Interrogé sur la campagne de dénigrement visant des icônes de la guerre de libération, l’ancien maquisard et combattant de la wilaya IV historique, Mr Dahlouk Ali, a dit s’attendre au pire ! Concernant la campagne de dénigrement et d’accusation menée par la députée Naïma Salhi à l’encontre la MOUDJAHIDA Djamila Bouhired, Mr. Dahlouk a fait savoir qu’une plainte va être introduite par l’Organisation Nationale des Moudjahidine (ONM), dont il est secrétaire national.
Dans un entretien accordé au quotidien Le Soir d’Algérie, le moudjahid Dahlouk Ali a eu à témoigner des faits d’armes de Si Lakhdar Bouregaa, commandant de la wiliya IV historique, aujourd’hui croupissant dans les geôles du régime ! Dans cet entretien, Mr. Dahlouk a également réagi à ce qu’il a qualifié de campagne délibérée visant les Moudjahidines. Il a même exprimé sa crainte de voir cette vile campagne toucher d’autres icônes de la révolution !
Interrogé sur les propos indécents et immoraux tenus par la députée Naïma Salhi, expliquant dans l’une de ses vidéos choquantes que «durant la Révolution, il y avait des gens qui ont été créés et on a fait d’eux des héros comme Djamila Bouhired qui soutient les zouaves contre l’armée nationale populaire novembriste», il a fait savoir que l’ONM a décidé de porter plainte.
« Nous avons décidé de porter plainte contre cette personne. Nous allons également faire réagir le ministère des Moudjahidine qui est resté silencieux depuis que ces attaques ont débuté. Il n’y a eu aucune réaction du ministre, alors qu’il aurait dû être le premier à réagir pour défendre les moudjahiddine », a-t-il déploré.
Ce qui est à la fois étonnant et révoltant, c’est que Naïma Salhi qui préside un parti à l’influence quasi nulle puisse bénéficier d’une protection la rendant intouchable ! En aout 2018, elle avait déjà mené une campagne virulente contre Djamila Bouhired à l’occasion de son déplacement en Kabylie pour assister au festival culturel Raconte-Art. Dans un discours raciste et haineux, elle l’avait qualifié de traître, tout en décrivant une Algérie qui demeure sous la colonisation. La colonisation de de qui ? De la Kabylie !!!
Les autorités n’avaient même pas levé le petit doigt pour remettre cette personne à sa place !
En juillet de la même année, c’est-à-dire un mois avant son dérapage contre la MOUDJAHIDA Djamila Bouhired, elle s’était illustrée sur le plateau d’El Bilad avec une attaque raciste très violente contre les migrants issus des pays d’Afrique subsaharienne les qualifiant de « vecteurs de maladie et tenez vous bien…d’adeptes de la sorcellerie !!!
En septembre 2018, des associations soutenues par de nombreux citoyens de la wilaya de Boumerdès ont signé une pétition réclamant la levée de son immunité parlementaire après avoir qualifié la langue berbère de « dialecte primitive de campagnards et de ruraux ».
En mars 2018, une plainte avait été déposée contre elle à Akbou, par le Congrès Mondial Amazigh (CMA). Le CMA lui reprochait d’avoir tenu des « propos racistes et des appels à la haine raciale contre les Amazighs et les Kabyles en particulier ».
Plus récemment, soit en juin dernier, une autre plainte a été introduite à son encontre, par deux avocats et un journaliste (respectivement : Abdelkader HOUALI, Soufiane DEKKAL et Salim CHAIT), pour « incitation à la haine raciale et appels au meurtre ». Les plaignants0 ont déploré dans un communiqué publié la semaine dernière, le fait que cette personne ne soit pas inquiétée alors qu’elle entretient un discours haineux et raciste comportant un vrai danger sur l’unité nationale.
Par Massinissa Mansour
Dans un entretien accordé au quotidien Le Soir d’Algérie, le moudjahid Dahlouk Ali a eu à témoigner des faits d’armes de Si Lakhdar Bouregaa, commandant de la wiliya IV historique, aujourd’hui croupissant dans les geôles du régime ! Dans cet entretien, Mr. Dahlouk a également réagi à ce qu’il a qualifié de campagne délibérée visant les Moudjahidines. Il a même exprimé sa crainte de voir cette vile campagne toucher d’autres icônes de la révolution !
Interrogé sur les propos indécents et immoraux tenus par la députée Naïma Salhi, expliquant dans l’une de ses vidéos choquantes que «durant la Révolution, il y avait des gens qui ont été créés et on a fait d’eux des héros comme Djamila Bouhired qui soutient les zouaves contre l’armée nationale populaire novembriste», il a fait savoir que l’ONM a décidé de porter plainte.
« Nous avons décidé de porter plainte contre cette personne. Nous allons également faire réagir le ministère des Moudjahidine qui est resté silencieux depuis que ces attaques ont débuté. Il n’y a eu aucune réaction du ministre, alors qu’il aurait dû être le premier à réagir pour défendre les moudjahiddine », a-t-il déploré.
Ce qui est à la fois étonnant et révoltant, c’est que Naïma Salhi qui préside un parti à l’influence quasi nulle puisse bénéficier d’une protection la rendant intouchable ! En aout 2018, elle avait déjà mené une campagne virulente contre Djamila Bouhired à l’occasion de son déplacement en Kabylie pour assister au festival culturel Raconte-Art. Dans un discours raciste et haineux, elle l’avait qualifié de traître, tout en décrivant une Algérie qui demeure sous la colonisation. La colonisation de de qui ? De la Kabylie !!!
Les autorités n’avaient même pas levé le petit doigt pour remettre cette personne à sa place !
En juillet de la même année, c’est-à-dire un mois avant son dérapage contre la MOUDJAHIDA Djamila Bouhired, elle s’était illustrée sur le plateau d’El Bilad avec une attaque raciste très violente contre les migrants issus des pays d’Afrique subsaharienne les qualifiant de « vecteurs de maladie et tenez vous bien…d’adeptes de la sorcellerie !!!
En septembre 2018, des associations soutenues par de nombreux citoyens de la wilaya de Boumerdès ont signé une pétition réclamant la levée de son immunité parlementaire après avoir qualifié la langue berbère de « dialecte primitive de campagnards et de ruraux ».
En mars 2018, une plainte avait été déposée contre elle à Akbou, par le Congrès Mondial Amazigh (CMA). Le CMA lui reprochait d’avoir tenu des « propos racistes et des appels à la haine raciale contre les Amazighs et les Kabyles en particulier ».
Plus récemment, soit en juin dernier, une autre plainte a été introduite à son encontre, par deux avocats et un journaliste (respectivement : Abdelkader HOUALI, Soufiane DEKKAL et Salim CHAIT), pour « incitation à la haine raciale et appels au meurtre ». Les plaignants0 ont déploré dans un communiqué publié la semaine dernière, le fait que cette personne ne soit pas inquiétée alors qu’elle entretient un discours haineux et raciste comportant un vrai danger sur l’unité nationale.
Par Massinissa Mansour
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