L’Entreprise nationale des industries électro-ménagères (ENIEM) de Tizi-Ouzou, en Kabylie, sera fermée à partir de demain mardi 2 juillet. C’est un congé forcé pour l’entreprise en raison du blocage de la matière première au port d’Alger, a affirme, ce lundi 1er juillet, son PDG, Djilali Mouazer.
Le premier responsable de l’ENIEM a indique que la matière première destinée à la production des appareils électroménagers n’est plus disponible au niveau des ateliers, sis à la zone industrielle de Oued-Aïssi. De ce fait, ce fleuron de l’industrie nationale ne peut plus produire ses réfrigérateurs, climatiseurs et autres appareils.
« Tout est bloqué, ce qui a contraint l’administration à avancer le congé annuel des travailleurs à demain (mardi 2 juillet, NDLR), avec le maintien d’un service minimum (pour le service commercial et l’administration) », a fait savoir Djilali Mouazer. Un coup dur pour l’économie de la wilaya de Tizi-Ouzou. Il ne dira cependant pas combien de temps durera ce blocage.
Un blocage inédit de l’ENIEM
C’est une situation inédite dans l’histoire de l’ENIEM qui souffre de ce blocage depuis trois mois. D’autant que ce blocage vient des institutions de l’État qui n’ont pas renouvelé à l’entreprise sa licence d’importation et d’exploitation. À ce sujet, Djilali Mouazer précise :
« L’ENIEM n’a pas pu obtenir le renouvellement de sa licence d’importation et d’exploitation des appareils électroménagers devant lui permettre de les récupérer, au niveau du port d’Alger et entrepôt sous douane (ENIEM), et ce, malgré les démarches effectuées dans les délais auprès du ministère de l’Industrie et des Mines ».
Toutefois, le PDG de cette entreprise n’explique pas les raisons de ce blocage dans la délivrance de la licence de l’ENIEM. Surtout que cela risque de coûter cher à la région, tant sur le plan économique que sur le plan social. Particulièrement si le blocage perdure et perturbe donc totalement le fonctionnement de cette entreprise économique. Il faut pour cela attendre les explications du ministère de l’Industrie.
Il est à noter que ce blocage intervient au même moment que l’arrêt des travaux du stade 50’000 de la JSK. Le groupement algéro-turque en charge de sa réalisation a aussi mis ses travailleurs en congé forcé.
Aylan B
Le premier responsable de l’ENIEM a indique que la matière première destinée à la production des appareils électroménagers n’est plus disponible au niveau des ateliers, sis à la zone industrielle de Oued-Aïssi. De ce fait, ce fleuron de l’industrie nationale ne peut plus produire ses réfrigérateurs, climatiseurs et autres appareils.
« Tout est bloqué, ce qui a contraint l’administration à avancer le congé annuel des travailleurs à demain (mardi 2 juillet, NDLR), avec le maintien d’un service minimum (pour le service commercial et l’administration) », a fait savoir Djilali Mouazer. Un coup dur pour l’économie de la wilaya de Tizi-Ouzou. Il ne dira cependant pas combien de temps durera ce blocage.
Un blocage inédit de l’ENIEM
C’est une situation inédite dans l’histoire de l’ENIEM qui souffre de ce blocage depuis trois mois. D’autant que ce blocage vient des institutions de l’État qui n’ont pas renouvelé à l’entreprise sa licence d’importation et d’exploitation. À ce sujet, Djilali Mouazer précise :
« L’ENIEM n’a pas pu obtenir le renouvellement de sa licence d’importation et d’exploitation des appareils électroménagers devant lui permettre de les récupérer, au niveau du port d’Alger et entrepôt sous douane (ENIEM), et ce, malgré les démarches effectuées dans les délais auprès du ministère de l’Industrie et des Mines ».
Toutefois, le PDG de cette entreprise n’explique pas les raisons de ce blocage dans la délivrance de la licence de l’ENIEM. Surtout que cela risque de coûter cher à la région, tant sur le plan économique que sur le plan social. Particulièrement si le blocage perdure et perturbe donc totalement le fonctionnement de cette entreprise économique. Il faut pour cela attendre les explications du ministère de l’Industrie.
Il est à noter que ce blocage intervient au même moment que l’arrêt des travaux du stade 50’000 de la JSK. Le groupement algéro-turque en charge de sa réalisation a aussi mis ses travailleurs en congé forcé.
Aylan B
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