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Malgré les liens de son président avec la «RASD», le Maroc se rapproche de l’Ouganda.

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  • Malgré les liens de son président avec la «RASD», le Maroc se rapproche de l’Ouganda.

    Encore une nouvelle couleuvre à avaler par la dictature marocain éludée en " victoire fictive"?

    - Malgré le soutien du chef de l’Etat ougandais, Yoweri Museveni, au Polisario et sa reconnaissance de la «RASD», Rabat et Kampala sont sur le point d’ouvrir une nouvelle page dans leurs relations grâce à la présidente du Parlement, Rebecca Kadaga Alitwala.

    L’offensive du Maroc en Afrique se poursuit. L’Ouganda, autre membre de la communauté de l’Afrique de l’Est où le royaume compte désormais des «alliés», est la nouvelle cible du royaume.

    Il semble que le Maroc ait enfin trouvé en la personne de Rebecca Kadaga Alitwala, présidente du Parlement de l’Ouganda, l’interlocuteur influent à même de l’écouter et de comprendre sa position, notamment sur la question du Sahara occidental.

    Durant les quatre derniers mois, elle s’est rendue à deux reprises au Maroc : en mars et en juillet, du 15 au 17. C’est au cours de sa deuxième visite, inscrite dans le cadre de l’«amitié et du travail», que Mme Alitwala a multiplié les rencontres avec des responsables marocains : outre ses entretiens avec son homologue Habib El Malki, elle s’est réunie avec le chef du gouvernement, Saâdeddine El Othmani et le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita.

    Museveni soutient le Polisario, elle se rend au siège du CORCAS

    Mieux, la présidente du Parlement ougandais s’est même déplacée mercredi 17 juillet au siège du Conseil royal consultatif des affaires sahariennes (CORCAS). Une occasion pour son président Khalihenna Ould Errachid de lui présenter un exposé sur la proposition d’autonomie présentée en 2007 par le royaume.

    Un déplacement en totale contradiction avec la politique étrangère suivie par Yoweri Museveni sur ce dossier depuis son arrivée au pouvoir il y a 33 ans. Pour mémoire, lors de la conférence de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) de soutien au Polisario, organisée en mars en Afrique du Sud, le chef de l’Etat avait dressé un sévère réquisitoire contre la présence du royaume au Sahara.

    En mai, il recevait à Kampala le nouvel «ambassadeur de la RASD», Hammadi Bachir, et lui réitérait l’engagement de son gouvernement à continuer à soutenir le mouvement de Brahim Ghali.

    A 75 ans, Museveni compte briguer un 6e mandat à l’occasion de l’élection présidentielle de 2021. Il a d’ailleurs fait sauter en janvier 2018 l’obstacle de l’âge, limité auparavant par la loi à 73 ans pour occuper la magistrature suprême, balisant ainsi sa réélection. En novembre 2018, un média ougandais annonçait que des députés, dont d’anciens ministres, avaient proposé à Mme Rebecca Kadaga Alitwala de se présenter au scrutin de 2021.

    En attendant cette échéance, la présidente du Parlement ougandais est décidée à développer ses relations avec le royaume. Elle a invité son homologue marocain à prendre part, en qualité de membre observateur, à la 64e session de l’Assemblée parlementaire du Commonwealth, prévue du 22 au 29 septembre à Kampala. Elle plaide également pour l’ouverture d’une ligne aérienne directe entre le Maroc et l’Ouganda-.

    Ya..bi

  • #2
    Si j'étais l'administrateur de ce forum j'aurais interdit tout sujet qui a un lien avec la RASD

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    • #3
      Mieux, la présidente du Parlement ougandais s’est même déplacée mercredi 17 juillet au siège du Conseil royal consultatif des affaires sahariennes (CORCAS)
      Les harkis traîtres et les chitas qui les soutiennent ont déjà mis une pommade spéciale sur leurs joues pour atténuer l'effet de la gifle a venir.

      Commentaire


      • #4
        Même si tous les pays du monde ne reconnaissais pas la RASD moi et mes tribus sahraouis jamais nous serons des sujets esclaves de ton dealer!

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        • #5
          " Mieux, la présidente du Parlement ougandais s’est même déplacée mercredi 17 juillet au siège du Conseil royal consultatif des affaires sahariennes (CORCAS). "

          Pour bien comprendre la réalité de ce passage, il faut savoir que la dictature de l'Ouganda n'a rien à envier à celle marocaine (juste l'obligation du baise- main en moins) et la si la présidente de l'Ouganda a pu rencontrer des membres du CORCAS, c'est avec l'aval du suzerain de l'Ouganda.

          En revanche, l'attitude de la dictature marocaine d'avaler une couleuvre en recevant la ministre d'un pays acquis à la cause du peuple sahraouie est certainement rationnelle et pas critiquable.

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          • #6
            Encore un autre événement secondaire mais les médias marocains éludent bien au-delà de sa réalité d'ordre privé et non gouvernemental.

            - Le Maroc déroule le tapis rouge pour ses relais d'influence

            Les 15 et 16 juillet, Mohcine Jazouli a reçu une délégation inhabituelle pour une tournée au Maroc à la découverte de ses principales infrastructures. Une opération séduction à destination de représentants sud-africains, nigérians, lesothans et kenyans qui témoigne des velléités d’ouverture du Maroc sur de nouveaux acteurs économiques en Afrique, et dévoile un travail d’influence en amont... en tandem avec un think tank sud-africain.

            "Une délégation sud-africaine en visite au Maroc”. La nouvelle a fait la Une des quotidiens du royaume. Télévisions, radios, journaux et sites Web ont largement relayé la visite à caractère économique, les 15 et 16 juillet, d’une délégation présentée comme “sud-africaine”, mais composée “d’institutionnels d’Afrique du Sud, du Nigéria, du Lesotho et du Kenya”, comme l’indique le communiqué sanctionnant la première journée de visite de cette délégation inhabituelle-.


            Medias24.ma

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            • #7
              J'en appelle a moka de serrer le vis a ses troupes,une brebis galeuse vient de se déclarer,
              ce relâchement dans la discipline est inacceptable.

              Merci a elle en tout cas de nous informer des déconvenues passées, présentes et futures des harkis traîtres.

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              • #8
                Et puis, il y aussi cet aveu du 360.ma qui en rappel de l'instauration du Conseil exécutif de l’Union africaine mentionne dans son article du 2 juillet 2018 ceci:

                " La cérémonie officielle de son lancement a eu lieu le 18 mars 2004 à Addis-Abeba, siège de l’Union africaine. Il est dirigé aujourd’hui par le Camerounais Roger Nkodo Dang qui a été réélu, le 10 mai 2018 en Afrique du Sud, pour un deuxième mandat de trois ans. Le Parlement panafricain est considéré comme l'instance parlementaire de l'Union africaine (UA), avec une assemblée constituée de 256 députés issus des assemblées nationales des 53 Etats membres de l'UA."

                Donc des 53 états membres de l'union africaine qui faisait forfait en 2004 au nombre d'aujourd'hui de 55 états membres?: Maroc et sud-Soudan les dernies adhérents à l'union africaine.

                Le 360.ma

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                • #9
                  " Si j'étais l'administrateur de ce forum j'aurais interdit tout sujet qui a un lien avec la RASD "

                  Pour quelle raison censurer ce sujet?

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                  • #10
                    Grand menteur propagandiste.

                    Encore un autre événement secondaire mais les médias marocains éludent bien au-delà de sa réalité d'ordre privé et non gouvernemental.

                    - Le Maroc déroule le tapis rouge pour ses relais d'influence

                    Les 15 et 16 juillet, Mohcine Jazouli a reçu une délégation inhabituelle pour une tournée au Maroc à la découverte de ses principales infrastructures. Une opération séduction à destination de représentants sud-africains, nigérians, lesothans et kenyans qui témoigne des velléités d’ouverture du Maroc sur de nouveaux acteurs économiques en Afrique, et dévoile un travail d’influence en amont... en tandem avec un think tank sud-africain.

                    "Une délégation sud-africaine en visite au Maroc”. La nouvelle a fait la Une des quotidiens du royaume. Télévisions, radios, journaux et sites Web ont largement relayé la visite à caractère économique, les 15 et 16 juillet, d’une délégation présentée comme “sud-africaine”, mais composée “d’institutionnels d’Afrique du Sud, du Nigéria, du Lesotho et du Kenya”, comme l’indique le communiqué sanctionnant la première journée de visite de cette délégation inhabituelle-.


                    Medias24.ma
                    L'article en question n'a jamais été publié par média24,
                    Mais par telquel lequel a restreint sa lecture a ses abonnés.
                    Le type a honte de ne pas avouer sa médisance de ne pas payer pour la cause qu'il "chérit" et s'efforce a défendre de loin derrière son écran, mais quel hypocrisie.

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                    • #11
                      - Le 16 octobre 1975, la Cour internationale de justice rend son avis consultatif sur le droit applicable dans l’affaire du Sahara occidental, estimant que le territoire n’a pas été un terra nullius comme l’avance l’Espagne.

                      Elle reconnait aussi qu’il n’y avait pas de liens juridiques basés sur une souveraineté territoriale entre le Maroc et le Sahara qui «relevait du système juridique musulman fondé davantage sur le lien religieux de l’islam et sur l’allégeance des diverses tribus au Sultan» du Maroc. Mais en conclusion, l’organe de l’ONU «récuse toute référence à une souveraineté territoriale du Maroc, pas plus que de la Mauritanie».

                      Le même jour, le roi Hassan II annonce la Marche verte, marquant un changement radical de la politique du Maroc et aussi de la position algérienne-.

                      Ya..bi, e 18/07/2019 à 16h15

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                      • #12
                        aujourd'hui le Maroc a compris que le développement des relations économiques est un début de solution qui a donné de très bons résultat en Afrique et en Amérique latine ,le polisario a beaucoup perdu et seulement quelques pays le reconnaissent ,mais le décompte a commencé pour sa fin

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                        • #13
                          " aujourd'hui le Maroc a compris que le développement des relations économiques est un début de solution qui a donné de très bons résultat en Afrique et en Amérique latine ,le polisario a beaucoup perdu et seulement quelques pays le reconnaissent ,mais le décompte a commencé pour sa fin "

                          Inexact. En Amérique du Sud, la RASD n'a pas perdu ses importants supports (Cuba, Bolivie, Mexique, entres autres). Seule "perte" importante le Brésil avec le retour du fascisme dans ce pays puisque la Palestine en est également lésée.

                          En Afrique, tant que l'union africaine (UA) reconnaîtra la RASD, la dictature marocaine sera confie et on peut se poser la question sur son adhésion à l'organisation panafricaine.

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