- Au péril de sa vie, le Zoulou blanc a mené une vie de musicien qui défie l’imagination. Les médias rendent hommage à son courage, à sa détermination et à son engagement contre la ségrégation raciale
«Johnny Clegg, 1953 – éternité»: «L’inscription, en forme d’épitaphe, s’affiche en surimpression de la photo du musicien sud-africain, regard vert perçant et boucles châtains», sur Daily Maverick, le quotidien en ligne de Johannesburg. Une belle image, repérée par Courrier international, «pour dire le souvenir impérissable que laisse derrière lui ce fervent opposant à l’apartheid, surnommé le Zoulou blanc pour sa musique s’inspirant de rythmes zoulous», disparu ce mardi 16 juillet à l’âge de 66 ans d’un cancer du pancréas-.
https://www.youtube.com/watch?time_c...&v=Sqbx7Nzjzjg
«Johnny Clegg, 1953 – éternité»: «L’inscription, en forme d’épitaphe, s’affiche en surimpression de la photo du musicien sud-africain, regard vert perçant et boucles châtains», sur Daily Maverick, le quotidien en ligne de Johannesburg. Une belle image, repérée par Courrier international, «pour dire le souvenir impérissable que laisse derrière lui ce fervent opposant à l’apartheid, surnommé le Zoulou blanc pour sa musique s’inspirant de rythmes zoulous», disparu ce mardi 16 juillet à l’âge de 66 ans d’un cancer du pancréas-.
https://www.youtube.com/watch?time_c...&v=Sqbx7Nzjzjg
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