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Les Etats-Unis font un don de 94 millions de dollars au Maroc

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  • Les Etats-Unis font un don de 94 millions de dollars au Maroc

    Le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Benchaaboun, et la directrice de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) au Maroc, Brooke Isham, ont signé ce mercredi 3 juillet à Rabat un accord. Dans ce dernier, l’agence américaine s’engage à faire don au gouvernement marocain d’un montant de 94 millions de dollars US (soit environ 846 millions de dirhams), annonce le ministère dans un communiqué. C’est un don destiné à “financer le programme de développement socio-économique inclusif”.


    L'Économiste

  • #2
    Merci USA.

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    • #3
      Les Etats-Unis font un don de 94 millions de dollars au Maroc
      ça pourrait acheter combien de tonnes de dattes saoudiennes?

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      • #4
        Besoin aussi pour les enfants marocains

        Vêtements et chaussures
        Fournitures scolaires
        Denrées alimentaire
        Produits d' hygiène
        Fournitures de bureaux
        Jeux pour enfants
        Médicaments
        Literie ( drap oreiller couverture )

        Association Bayti sur internet , Merci pour vos dons

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        • #5
          C juste une ristourne sur le contrat récent de modernisation des vieux F15 que le maroc a racheté à l'armé US y a 4 à 5ans.

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          • #6
            Gala.


            En Algérie, « la vie continue d’être difficile pour nos enfants »
            Alors que le mouvement de protestation dure depuis plus de quatre mois, le quotidien ressemble toujours à l’avant 22 février. Mais l’impatience se fait plus vive et une nouvelle mobilisation est prévue vendredi.

            Par Zahra Chenaoui Publié hier à 18h30, mis à jour à 08h07

            le pouvoir à Alger, le 21 juin 2019.
            Manifestation contre le pouvoir à Alger, le 21 juin 2019. Ramzi Boudina / REUTERS
            « On ne s’en sort pas. Et vous, vous faites comme si le changement était arrivé ! » Sur la rue Didouche Mourad, dans le centre-ville d’Alger, un homme hèle un cameraman de télévision. « Vous ne parlez que du hirak. Le hirak, y’en a marre ! On ne vit pas ! », lance-t-il en tendant un petit téléphone portable à bas prix sorti de sa poche. La meilleure preuve à ses yeux qu’il peine à joindre les deux bouts. Un peu plus loin, Hakim* descend la rue avec des sacs pleins de boîtes en plastique qu’il va revendre au marché de Meissonnier.


            « Il y a des gens qui parlent de politique ! Il y a beaucoup de débats à la télévision ! Mais moi, si je veux avoir un salaire à la fin de la journée, je dois aller au marché de gros à l’autre bout de la ville, tôt le matin. J’ai pas le temps pour le reste », explique-t-il. La semaine précédente, il s’est fait saisir sa marchandise par les forces de l’ordre. Il a perdu l’équivalent de 500 euros. Une petite fortune. « Qu’est-ce qu’on peut y faire ? », interroge celui qui rêve de voir sa vie changer.

            Après l’université, un emploi de vendeuse
            Après quatre mois de mobilisation, Hakim comme d’autres attendent un changement qui a tout du mirage. Au fil des semaines, les manifestations se sont effilochées. Au moins jusqu’à ce 5 juillet qu’on annonce rassembleur. Mais en attendant cette commémoration de l’indépendance, le clan des désabusés commence à se faire entendre.


            Selma*, la cinquantaine, vit dans un quartier populaire de la capitale et n’est allée à aucune manifestation, arguant, comme pour s’excuser, que son « mari, lui, y va de temps en temps ». Son quotidien est déjà trop rempli à chercher de quoi faire vivre sa famille. Entre les ménages, la revente d’objets d’occasion et la débrouille, son temps est minuté. Après deux ans de chômage à la sortie de l’université, sa cadette a fini par accepter un emploi de vendeuse. « Elle travaille tous les jours jusqu’à 18 heures et touche 30 000 dinars [environ 220 euros] par mois. C’est peu, mais je lui ai dit d’accepter pour aider son frère », précise Selma.


            Le frère, lui, la trentaine, a fini par prendre la direction de l’Europe via des réseaux de passeurs, après des années de galère et une tentative ratée de lancer une microentreprise de transport. « Quand il a vu les manifestations sur Facebook, mon fils m’a dit qu’il reviendrait une fois qu’ils seront tous partis, assure la mère en haussant doucement les épaules. C’est très bien qu’Ahmed Ouyahia [l’ancien premier ministre] soit en prison, mais la vie continue d’être difficile pour nos enfants. »

            Une somme d’humiliations
            Le quotidien est difficile dans ce pays où le taux de chômage est de l’ordre de 11 % et monte à 26,4 % chez les 16-24 ans, particulièrement touchés. Pour eux, le quotidien n’a pas changé depuis le début des manifestations. De ça, Abdallah*, 25 ans, est « fatigué ». Assis dans un café, il touche à peine au liquide noir dans le gobelet en carton, demande une cigarette à un ami qui passe dans la rue. Là, il « attend un coup de fil qui ne vient pas ». Cet appel, c’est le signal d’un passeur, à 400 kilomètres de là, pour partir en Europe par la mer. Ce n’est pas la première fois qu’il essaie : « Le problème est que j’ai pris du sursis la dernière fois. Si je me fais attraper, c’est la prison cette fois. Et j’ai peur de la prison. »


            Abdallah a participé à plusieurs manifestations, au moment où la principale revendication était le départ de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. L’espoir du changement ? Il rit : « La semaine dernière, on est monté la nuit dans la forêt avec des copains. La police est venue. Ils nous ont arrêtés, emmenés, nous ont interrogés sur ce qu’on faisait là. » Il énumère des problèmes quotidiens, qu’il vit comme une somme d’humiliations : le logement social qu’ont obtenu ses parents, trop petit pour y accueillir sa fiancée, et la crainte que cette dernière ne s’en aille ; le travail de son frère qui est payé 13 000 dinars (environ 96 euros) par mois ; mais, surtout, l’impression qu’il n’arrivera jamais à améliorer son quotidien. « Même si tu es quelqu’un de bien, que tu raisonnes correctement, tu connais le chemin le plus court pour aller d’un point A à un point B. Mais, là, tu dois batailler pour tout. Et à 40 ans, tu n’es toujours arrivé à rien », conclut-il.

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            • #7
              94 millions de dollars pour un Etat en banqueroute comme le Maroc, c'est de moqué du monde! Même la région de Taza vit une situation pire que celle de Gaza (Palestine) et ce sont des milliards de dollars dont aurait besoin la dictature chérifienne.

              Cependant, l'urgence absolue est de renverser ce régime féodal gouverné par un voleur, trafiquant de de drogue et addictif à la coke.

              Car comme l'entend insinué un proverbe arabe: "Ida Ma Khayyama Al Jahlou Fi Kaoumin Moussikhat Oussoudouha Kourouda" qui signifie : Lorsque l'ignorance se généralise sur une populace, ces lions se transforment en singes. Alors, pitié ! Parlez-nous d'un Alem, d'un scientifique, d'un chercheur et non d'un ivrogne, bourreau de femmes".

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              • #8
                Envoyé par tawenza
                C juste une ristourne sur le contrat récent de modernisation des vieux F15 que le maroc a racheté à l'armé US y a 4 à 5ans.
                Tu racontes n'importe quoi sur ce forum.

                Le Maroc n'a pas et n'a jamais eu d'avions F15.

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