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France – Un ressortissant algérien, âgé d’une cinquantaine d’années est décédé, mercredi 3 juillet, d’un arrêt cardiaque lors de son expulsion musclée, lui et sa sa famille, de son logement dans la ville de Chambéry, a indiqué l’Agence France-Presse.
Selon la même source, le ressortissant algérien, qui a résisté à l’expulsion de sa petite famille de son appartement, a fini par succomber à un arrêt cardiaque. En effet, trois policiers du commissariat de Chambéry se sont présentés mercredi passé en compagnie d’un huissier de justice pour exécuter une décision d’expulsion de la famille algérienne qui ne payait pas son loyer.
Face à la résistance et l’opposition du père de famille, qui s’est montré violent et menaçant, les policiers ont décidé de l’interpeller. L’Algérien, âgé de 52 ans a été maîtrisé, menotté et conduit hors de l’appartement pour être emmené au commissariat afin de dresser une procédure pour menace et outrage.
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Conduit par la force dans la voiture de police, le père de famille algérien convulse. Les policiers le sortent de véhicule et tentent de le réanimer. Mais, il décède d’un arrêt cardiovasculaire, à l’arrivée des pompiers.
Selon des voisins interrogés par le Parisien, le père de famille avait dit aux policiers qu’il ne se sentait pas bien. Pour sa part, RTL France publié une vidéo d’un témoin sur laquelle on voit le père de famille, en jean et tee-shirt, menotté dans le dos, les jambes pliées de manière apparemment volontaire, porté par les policiers vers leur voiture. « Les flics lui sont tombés dessus. Il est mort comme un chien dans la voiture », affirme un témoin auprès de RTL France.
La Police française ouvre une enquête
Après le drame, les services sociaux ont pris en charge le relogement de la famille algérienne. Alors que les policiers font également l’objet d’un suivi psychologique.
Les inspecteurs de l’Inspection générale de la police française ont entamé une enquête jeudi matin, a indiqué à l’AFP Lætitia Philippon, la directrice départementale de la sécurité publique de la Savoie, supérieure des policiers. Tandis que le procureur de la république M. Dran a ouvert une enquête pour recherche des causes de la mort. Une autopsie a été réalisée sur le corps de la victime, jeudi passé.
ObserverAlgérie
Selon la même source, le ressortissant algérien, qui a résisté à l’expulsion de sa petite famille de son appartement, a fini par succomber à un arrêt cardiaque. En effet, trois policiers du commissariat de Chambéry se sont présentés mercredi passé en compagnie d’un huissier de justice pour exécuter une décision d’expulsion de la famille algérienne qui ne payait pas son loyer.
Face à la résistance et l’opposition du père de famille, qui s’est montré violent et menaçant, les policiers ont décidé de l’interpeller. L’Algérien, âgé de 52 ans a été maîtrisé, menotté et conduit hors de l’appartement pour être emmené au commissariat afin de dresser une procédure pour menace et outrage.
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Conduit par la force dans la voiture de police, le père de famille algérien convulse. Les policiers le sortent de véhicule et tentent de le réanimer. Mais, il décède d’un arrêt cardiovasculaire, à l’arrivée des pompiers.
Selon des voisins interrogés par le Parisien, le père de famille avait dit aux policiers qu’il ne se sentait pas bien. Pour sa part, RTL France publié une vidéo d’un témoin sur laquelle on voit le père de famille, en jean et tee-shirt, menotté dans le dos, les jambes pliées de manière apparemment volontaire, porté par les policiers vers leur voiture. « Les flics lui sont tombés dessus. Il est mort comme un chien dans la voiture », affirme un témoin auprès de RTL France.
La Police française ouvre une enquête
Après le drame, les services sociaux ont pris en charge le relogement de la famille algérienne. Alors que les policiers font également l’objet d’un suivi psychologique.
Les inspecteurs de l’Inspection générale de la police française ont entamé une enquête jeudi matin, a indiqué à l’AFP Lætitia Philippon, la directrice départementale de la sécurité publique de la Savoie, supérieure des policiers. Tandis que le procureur de la république M. Dran a ouvert une enquête pour recherche des causes de la mort. Une autopsie a été réalisée sur le corps de la victime, jeudi passé.
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