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Abdelhamid MEHRI : une démocratie soutenue par l'armée est une démocratie malade ..(Vidéo)

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  • Abdelhamid MEHRI : une démocratie soutenue par l'armée est une démocratie malade ..(Vidéo)

    Une démocratie protégée par l'armée est une démocratie malade..

    En présence de Benbella , Saïd Saidi et de Hanoun ...SVP!


    عبد الحميد مهري رحمه الله..
    "الديمقراطية التي تحتاج إلى الدبابة لحمايتها هي ديمقراطية مريضة. لكن كون الشعب يرتاح لرؤية الدبابة هذا مشكل سياسي .كيف وصلنا إلى هذا؟


    Dernière modification par sako, 01 juillet 2019, 18h49.

  • #2
    C'est tellement vrai ce qu'il dit. Quand la classe politique est faible, l'armée prend le relais.
    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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    • #3
      Des paroles de vérité. Yahassra 3ala le FLN de Abdelhamid MEHRI et celui d’aujourd’hui !
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        Abdelhamid mehri a reçu mission de la part de chadli avec qui il avait des liens familiaux. Il devait éloigner le Fln du pouvoir pour lui permettre de revenir triomphant.

        Nous savons tous ce qui s'est passé.

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        • #5
          C'est tellement vrai ce qu'il dit. Quand la classe politique est faible, l'armée prend le relais.
          Oui, d’un point de vue constitutionnel l’armée est garante de la stabilité politique, mais une démocratie à surtout besoin d’un peuple impliqué politiquement pour la protéger contre toute tentative putschiste.

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          • #6
            Une démocratie se construit dans un minimum de temps, mais avec un minimum de conditions.
            L'Algérie n'a jamais réuni ces conditions justement pour pouvoir à tout moment faire intervenir l'armée contre l'insurrection dévastatrice, mais surtout contre la démocratie.
            En 90, il devait y avoir en principe 3 groupes politiques:
            - le parti du pouvoir
            - le parti islamique
            - les démocrates.
            Si on s'était limité à ces grands choix politiques, si les démocrates avaient dépassé leurs clivages personnels et opté pour la sainte alliance, si l'état avait respecté les règles de libre accès aux moyens de communication, il est absolument certain que les démocrates auraient remportés ces élections haut la main, suivis par les islamistes, et que les partis du pouvoir auraient été éliminés.
            En fin de compte, ce sont les algériens eux-mêmes qui se trompent, ou qui tombent dans les pièges du pouvoir.
            Ou ils ne votent pas, ou ils votent pour un parti pour en sanctionner un autre,
            ou ils ne parviennent pas à s'entendre, à chaque fois c'est la démocratie qui en pâtit, donc le peuple, le pays.
            Normal, on a applaudit l'armée quand elle combattait le terrorisme. On a un peu fermé les yeux sue les exécutions sommaires et les disparus.
            On continue à aimer notre armée malgré certains aspects insolites, quand on voit la folie du terrorisme islamique se répandre partout jusqu'à créer des états islamiques et menacer le monde entier, sauf Israël, vous l'aurez remarqué.
            Mehri était un démocrate, mais aurait pu réagir bien avant, et pas au nom du FLN, parti qui s'est lui-même condamné.

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            • #7
              Si on s'était limité à ces grands choix politiques, si les démocrates avaient dépassé leurs clivages personnels et opté pour la sainte alliance, si l'état avait respecté les règles de libre accès aux moyens de communication, il est absolument certain que les démocrates auraient remportés ces élections haut la main, suivis par les islamistes, et que les partis du pouvoir auraient été éliminés.
              En fin de compte, ce sont les algériens eux-mêmes qui se trompent, ou qui tombent dans les pièges du pouvoir.
              Ou ils ne votent pas, ou ils votent pour un parti pour en sanctionner un autre,
              ou ils ne parviennent pas à s'entendre, à chaque fois c'est la démocratie qui en pâtit, donc le peuple, le pays.
              avec des si on fait des merveilles.

              Bertold Brecht qui critiquait l’immonde dictature Stalinienne et marxiste de RDA avait écrit : « J'apprends que le gouvernement estime que le peuple à « trahi la confiance du régime » et « devra travailler dur pour regagner la confiance des autorités. Dans ce cas, ne serait-il pas plus simple pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d'en élire un autre ? ».
              moralité pour les faux democrates algeriens
              vous vous trompez toujours de peuple, alors il vous faut elire un autre peule.

              ou bien alors, il vous reste encore l'armée comme au beau vieux temps.

              Normal, on a applaudit l'armée quand elle combattait le terrorisme. On a un peu fermé les yeux sue les exécutions sommaires et les disparus.
              On continue à aimer notre armée malgré certains aspects insolites, quand on voit la folie du terrorisme islamique se répandre partout jusqu'à créer des états islamiques et menacer le monde entier, sauf Israël, vous l'aurez remarqué.

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              • #8
                Jamais aucun pays n'a construit la démocratie en peu de temps.
                Des décennies et des décennies avant d'y être

                Le FLN, encore moins l'armée, n'en seront jamais les fers de lance.
                Le peuple lui-même n'y est pas encore prêt.
                Une élite très divisée pour être une avant garde au progrès.

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                • #9
                  Bonjour

                  Les élites suscitent toujours de la méfiance chez une certaine élite. Quel que soit le bord de cette élite arabiste, berbériste, démocrate occidentaliste, islamiste, ...etc. Et ces différentes sensibilités d'élites se méfient les unes des autres parce que leurs projets idéologiques divergent.

                  En vérité, quelque soit le pays dans le monde, la majorité des sensibilités élitistes construisent leurs projets sur des idéologies contemporaines qui s'affirment et qui imposent leur poids régionale et/ou internationale.

                  Donc une sensibilité élitiste a toujours des idées d'alliance et de développement régional et/ou internationale. Elles susciteront toujours une certaine méfiance ou une méfiance certaine chez les autres sensibilités.

                  C'est pour cela qu'un pacte politique national engageant toutes les parties et sensibilités doit être acté.

                  Il faut un engagement et un serment devant la conférence et le peuple de toutes les parties pour respecter le pacte et les engagements en faveur de la mise en œuvre des revendications populaire et des principes inscrit dans le pacte. Tout le monde doit être tenu à témoin. Et quelque soit le processus de sortie de "crise" qui aura été choisi.


                  Il faut un acte fondateur du pouvoir politique de la société civile et politique et des nouvelles règles du jeu que tous doivent défendre à tout moment
                  Dernière modification par Gandhi, 02 juillet 2019, 10h09.
                  Rebbi yerrahmek ya djamel.
                  "Tu es, donc je suis"
                  Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

                  Commentaire


                  • #10
                    avec des si on fait des merveilles.

                    Tout à fait. Je peux continuer. Si le 1er novembre 54 avait été un soulèvement pacifique, sans tirer un seul coup de feu, comme quelques algériens le souhaitaient, l'Algérie serait quand'même aujourd'hui un pays indépendant, démocratique et surtout un pays pacifique et très riche.
                    On aurait surtout évité la destruction, le gaspillage et les rancœurs. Si, si.

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                    • #11
                      Bachi:

                      Jamais aucun pays n'a construit la démocratie en peu de temps.
                      Des décennies et des décennies avant d'y être


                      Tu peux dire des siècles. On en parle depuis les grecs, puis les romains. Dans le monde, on a eu des royautés, des califats, des empires, des révolutions, des dictatures et finalement, depuis peu, des démocraties qui fonctionnent tant bien que mal.
                      On remarquera que les peuples des pays démocratiques peuvent se révolter, exprimer un raz le bol, mais jamais remettre en cause leur démocratie
                      ce qui prouve, quoi qu'on dise, que c'est le seul modèle fiable de société.
                      On n'a pas besoin de réinventer la démocratie. Ni d'attendre qu'un peuple soit mûr pour la lui appliquer. Le mode d'emploi existe, comme une machine importée d'ailleurs, il suffit qu'un professionnel lise la notice pour mettre la machine en marche.
                      Le problème, c'est que le détenteur de l'ancienne machine fera tout pour bloquer le projet d'où la nécessité de le remplacer par le professionnel. Lui et son équipe, YETNAHAOU GA3
                      De plus, le pouvoir est associé à la force, l'armée entre les mains des généraux, et le pouvoir revient au peuple, pour cela, il faut nécessairement que les généraux soient sous les ordre du peuple, donc de son représentant, le président élu, lui-même soumis à la constitutions et aux lois de la république.
                      Pour qu'une démocratie puisse fonctionner, il existe le pouvoir, les contre-pouvoir, les institutions indépendantes, les garde-fous, la justice, la presse...et si malgré tout un problème surgit, il y a le recours au référendum. Le peuple tranche en dernier ressort.

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