Le quator de l’oligarchie incarcéré à la prison d’El Harrach, à savoir les Tahkout, Haddad, Kouninef et Oulmi ont pris 40000 milliards de centimes de crédits auprès du Crédit Populaire Algérien CPA, apprend-t-on. Sur ce registre des sources concordantes, citant des experts financiers, n’excluent pas une éventuelle banqueroute de cette banque publique, si les pouvoirs publics n’interviennent pas pour l’injecter une perfusion et la sauver d’une mort certaine.
L’Etat, propriétaire de la banque, est appelé à intervenir pour la recapitaliser ou contraindre les sociétés ayant pris de grosses sommes de crédits, en violation de la réglementation à les rembourser.
Ainsi, nous avons appris que quatre opérateurs, de l’oligarchie à savoir Tahkout, Haddad, Kouninef et Oulmi ont obtenu 400 milliards de DA, soit 40000 milliards de centimes. Ainsi, Oulmi a pris des crédits d’un montant de 3700 milliards de centimes, en violation avec les règles élémentaires de gestion bancaire. Sur ce registre, il faut noter que le capital du CPA est de 480 milliards de DA, depuis 2010, sachant que la réglementation interdit l’attribution de crédits dépassant les 20% du capital de l’établissement bancaire et financier. Ce qui n’a pas été le cas avec le quator de l’oligarchie, dans la mesure où la violation des textes de loi, a dépassé même les règles de Bâle (Suisse) en matière de contrôle banquier, fixant les normes et règles d’alerte, pour affronter les crises financières.
Par ailleurs, il faut souligner, que l’ancien PDG du CPA et ancien PDG de la BNA, a été placé ce dimanche en détention préventive par le juge d’instruction, près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger, dans le cadre de l’affaire SovacPar ailleurs, il faut noter que les dettes du quator de l’oligarchie , contractées auprès des compagnies d’assurances publiques et privés sont estimées à 1500 milliards de centimes.
Cet état de fait concernant les sommes de crédits attribués, menace même l’existence et la pérennité des banques publiques,comme l’a bien révélé le chef d’état-major de l’ANP, ce lundi et mardi, en déclarant, qu’au moment où nos forces de sécurité étaient à pied d’oeuvre pour sécuriser les frontières du pays, El Isaba pillait l’argent public sans être inquiétée outre mesure. Les conclusions des enquêtes confirmeront sans aucun doute l’ampleur de ce pillage organisé et qui a compromis le développement socioéconomique de l’Algérie.
Algerietouteheure
L’Etat, propriétaire de la banque, est appelé à intervenir pour la recapitaliser ou contraindre les sociétés ayant pris de grosses sommes de crédits, en violation de la réglementation à les rembourser.
Ainsi, nous avons appris que quatre opérateurs, de l’oligarchie à savoir Tahkout, Haddad, Kouninef et Oulmi ont obtenu 400 milliards de DA, soit 40000 milliards de centimes. Ainsi, Oulmi a pris des crédits d’un montant de 3700 milliards de centimes, en violation avec les règles élémentaires de gestion bancaire. Sur ce registre, il faut noter que le capital du CPA est de 480 milliards de DA, depuis 2010, sachant que la réglementation interdit l’attribution de crédits dépassant les 20% du capital de l’établissement bancaire et financier. Ce qui n’a pas été le cas avec le quator de l’oligarchie, dans la mesure où la violation des textes de loi, a dépassé même les règles de Bâle (Suisse) en matière de contrôle banquier, fixant les normes et règles d’alerte, pour affronter les crises financières.
Par ailleurs, il faut souligner, que l’ancien PDG du CPA et ancien PDG de la BNA, a été placé ce dimanche en détention préventive par le juge d’instruction, près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger, dans le cadre de l’affaire SovacPar ailleurs, il faut noter que les dettes du quator de l’oligarchie , contractées auprès des compagnies d’assurances publiques et privés sont estimées à 1500 milliards de centimes.
Cet état de fait concernant les sommes de crédits attribués, menace même l’existence et la pérennité des banques publiques,comme l’a bien révélé le chef d’état-major de l’ANP, ce lundi et mardi, en déclarant, qu’au moment où nos forces de sécurité étaient à pied d’oeuvre pour sécuriser les frontières du pays, El Isaba pillait l’argent public sans être inquiétée outre mesure. Les conclusions des enquêtes confirmeront sans aucun doute l’ampleur de ce pillage organisé et qui a compromis le développement socioéconomique de l’Algérie.
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