellement» … libres. Les libérés, assez nombreux, se divisent en plusieurs catégories. Il y eut ceux qu'un responsable militaro-policier de de Gaulle recruta dans son MPC pour, écrit-il, les empêcher de retourner au FLN. Nous en reparlerons peut-être un jour. Certains coururent dormir tout leur saoul, la tête posée sur les genoux de leur mère, essayant d'oublier les «mauvais» jours des camps et des prisons mais restants attentifs aux bruits de la guerre et prêts à y courir. D'autres, il faut les appeler des malins, des lâches, des défaillants, préférèrent aller se mettre au service du roi de «l'ouest» qui était certainement notre frère mais sûrement pas notre ami ! Au mieux, ils allèrent se dissoudre, à l'est, dans les services civils, souvent subalternes du FLN. L'un de ceux qui allèrent vers l'est, appelant le «Mézé», fit un détour à La Casbah où, fort de sa qualité d'ancien responsable centraliste, chercha à faire croire à des militants MTLD que les éléments de la Wilaya IV étaient des «bleus». Il renouvela cette abomination à Paris auprès de la fédération de France. C'est ce que me rapporta Me Climan, avocate du FLN, que j'avais l'habitude de recevoir à Alger. Nous étions attablés à la terrasse d'un café de la rue Didouche Mourad, à l'époque la rue Michelet. Elle me dit : «Un responsable est passé à Paris et il a dit aux frères que la Wilaya IV était composée de bleus.» Et de lui répondre : «Très bien, madame, vous êtes assise en face d'un responsable de la Wilaya IV. Je pense que c'est Mézé l'auteur de cette infamie ?» La regardant durement et profitant de son grand étonnement, j'ajoutais : «Si les frères veulent connaître le moral du maquis autour d'Alger qu'ils envoient un de leurs militants et qu'ils n'écoutent plus n'importe quel défaillant non muni d'un laisser-passer écrit du FLN.» J'insistais fortement sur le terme «écrit». Le plus grand nombre, Dieu merci, décidèrent de se réunir souvent délégués par leurs amis qui ne pouvaient être présents dans l'appartement d'un vieux militant, Roudjali Ahmed, rue Hélène Boucher (Belcourt) face au stade du 20 Août. Une discussion sur la situation générale à Alger eut lieu. Un rapport fut rédigé et envoyé, une copie par la Wilaya III, une autre par la Wilaya IV au GPRA à qui nous demandions de nous autoriser à nous organiser avec la qualité de «zone autonome».
          En attendant, nous avions créé le réseau El Malik à la tête duquel nous plaçâmes trois frères de l'assistance : Bara Mohand dit El Malik, Alilat Larbi dit Abdelatif et Bettouche Belkacem. Ce réseau était appelé El Malik, du nom de guerre de notre frère Bara Mohand, que Dieu ait son âme, et activera dans la collégialité, en relation avec la Wilaya IV, notre frère Bettouche ayant déjà des liens avec cette Wilaya. Notre volonté, consciente et délibérée, était de créer au sein de nos masses un état psychologique tel qu'à tout moment nous puissions les mobiliser et les appeler à des actions viriles contre les tenants de l'Algérie française ou gaullienne. Nous devions aussi appeler toutes les autres wilayas, en activant à Alger, à demander à leurs militants de rejoindre notre organisation pour assurer l'unité de nos rangs, tant désirée par les responsables nationaux et par notre peuple. La mission donnée à tous était, à travers toute la ville, de détruire la méfiance productrice de peur, qui paralysait les anciens de la bataille d'Alger et tous les jeunes qui aspiraient à avoir l'occasion de se mesurer aux braillards pieds-noirs. Seulement Tunis, qui considérait ces gesticulations comme une affaire franco-française, nous appelait au calme. En décembre 1960, désespérant de voir de vieux militants et des hommes du FLN-ALN approuver son «autodétermination», le général de Gaulle décida de faire un voyage en Algérie pour faire accepter par notre peuple son nouveau «jouet». Il voulait un 13 mai gaulliste et partout à l'intérieur du pays, les SAS et les SAU commandités par le Mouvement pour la communauté (MPC), le firent recevoir par les cris «Algérie algérienne … Vive de Gaulle» auxquels répondait le cri schizophrénique : «Algérie française». Les médias du monde entier se retrouvèrent à Alger pour assister à un combat décisif entre le chef de l'Etat français et les descendants des rebuts européens recrutés dans les bas fonds des ports de la Méditerranée. Le 10 décembre 1960, le capitaine Bernard (SAU, administration communale) convoqua au stade Biales, où se situaient ses services, tous ceux qui l'écoutèrent par peur ou parce qu'ils travaillaient sous ses ordres. Le 3 décembre 1995 pour une réunion, présidée par Mohamed Chérif Messadia, à la Foire internationale, pour l'écriture de l'histoire de la Wilaya IV, B. Mohamed, dit Hanafi, confirma qu'il se rendit à cette convocation accompagné de Si Tahar T. Voilà une confirmation que ce furent les SAU, surtout Bernard rejoint par Marion de Salembier, qui nous firent ce cadeau précieux : faire descendre notre peuple dans la rue crier son refus charnel de l'occupation étrangère.
          L'étincelle
          Nos frères seront heureux le lendemain, soit le 11 décembre 1960 même s'ils devaient le payer très cher en morts, en blessés et en arrestations, de faire assister les pieds-noires à un festival FLN. Nos adversaires en eurent des sueurs froides. Les manifestations se terminèrent en présence des médias du monde entier par une victoire éclatante de notre peuple… et Krim Belkacem fit entendre à Manhattan les clameurs de Belcourt. L'historien français Yves Courrière écrivit dans son livre Les feux du désespoir : «Le capitaine Kheiredine et le lieutenant Djamel étaient à Alger en septembre 1960.» Il s'est trompé. La Wilaya IV n'avait à l'époque aucune autorité sur Alger sinon celle qu'elle pouvait avoir par le canal du réseau El Malik, les deux frères cités plus haut sont arrivés à Alger au printemps 1961. El Malik et moi-même les avons rencontrés dans une villa à Kouba «apprêtée» par notre ami et compagnon de combat Kessab Nadir et le frère Rabia Mohamed. «Algérie algérienne..» et «…Vive de Gaulle» ne sont certainement pas deux slogans ordonnés par le GPRA par le canal d'une dame, émissaire, arrivée de Tunis… ce qu'affirma un colonel au cours d'une conférence au palais de la culture. Cela est contraire à ce qu'a dit Ferhat Abbas, président du GPRA, au cours d'une conférence de presse à Tunis le 12 décembre 1960. Ce sont les militants d'Alger qui jetèrent dans la foule, le 11 décembre 1960, l'étincelle. Notre peuple, entérinant une historique déclaration de Larbi Ben M'hidi, prit son sort entre ses mains. Au prix de très grands sacrifices, il confirma, une fois de plus, son irréductible refus charnel de l'occupation étrangère. Tous ceux qui affirmèrent, ce décembre 2006, à la radio et à la télévision, qu'ils organisèrent minutieusement les déferlements de Belcourt doivent confondre avec les manifestations des 1er et 5 juillet 1962. A moins qu'ils ne considèrent qu'ils peuvent arranger la vérité alors qu'il faut se plier à elle comme l'a écrit notre regretté ami André Mandouze. Gloire donc à notre peuple… incontestable héros.
          Décembre 2006
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Ce ne fut pas évident pour lui parce qu'il était fils de caïd colonial ce qui lui fut reproché à maintes reprises, il avait répondu aux accusations





            Paix à son âme ...
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              Zwina t es pas une petite cousine par hasard

              on n est pas beaucoup a avoir ce document
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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