Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Ali Benflis à al-Jazeera : «l’armée n’a pas bloqué les revendications du Hirak, bien au contraire !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Ali Benflis à al-Jazeera : «l’armée n’a pas bloqué les revendications du Hirak, bien au contraire !

    Ali Benflis à al-Jazeera : «l’armée n’a pas bloqué les revendications du Hirak, bien au contraire !


    Algerie1 - Par Hakim Megatli | 21 Juillet 2019 | 17:09


    C’est un Ali Benflis aussi bienveillant que conciliant qui s’est livré au site internet de la chaîne qatarie aljazeera.net.

    Dans un long entretien publié ce dimanche, le président de Talaei El Hurriet a tenu un discours positif à l’égard de l’état-major que beaucoup parmi les partis de l’opposition accusent de vouloir détourner le combat du Hirak pour peser sur l’avenir politique du pays.

    «L’institution militaire a grandement contribué à la concrétisation des revendications du Hirak(…) et nul ne peut nier cette réalité ou tenter de la réduire», a estimé » Ali Benflis pour qui l’armée s’était d’emblée mise du côté du peuple et l’a aidé à faire aboutir ses revendications».

    Tout au long de ses réponses l’ex chef du gouvernement de Bouteflika s’est en effet bien gardé d’émettre la moindre critique à l’égard de l’état-major.

    A la question de savoir si le vrai pouvoir, comme le pensent de nombreux acteurs politiques, est entre les mains des militaires, Benflis s’en est sorti par une pirouette en faisant observer que l’institution est la seule qui a «échappé à l’ancien régime» et qu’elle est restée «unie, solidaire et poursuivait l’exercice de ses missions constitutionnelles».

    Il en veut d’autant plus que toutes les autres institutions de la république ont subi la «désertification politique méthodique ordonnée par l’ancien régime» au point de plonger le pays dans la «pire crise de son existence», souligne Benflis.

    Pour lui la présidence de l’Etat, le sénat, l’assemblée populaire nationale et le conseil constitutionnel ont prouvé leur «incapacité» à trouver une solution à la crise.

    C’est pourquoi d’après lui, l’armée a été contrainte de prendre ses responsabilités pour pallier à cette faillite des institutions «discréditées et illégitimes».

    Au plan politique, Ali Benflis prétend que l’armée "a choisi de se mettre dans le camp du Hirak populaire et qu’elle s’est engagée à l’accompagner jusqu'à la satisfaction de ses revendications pleine et entières».

    L’ex chef du gouvernement du président Bouteflika, qui a réagi favorablement à l’offre de dialogue du chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a réitéré sa disponibilité à s’y inscrire pour réunir les conditions d’une élection présidentielle dans un délai qui ne saurait dépasser six mois.

    Seul bémol de Benflis : Que le pouvoir prenne des mesures de détente comme la libération des détenus d’opinion, l’installation d’un gouvernement de compétences nationales, l’ouverture du champ politique et médiatique et l’installation d’une commission indépendante composée de personnalités nationales «crédibles».
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Toujours prêt à se coucher avec nos casquettes celui là... son chiappa lui préparant son trophée de marionnette de l'armée 2020, avec des files en soie, je cite, super diplomator, Rahabi...

    Le meilleur est à venir...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      À force de remuer la queue en bon toutou il va finir par décoller comme un hélicoptère.
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

      Commentaire


      • #4
        Benflis est impliquer dans l'affaire el khalifa ,il cherche a tous pris comment sauver sa pots ....sa vrais place est une prison aux sud d’Algérie.
        dz(0000/1111)dz

        Commentaire


        • #5
          des quel'affaire el khalifa sera reouverte il le convoquerons
          sinon attendons abdou samar dans ses investigatins pour mieux savoir

          Commentaire


          • #6
            Benflis a choisi son camp.
            Il sera un éternel perdant.

            Commentaire


            • #7
              Pour servir de lièvre lors de la fameuse présidentielle face à abdelaziz, il a eu la licence import-import d'une marque automobile sud coréenne au nom de sa fille il me semble.

              Il y a eu tellement de trucs tordus, on s'y perd.
              “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
              Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

              Commentaire


              • #8
                Sa cure d'opposition ne lui a servit a rien

                Cachir un jour cachir toujours, gallek talayeaa el machin truc

                Commentaire


                • #9
                  benflis n est plus crédible en acceptant d être 1er ministre il s
                  est discrédité il ne représente que lui même il représente le système qui a amené l algerie droit dans le mur

                  Commentaire


                  • #10
                    Ce Benflis a été premier ministre lors du printemps amazigh noir (avril 2001)
                    Cet individu fait partie de la vieille garde du système mafieux
                    En 99, tous les candidats à la présidentielle (dont feu Aït Ahmed Hocine) se sont retirés, lui est resté comme directeur de campagne de bouteflika !
                    Hé hé !
                    « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X