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Au président élu de mener les réformes

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  • Au président élu de mener les réformes

    Dans son discours à la nation, prononcé dans la soirée d’hier, Abdelkader Bensalah a été clair. Il est urgent de dialoguer pour aller vers une élection présidentielle. «Ce dialogue, qui devra nécessairement se concentrer sur l’unique objectif stratégique que constitue l’organisation de l’élection, élection qui devrait se tenir à une date la plus rapprochée possible, se déroulera de toute évidence dans le cadre de la Constitution qui impose la préservation de l’Etat, le respect des Institutions et la prévalence de l’intérêt supérieur de la Nation» a insisté le chef d’Etat par intérim non sans expliquer qu’il s’agit là du seul moyen d’éviter au pays «les propositions hasardeuses, voire aventurières et de déjouer les dangers et les desseins hostiles visant à conduire le pays vers le vide constitutionnel et l’absence d’Etat et à l’entraîner ainsi dans la spirale de l’anarchie et la déstabilisation». Pour le chef de l’Etat l’élection présidentielle qui sera entourée des garanties requises, reste donc « la seule solution démocratique viable et raisonnable ». Il appartiendra ensuite au président élu «jouissant d’une totale légitimité des urnes et de toute la confiance nécessaire et toutes les prérogatives requises pour concrétiser l’aspiration profonde au changement, satisfaire l’ensemble des revendications populaires légitimes et entreprendre les réformes profondes dont le pays a crucialement besoin». Pour Abdelkader Bensalah, cette démarche est «rationnelle et de bon sens» et elle devrait emporter l’adhésion de tous les Algériens. Car elle est la seule «qui soit de nature à leur donner la parole pour qu’ils choisissent en toute souveraineté, liberté et transparence, la personnalité à qui ils souhaitent confier le mandat de conduire le changement et de mettre en place un nouveau système de gouvernance». A cette fin et en vue d’épargner au pays de possibles périls, Bensalah appelle qu’il incombe à tous «de réunir les conditions et les modalités d’organisation, de contrôle et de supervision qui vont entourer cette élection dans toutes ses phases, à commencer par les phases de préparation et d’organisation jusqu’à l’annonce des résultats. Ces phases qui, nous en sommes conscients, sont souvent une source de préoccupation et de controverse, feront l’objet au cours de ce processus de dialogue, d’une attention particulière et minutieuse, et seront le résultat d’un large consensus avec la classe politique, les composantes de la société civile et les personnalités politiques nationales».

    hasna yacoub
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    Le péril c'est ce système, c'est ce système le problème.


    L'état de déliquescence de l'état, inconsistance des institutions, la corruption généralisée, la planche à billets, la situation de non droit...


    Le fait qu'ils restent est le véritable péril pour le pays.


    Si le peuple n'était pas sorti le 22 février cette mafia allait avec le cinquième mandat.
    Un cadre!!!

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