Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le FFS dénonce des « ingérences étrangères » qui s’opposent à tout changement démocratique en Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le FFS dénonce des « ingérences étrangères » qui s’opposent à tout changement démocratique en Algérie

    Le FFS a dénoncé, ce vendredi 12 juillet, des « ingérences étrangères » qui s’opposent à tout changement démocratique en Algérie. « Le Conseil national considère que la présente session se déroule dans un contexte politique national en cours de bouleversement, un environnement régional préoccupant sur le plan sécuritaire avec des ingérences étrangères à peine déguisées pour s’opposer à tout changement dans notre pays qui menacerait leurs intérêts économiques et stratégiques », écrit le parti dans un communiqué à l’issue de son conseil national.

    « Certain régimes dictatoriaux ne veulent pas l’aboutissement du mouvement révolutionnaire par crainte de contagion et de déstabilisation de leurs régimes », ajoute-t-il. Le FFS ne nomme pas les pays visés par ses critiques.

    Pour le FFS, le régime rejette toute transition démocratique. Mais « la révolution actuelle « aboutira inévitablement à la fin du régime de dictature et le changement du système avec l’instauration d’un État de droit démocratique et social », écrit-il.

    Le FFS demande « la libération immédiate et sans conditions de tous les détenus politiques et d’opinions notamment le commandant Si Lakhdar Bouregâa ».

    TSA
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    [QUOTE] Le FFS dénonce des « ingérences étrangères » qui s’opposent à tout changement démocratique en Algérie

    « Certain régimes dictatoriaux ne veulent pas l’aboutissement du mouvement révolutionnaire par crainte de contagion et de déstabilisation de leurs régimes » [/QUOTE



    quel hypocrisie! !!!


    s'ils voulaient montré leur bonne foi et leur honnêteté ils n'auraient pas du confiné l'ingérence étrangère uniquement dans les régimes dictatoriaux pour visé certainement la Russie et les Émirats et épargné LA DAME DE L'EYLESEE
    parce que mama est démocrate donc elle ne veut que du bien
    bande de cochons
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

    Commentaire


    • #3
      Double
      Dernière modification par Chif, 13 juillet 2019, 17h37.
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

      Commentaire


      • #4
        Le monde à l'envers.

        LA DAME DE L'EYLESEE est très discrète concernant le gros plein de soupe.

        En langage silencieux diplomatique, c'est un soutien clair net et précis.

        Le ffs vise les émirs-rats sans doute.

        Les russes, peut être pas (trop la flemme de donner une éventuelle explication)

        Et puis france, russie, emirats, martiens.... peu importe, tout état faisant de l'ingérence doit être dénoncé.
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

        Commentaire


        • #5
          Et puis france, russie, emirats, martiens.... peu importe, tout état faisant de l'ingérence doit être dénoncé.
          faute de précision (régimes dictatoriaux)dans le communiqué de ces cochons ton point de vue demeure subjectif,hors du contexte
          L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
          Albert Einstein

          Commentaire


          • #6
            Le message est pourtant clair, il s'agit des pays du Golfe où nos dictateurs vont chercher un soutien.
            La France soutient le Hirak, le peuple et les médias français ouvertement, les officiels discrètement, pour obligation de réserve et de non-ingérence.
            Ceux qui ne ratent aucune occasion de lapider la France peuvent dire ce qu'ils pensent, ça ne changera rien à la situation.

            communiqué de ces cochons
            Sans commentaire.

            Commentaire


            • #7
              « Certain régimes dictatoriaux ne veulent pas l’aboutissement du mouvement révolutionnaire par crainte de contagion et de déstabilisation de leurs régimes », ajoute-t-il. Le FFS ne nomme pas les pays visés par ses critiques.
              Un des régimes despotiques qui a peur de la démocratisation de l'Algérie est le Makhzen mais il est tellement futé qu'il passera par ses sponsors du golf pour ne pas s'y mêler directement.
              Dernière modification par democracy, 13 juillet 2019, 19h02.

              Commentaire


              • #8
                Sans commentaire


                heureusement
                L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                Albert Einstein

                Commentaire


                • #9
                  Ce que dit le FFS est une vérité. Riyadh et les Emirates ont peur que la révolte algérienne se propage vers les autres pays arabes. Ils veulent que l’état profond en Algérie (l'armée) reste au pouvoir.

                  L'Arabie saoudite a déjà soutenue l'armée algérienne en 1992, avec une aide financière et un encouragement des Etats-Unis. Elle essaye de faire de même avec Gaid Salah pour l’aider à maintenir son emprise sur le pays.

                  Algeria’s Unrest Unsettles the Saudi/UAE-led Bloc

                  In 2011, there was much optimism in the Middle East and North Africa (MENA) that the so-called Arab Spring revolts would make the region more democratic. Yet over the past eight years, the MENA region has become increasingly authoritarian. This year, Egypt’s head of state is essentially securing his presidency for life while Sudan cracks down on protestors, Gulf monarchies grew more autocratic, and the Arab world is basically accepting Syria’s regime back into the regional diplomatic fold. The idea that the Arab Spring is “dead” provides a sense of comfort to the Gulf leaders who shuddered at the earlier wave of revolutionary activism.

                  Officials in Riyadh and other Gulf capitals are determined to prevent a repeat of 2011. The crackdown on dissenters and oppositionists (both Islamist and secular) in these counter-revolutionary countries since 2011 has been especially harsh. But the leaders of the Saudi/United Arab Emirates (UAE)-led bloc of “counter-revolutionary” states have done much more than tighten their grip at home. In the words of Marc Lynch, this anti-revolutionary bloc has “rewired the entire region trying to prevent another Arab Spring.” So, for instance, Riyadh and Abu Dhabi provided diplomatic, economic, and military support for Bahrain’s Al Khalifa rulers in 2011, bankrolled the Egyptian coup of 2013, sponsored Libya’s General Khalifa Haftar, and blockaded the only “pro-Arab Spring state” in the Gulf, Qatar.

                  Nonetheless, street demonstrations across Algeria and Sudan throughout late 2018/2019 suggest that the Arab Spring is not dead. The leadership in Saudi Arabia and other “pro-status quo states” in the Arab world fear that bottom-up change in Algeria and Sudan could spread across international borders. Bruce Riedel argues that Saudi officials observing events in Algeria “are worried about the implications of an increasingly incapacitated, elderly leader being ousted by popular demonstrations and demands for a more open political system—both anathemas to the Saudi absolute monarchy.” Recent protests in Iraq, Jordan, Lebanon, Morocco, and Tunisia also inform this view that “the Arab street is regaining its voice” in 2019.

                  The leadership in Riyadh is likely hoping that Algeria’s “deep state” (the Algerian military, security apparatus, and business tycoons) remains in power in the Maghrebi country. Just as Saudi Arabia backed Algeria’s military in 1992—with financial aid and by encouraging George H.W. Bush to follow suit—the leadership in Riyadh will likely attempt to help the Algerian authorities maintain their grip over the country, particularly in the wake of Algerian President Abdelaziz Bouteflika’s recently announced resignation.

                  Yet with perpetually low oil prices, a costly war in Yemen, and its own ambitious economic reform program, Riyadh may not have sufficient funds to help Algeria’s leaders maintain power, particularly on top of financial obligations to Egypt and other Arab states. Moreover, Saudi Crown Prince Mohammed bin Salman (MbS) has a reputational problem in Algeria. Protestors demonstrated against his visit to the country last year, and the Algerian president also snubbed him by canceling their meeting. It’s unclear whether Riyadh can convince the Trump administration to back Algeria’s army.

                  The worst-case scenario in Algeria from Saudi Arabia’s perspective would be an anti-status-quo political order emerging in Algiers. Riyadh fears an Islamist ascendancy in Algeria, similar to Egypt in 2011/2012, particularly against the backdrop of anger on the Arab street resulting from Arab states’ warming up to Israel. In February, Abdul Razzaq Muqri, head of Algeria’s Muslim Brotherhood-aligned party, the Movement for a Society of Peace, attacked Riyadh and Abu Dhabi for allegedly supporting Trump’s “Deal of the Century.” He declared that “Saudi Arabia is exploiting its influence and connections to enforce the Deal of the Century and normalize relations with the Zionist entity, while the UAE is concocting the scheme with the occupation state to concretize such [a] plot.” In a grander geopolitical context, officials in Riyadh as well as Abu Dhabi are nervous about Algerian Islamists on friendly terms with Qatar and Turkey shaping the country’s post-Bouteflika era and further distancing Algeria from the kingdom’s influence.

                  At the Arab League summit held last month in Tunis, there was much consensus in discussions about Algeria and Sudan’s deepening crises. But even as they band together to collectively oppress the will of their citizens, while ignoring the need for reforms that can address underlying grievances, these authoritarian governments are not laying the foundations for long-term stability. If the basic needs of a population are not met and the public is not satisfied with government services, civic anger will inevitably boil over in resistance to authorities, no matter how oppressively they govern.

                  What happens next in Algeria, where ordinary citizens are banding together against military, business, and political elites, will matter heavily for the future of the region. Ultimately, most authoritarian regimes in the Arab world appear to have learned the wrong lessons from the events of 2011 and now believe that only more repression can bring stability to unstable corners of the region. Algeria’s ruling elite embraces such thinking at its own peril.

                  By Giorgio Cafiero
                  Lobelog
                  April 3, 2019

                  Giorgio Cafiero is the CEO and founder of Gulf State Analytics, a Washington, DC-based geopolitical risk consultancy. In addition to LobeLog, he also writes for The National Interest, Middle East Institute, and Al Monitor. From 2014-2015, Cafiero was an analyst at Kroll, an investigative due diligence consultancy. He received an M.A. in International Relations from the University of San Diego.
                  Dernière modification par shadok, 13 juillet 2019, 19h06.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                  Commentaire


                  • #10
                    Finalement la main étrangère kayen menha quand ca nous arrange

                    Commentaire


                    • #11
                      « Certain régimes dictatoriaux ne veulent pas l’aboutissement du mouvement révolutionnaire par crainte de contagion et de déstabilisation de leurs régimes »
                      .

                      Le FFS vise ( Certain régimes dictatoriaux ...) :

                      Les monarchies sans exception ...par crainte de contagion et de déstabilisation de leurs régimes
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #12
                        Finalement la main étrangère kayen menha quand ca nous arrange

                        moi j'aimerai bien qu'on m'explique cette logique

                        les regimes dictatoriaux d'Émirats et des tayhoudite sont soumis au puissances démocrates france/Angleterre/usa et non au regimes dictatoriaux de la chine et la Russie
                        je veux bien qu'on m'explique comment a t-on fait pour dissocié ces régimes dictatoriaux des pays démocrates qui leur dictent ce qu'ils doivent faire,dans cette ingérence étrangère? peuvent t'il agir librement sans consulté les puissances démocrates pour obtenir leur OK ?ou tout dépend de la couleur de l'agenda qui est mis en marche
                        L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                        Albert Einstein

                        Commentaire


                        • #13
                          citez moi un seul exemple ou les puissances démocratique ont soutenu un projet de démocratisation d'un régime arabe
                          L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                          Albert Einstein

                          Commentaire


                          • #14
                            on est trop "petits" içi pour comprendre la déclaration du FFS seul parti authentiquement libre qui existe en Algérie malgré les tentatives régulières des "moukhabarates" et le saborder de l'interieur, c'est presque réussi du reste, mais il est encore debout !

                            tous les autres sont des sanafirs, le FLN au musée, le FIS doit signer de deux mains son acceptation de la démocratie et l'alternance au pouvoir.

                            le Hirak est une révolution citoyenne entière mais tant que ça ne produit rien de concret, à savoir devenenir incontournable d'abord ( c'est pas encore le cas, les conférences de l'opposition de mes deux en disent long ) et proposer une sortie de crise CONCRETE, el GAID a un boulevard devant lui
                            je repete, outre la chine et la russie, la France soutient le "changement dans la continuité", sinon elle l'aurait déjà fait savoir, ses chiens s'appellent emirat egypte maroc

                            Commentaire


                            • #15
                              moi j'aimerai bien qu'on m'explique cette logique
                              Fahamni fi hadi please !

                              Le pouvoir algerien a nommé un ikhwani a la tête du parlement, et soutient le gouvernement Siradj en Lybie contre Haftar.
                              Malgré ca on veut nous faire croire que le pouvoir actuel est un chiyate de el imarate
                              Mokhek ydakhan !

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X