Lakhdar Bourregaa avait réussi à vaincre la force et l’intelligence de l’ennemi. Aujourd’hui, il vient d’être surpris par la bêtise de ses compatriotes. Mais Ahmed Gaid Salah est-il allé trop loin ? Pas du tout, à croire la dernière sortie médiatique de Djamel Ould Abbès. L’ancien secrétaire général du FLN est sorti de son silence pour répondre à l’appel de la chita. Il prend la défense du général de corps d’armée après la vague d’indignation qui a suivi l’arrestation scandaleuse du Moudjahid Lakhdar Bourregaa. Depuis Berlin, où il passe ses jours avec une poupée gonflable ressemblant à Merkel, l’ancien condamné à mort s’est montré agressif contre l’ancien commandant de la wilaya IV historique.
« Un héros, ça meurt ou ça ferme sa gueule »
Ould Abbès a violemment pris à partie les adeptes de la bien pensance, les zouaves, et tous ceux qui défendent bêtement le Moudjahid Lakhdar Bourregaa. “Fermez-la bande d’ignares ! Cet homme, s’il était un vrai combattant, il serait tombé au champ d’honneur, tout comme moi. Berregaa n’était pas condamné à mort, contrairement à moi. Je risquais d’être buté par Bouteflika à chaque fois que je lui glissais un petit-pont au stade communal d’Ouejda. Quand les tacles nous arrivaient jusqu’au cou, ce mec trimbalait dans les montagnes du Djurdjura. Il tirait quelques balles puis rentrait dans sa grotte, plein d’ennui. Arrêtez vos conneries SVP” déclare-t-il, rouge de colère. Le martyr vivant dit en avoir marre d’être toujours du mauvais coté de l’histoire, pendant qu’on jette des fleurs aux « fellagas ».
El Manchar
« Un héros, ça meurt ou ça ferme sa gueule »
Ould Abbès a violemment pris à partie les adeptes de la bien pensance, les zouaves, et tous ceux qui défendent bêtement le Moudjahid Lakhdar Bourregaa. “Fermez-la bande d’ignares ! Cet homme, s’il était un vrai combattant, il serait tombé au champ d’honneur, tout comme moi. Berregaa n’était pas condamné à mort, contrairement à moi. Je risquais d’être buté par Bouteflika à chaque fois que je lui glissais un petit-pont au stade communal d’Ouejda. Quand les tacles nous arrivaient jusqu’au cou, ce mec trimbalait dans les montagnes du Djurdjura. Il tirait quelques balles puis rentrait dans sa grotte, plein d’ennui. Arrêtez vos conneries SVP” déclare-t-il, rouge de colère. Le martyr vivant dit en avoir marre d’être toujours du mauvais coté de l’histoire, pendant qu’on jette des fleurs aux « fellagas ».
El Manchar
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