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Le fils de l’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal a été mis en détention provisoire. En effet, le juge d’instruction près le Tribunal de Sidi M’Hamed à Alger a ordonné, aujourd’hui 3 juillet 2019, le placement du fils de Sellal en détention provisoire.
Plusieurs hommes d’affaires ont eux aussi été mis en détention provisoire par le juge d’instruction dans la même affaire. Ces derniers sont poursuivis pour plusieurs chefs d’accusation, principalement relatifs à l’octroi d’indus avantages. Ces mis en cause auraient bénéficié de marchés publics et de contrats avantageux sans le moindre justificatif.
Selon le média Ennahar Online, Ahmed Mazouz, aurait été mis en détention pour corruption. La justice le soupçonne d’avoir bénéficié d’indus avantages dans le cadre d’activités liées au montage d’automobiles. Le groupe privé Mazouz, dont Ahmed Mazouz est le propriétaire, compte plusieurs filiales activant notamment dans le montage automobile.
La dynastie Sellal embourbée ?
Le fils de Sellal est, quant à lui, soupçonné de dilapidation de deniers publics, d’abus de pouvoir et de fonction ainsi que de conflit d’intérêts. Le nom de l’ancien Premier ministre a été cité dans plusieurs affaires de corruption. Ainsi, Sellal a été entendu dans l’affaire du groupe Mazouz, dans l’affaire des frères Kouninef, dans celle de la campagne présidentielle de Bouteflika (dont il était responsable), et plusieurs autres.
Pour rappel, l’ancien Premier ministre a, lui aussi, été mis en détention provisoire par le juge d’instruction près la Cour suprême d’Alger. Cependant, son avocat avait indiqué, le 13 juin passé, que « la mise en détention provisoire d’Abdelmalek Sellal n’intervient pas dans le cadre d’un jugement, mais constitue plutôt une procédure qui est du ressort du juge d’instruction près la Cour suprême ». Après avoir été auditionné, Sellal avait été placé en détention provisoire à la prison d’El Harrach.
ObserverAlgérie
Plusieurs hommes d’affaires ont eux aussi été mis en détention provisoire par le juge d’instruction dans la même affaire. Ces derniers sont poursuivis pour plusieurs chefs d’accusation, principalement relatifs à l’octroi d’indus avantages. Ces mis en cause auraient bénéficié de marchés publics et de contrats avantageux sans le moindre justificatif.
Selon le média Ennahar Online, Ahmed Mazouz, aurait été mis en détention pour corruption. La justice le soupçonne d’avoir bénéficié d’indus avantages dans le cadre d’activités liées au montage d’automobiles. Le groupe privé Mazouz, dont Ahmed Mazouz est le propriétaire, compte plusieurs filiales activant notamment dans le montage automobile.
La dynastie Sellal embourbée ?
Le fils de Sellal est, quant à lui, soupçonné de dilapidation de deniers publics, d’abus de pouvoir et de fonction ainsi que de conflit d’intérêts. Le nom de l’ancien Premier ministre a été cité dans plusieurs affaires de corruption. Ainsi, Sellal a été entendu dans l’affaire du groupe Mazouz, dans l’affaire des frères Kouninef, dans celle de la campagne présidentielle de Bouteflika (dont il était responsable), et plusieurs autres.
Pour rappel, l’ancien Premier ministre a, lui aussi, été mis en détention provisoire par le juge d’instruction près la Cour suprême d’Alger. Cependant, son avocat avait indiqué, le 13 juin passé, que « la mise en détention provisoire d’Abdelmalek Sellal n’intervient pas dans le cadre d’un jugement, mais constitue plutôt une procédure qui est du ressort du juge d’instruction près la Cour suprême ». Après avoir été auditionné, Sellal avait été placé en détention provisoire à la prison d’El Harrach.
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