Bonsoir
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a eu jeudi un aperçu réaliste de la situation en Irak.
Sa conférence de presse à Bagdad a été brièvement interrompue par la chute d'un mortier à quelques dizaines de mètres de là.
«Je suis confiant, nous allons voir prochainement un avenir meilleur, plus sûr, plus prospère et plus démocratique pour le peuple et le gouvernement irakien. Nous assistons à une amélioration de la situation, et je songe à accroître la présence des Nations Unies en Irak», a expliqué Ban Ki-moon.
A ce moment-là, une forte explosion a retenti. Le secrétaire général, qui s'est brièvement baissé derrière le pupitre, est apparu effrayé durant quelques secondes, selon les images de la télévision.
Maliki de marbre
Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki, présent à ses côtés, est lui resté de marbre, apparemment davantage habitué aux explosions. Il a répondu à une ultime question après un flottement de plusieurs minutes, avant de clore la conférence de presse.
Une importante colonne de fumée était visible au-dessus de la Zone verte, le secteur ultrafortifié de Bagdad qui abrite les institutions irakiennes et l'ambassade américaine.
Les services de sécurité n'étaient pas en mesure de préciser s'il y avait des victimes. Cette attaque symbolique constitue un vibrant rappel de la situation en Irak, confrontée à une insurrection et à des violences confessionnelles sanglantes, quatre ans après l'invasion du pays.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a eu jeudi un aperçu réaliste de la situation en Irak.
Sa conférence de presse à Bagdad a été brièvement interrompue par la chute d'un mortier à quelques dizaines de mètres de là.
«Je suis confiant, nous allons voir prochainement un avenir meilleur, plus sûr, plus prospère et plus démocratique pour le peuple et le gouvernement irakien. Nous assistons à une amélioration de la situation, et je songe à accroître la présence des Nations Unies en Irak», a expliqué Ban Ki-moon.
A ce moment-là, une forte explosion a retenti. Le secrétaire général, qui s'est brièvement baissé derrière le pupitre, est apparu effrayé durant quelques secondes, selon les images de la télévision.
Maliki de marbre
Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki, présent à ses côtés, est lui resté de marbre, apparemment davantage habitué aux explosions. Il a répondu à une ultime question après un flottement de plusieurs minutes, avant de clore la conférence de presse.
Une importante colonne de fumée était visible au-dessus de la Zone verte, le secteur ultrafortifié de Bagdad qui abrite les institutions irakiennes et l'ambassade américaine.
Les services de sécurité n'étaient pas en mesure de préciser s'il y avait des victimes. Cette attaque symbolique constitue un vibrant rappel de la situation en Irak, confrontée à une insurrection et à des violences confessionnelles sanglantes, quatre ans après l'invasion du pays.
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