L’ancien ambassadeur de l’Algérie à Rome, Abdelhamid Senouci Bereksi va inaugurer, ce dimanche, une ferme, qu’il a achetée dans le sud de l’Italie, plus précisément dans la petite ville pastorale de Laurito .
Durant les tractations autour de la transaction avec les Italiens, Bereksi s’est présenté en sa qualité d’ambassadeur pour acquérir la ferme reposant sur cinq hectares et acquise dans le cadre de l’investissement dans ce qui est connu en Italie l’’’agroturismo’’.
Selon la presse locale, qui rapporte l'information, la structure comprend un motel destiné au tourisme, et les autorités locales escomptent avec l’arrivée de Bereksi, en sa qualité de ‘’VIP diplomatique’’, qu’il a mis en avant, booster la destination de leur bourgade à l’adresse de la Jet set.
Par ces temps de profonds bouleversements en Algérie et une lutte implacable contre l’argent et les transactions occultes, il fallait une sacrée dose de cran pour finaliser une opération pareille.
De ce point de vue, l’ancien diplomate ne peut se prémunir contre la suspicion autour de la provenance de l’argent qui a permis cette transaction, au demeurant couteuse et le trafic d’influence au vu de la qualité dont il s’est prévalu pour la faire aboutir.
Pour rappel, Abdelhamid Bereksi, en poste à Rome depuis décembre 2015, avait été rappelé, avant terme, par le ministère des affaires étrangères MAE en juillet 2018.
algerie1
Durant les tractations autour de la transaction avec les Italiens, Bereksi s’est présenté en sa qualité d’ambassadeur pour acquérir la ferme reposant sur cinq hectares et acquise dans le cadre de l’investissement dans ce qui est connu en Italie l’’’agroturismo’’.
Selon la presse locale, qui rapporte l'information, la structure comprend un motel destiné au tourisme, et les autorités locales escomptent avec l’arrivée de Bereksi, en sa qualité de ‘’VIP diplomatique’’, qu’il a mis en avant, booster la destination de leur bourgade à l’adresse de la Jet set.
Par ces temps de profonds bouleversements en Algérie et une lutte implacable contre l’argent et les transactions occultes, il fallait une sacrée dose de cran pour finaliser une opération pareille.
De ce point de vue, l’ancien diplomate ne peut se prémunir contre la suspicion autour de la provenance de l’argent qui a permis cette transaction, au demeurant couteuse et le trafic d’influence au vu de la qualité dont il s’est prévalu pour la faire aboutir.
Pour rappel, Abdelhamid Bereksi, en poste à Rome depuis décembre 2015, avait été rappelé, avant terme, par le ministère des affaires étrangères MAE en juillet 2018.
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