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Le journal américain «The New York Times» a déclaré que la guerre au Yémen était désormais «la marre» du prince héritier saoudien Mohamed ben Salmane (MBS), après le retrait des troupes émiraties de la région, signalant que les Saoudiens pourraient recourir aux États-Unis pour combler le vide.
Le journal rapporta selon des diplomates, et des analystes qu’après quatre ans, «la guerre au Yémen est un fiasco, et le combat que MBS a commencé en 2015, s’est transformé en un grosse marre», ajoutant que le retrait d’un allié important (les Émirats arabes unis (EAU)) oblige plusieurs questions à se poser, au sujet de la capacité de Riyadh à diriger la guerre.
Il note également, selon des diplomates renseignés, que MBS espère une aide de la part de l’administration américaine, affirmant que le Congrès fera son possible pour empêcher une telle action, «ce qui placera MBS dans une situation où les choix seront modestes»
Un chasseur qui se fait chasser.
Le journal américain explique que l’Arabie saoudite se battait en l’air, et que les troupes émiraties assuraient les combats au sol face les Houthis, signalant selon les analystes, que le retrait des EAU risque de causé de graves pertes aux saoudiens.
Il signale aussi que l’Arabie saoudite ne pourra pas se retirer du Yémen à cause des frontières communes, qui s’étendent à plusieurs centaines de kilomètres, surtout dans un moment où les Houthis ont accentué leurs attaques, ciblant des positions profondes dans le royaume.
Le journal continue, en rapportant selon des diplomates que MBS avait demandé aux américains plus de soutien, affirmant que les États-Unis lui vendaient plus d’armes, et lui fournissaient du soutien logistique.
Toutefois, il mentionne que plusieurs politiciens internationaux espèrent que le retrait émirati permettrait à des négociations entre les Saoudiens et les Houthis, ouvrant peut être la possibilité de résoudre le conflit et de mettre fin à une guerre qui déjà fait suffisamment de dégâts.
Courrier Arabe
Le journal rapporta selon des diplomates, et des analystes qu’après quatre ans, «la guerre au Yémen est un fiasco, et le combat que MBS a commencé en 2015, s’est transformé en un grosse marre», ajoutant que le retrait d’un allié important (les Émirats arabes unis (EAU)) oblige plusieurs questions à se poser, au sujet de la capacité de Riyadh à diriger la guerre.
Il note également, selon des diplomates renseignés, que MBS espère une aide de la part de l’administration américaine, affirmant que le Congrès fera son possible pour empêcher une telle action, «ce qui placera MBS dans une situation où les choix seront modestes»
Un chasseur qui se fait chasser.
Le journal américain explique que l’Arabie saoudite se battait en l’air, et que les troupes émiraties assuraient les combats au sol face les Houthis, signalant selon les analystes, que le retrait des EAU risque de causé de graves pertes aux saoudiens.
Il signale aussi que l’Arabie saoudite ne pourra pas se retirer du Yémen à cause des frontières communes, qui s’étendent à plusieurs centaines de kilomètres, surtout dans un moment où les Houthis ont accentué leurs attaques, ciblant des positions profondes dans le royaume.
Le journal continue, en rapportant selon des diplomates que MBS avait demandé aux américains plus de soutien, affirmant que les États-Unis lui vendaient plus d’armes, et lui fournissaient du soutien logistique.
Toutefois, il mentionne que plusieurs politiciens internationaux espèrent que le retrait émirati permettrait à des négociations entre les Saoudiens et les Houthis, ouvrant peut être la possibilité de résoudre le conflit et de mettre fin à une guerre qui déjà fait suffisamment de dégâts.
Courrier Arabe
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