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Grand prix de la Ville d'Oran

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  • Grand prix de la Ville d'Oran

    Avec le Grand Prix de la ville, Oran retrouve ses courses hippiques. En effet, comment ces enfants du cheval et cette plus andalouse des villes algériennes ont pu se passer de la présence de ce magnifique animal qu'est le cheval ? 19 ans de silence absolu !

    Terrible dilemme pour les Kanoun et Louafi qui ont tant donné pour que l'équitation rayonne dans leur ville. Le mal est guéri et Oran la belle va organiser l'un des plus cruciaux concours hippiques de la saison sur ses carrières remises à neuf par les responsables de la ville et de l'Etrier Oranais. Le grand prix de la Ville d'Oran comptera d'abord pour le championnat d'Algérie et servira de test pour le DTN Ikhenazène de suivre les courbes de performance des meilleurs cavaliers d'Algérie qui seront tous présents ce week-end. Tous les clubs algériens veulent participer à ces retrouvailles malgré les longues distances qui seront parcourues pour y assister. Le plaisir de partager le bonheur de Nass El-Bahia, connus pour leur légendaire hospitalité, saura faire oublier la fatigue du voyage. Et ça sera dommage pour les absents qui ne vont pas profiter de la beauté du site. Les présents leur raconteront au retour !

    Pourquoi ce concours est si important ? Pour remettre un peu à leur place ceux qui n'ont aucune politique de développement de l'équitation au sein de leur club et qui se permettent de critiquer celle des gens qui travaillent en silence pour que ce sport rayonne un jour. Le DTN exécute avec fidélité la politique fédérale de développement des sports équestres. Ce travail est certes non perçu par le premier venu. Il n'a pas à rendre compte à des individus. Il a une responsabilité vis-à-vis de son pays, l'Algérie, pour qui il voue un sens de nationalisme sans mesure. Sa politique vise à créer un effet d'entraînement généralisé dans le saut d'obstacle et l'endurance. La présence de Benmohamed, décriée par tout un chacun, a eu un effet positif sur les jeunes cavaliers qui, maintenant, ont l'espoir de faire partie de cette ô combien enviée équipe nationale. La preuve que personne n'est marginalisé s'il travaille avec sérieux et abnégation. Les jeune cavaliers, en voyant ce qui arrive aux Benharat (20 ans), Akkache (24 ans) et Allali (20 ans), savent que eux aussi pourront un jour faire partie de l'élite. Le but du sport n'est-il pas de pousser le jeune à rivaliser et à réussir ?

    Le DTN sait ce qu'il fait en n'arrêtant pas la liste des membres de l'équipe nationale. Celle-ci ne sera connue - nous en sommes convaincus - qu'à la veille des Jeux africains. Et d'ici là, personne ne peut certifier qu'Illustre et Hadjadjen ou Aït Lounis et Kilosry seraient toujours en forme. N'oublions pas que nous avons trois excellents cavaliers à l'étranger: Kheddache Lamine, Brahim Mesrati et Abderrahmane Djilali qui sont aussi nos enfants et qui peuvent prétendre à une place dans l'équipe. C'est pour cela que tout un chacun doit continuer à travailler en se disant que sa place en sélection finale ne doit venir qu'au vu des résultats et du travail qui reste à faire. Tout autre considération ne peut être que fantaisie. Et l'Algérie a besoin de tous ses enfants. Les meilleurs auront l'honneur de défendre notre si beau drapeau national. Oran sera l'occasion de prouver encore une fois la qualité des cavaliers qui aspirent au championnat d'Algérie d'abord puis aux Jeux d'Alger. Ce concours verra un certain Fenniche qui a passé plus de 27 ans de sa vie à Oran au service du cheval. On y verra un emblème de l'équitation algérienne qu'est Ward, un cheval barbe d'exception, qui a honoré de façon directe avec Louafi et indirecte sous les couleurs du CHP Mohammedia avec Chater et Yacoub, la réputation équestre des Oranais qui, à l'image de Kanoun, restent de fins techniciens aux montes extraordinaires.

    Le club avec les autorités de la ville veut faire de ces joutes, un déclic pour l'équitation à Wahran qui doit obligatoirement renaître dans cette ville équestre. Plus rien ne doit replonger dans le silence les carrières de l'Etrier Oranais Antar Bencheddad qui, sous la présidence de Ghazi Belkacem, a pris une place importante dans le circuit national.

    Par le Quotidien d'Oran

  • #2
    slt mordjane ! je suis pas certaine que c'est bien mordjane que je connais mais sur a 80./° . en tous cas c'est sara l'une des cavalière inscrite dans ce club ( l'étrier oranais ) . j'ai arrété acause de quelques problemes mais j'aime tjrs ce club ainsi que les cavaliers et les reponsables . Et je peux vous assuré que c'est le melleure endrois de toute la ville d'Oran. Anssi
    si c'est mordjane ( elle a un cheval qui s'appel shams ) repondez moi svp

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    • #3
      c'est une nouvelle pour moi, merci pour l'info cher morjane et que le sport reprendra sa figure souhaité à oran, on espère que ça sera le commencement d'une grande aventure !
      Dernière modification par C_khalil, 19 avril 2008, 21h26.
      "les bornes du possible dans les choses morales sont moins étroites que nous ne pensons, ce sont nos faiblesses, nos vices, nos préjugés qui les rétrécissent" jean-jacque Rousseau.

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      • #4
        Envoyé par a.sara
        je suis pas certaine que c'est bien mordjane que je connais
        Bonjour a.sara,

        Désolée il ne s'agit pas de moi mais ce sera avec plaisir que vous pouvez partager avec nous des news concernant les courses hippiques d'Oran.

        Cordialement.

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