Algérie – Ahmed Taleb Ibrahimi s’est exprimée, une nouvelle fois ce mardi 23 juillet, sur la situation délicate que connait l’Algérie depuis des mois, caractérisée par un blocage politique et une difficulté économique.
C’est par le biais d’un communiqué que l’ancien diplomate a commenté les nouveaux événements. « Mon nom a figuré, sans me consulter, dans la liste des personnalités suggérées pour la conduite et l’organisation d’un dialogue national », a-t-il indiqué d’emblée.
Et d’ajouter, « je remercie toute personne qui m’a accordé sa confiance. Je respecte cette reconnaissance quant à la justesse de ma position depuis que j’ai appelé au dialogue et à la réconciliation nationale pour éviter l’explosion de la tragédie nationale durant les années 90. J’y tiens (à cette position) ».
Pour Taleb Ibrahimi, il faut reconnaître qu’il existe une crise profonde de confiance entre le peuple et ses gouvernants ayant conduit à « la rupture » du 22 février dernier. « Cette rupture a conscientisé les jeunes quant au refus du rafistolage et des demies solutions ».
L’ancien ministre des Affaires Etrangères a estimé, d’ailleurs, que « le rôle du comité de dialogue, censé être créé, sera vain sauf si ce dernier est indépendant dans sa gestion et souverain dans ses décisions ».
Dans ce contexte, Taleb Ibrahimi a réitéré son soutien au Hirak, appelant ses membres « à conserver son caractère pacifique ».
alg 24
C’est par le biais d’un communiqué que l’ancien diplomate a commenté les nouveaux événements. « Mon nom a figuré, sans me consulter, dans la liste des personnalités suggérées pour la conduite et l’organisation d’un dialogue national », a-t-il indiqué d’emblée.
Et d’ajouter, « je remercie toute personne qui m’a accordé sa confiance. Je respecte cette reconnaissance quant à la justesse de ma position depuis que j’ai appelé au dialogue et à la réconciliation nationale pour éviter l’explosion de la tragédie nationale durant les années 90. J’y tiens (à cette position) ».
Pour Taleb Ibrahimi, il faut reconnaître qu’il existe une crise profonde de confiance entre le peuple et ses gouvernants ayant conduit à « la rupture » du 22 février dernier. « Cette rupture a conscientisé les jeunes quant au refus du rafistolage et des demies solutions ».
L’ancien ministre des Affaires Etrangères a estimé, d’ailleurs, que « le rôle du comité de dialogue, censé être créé, sera vain sauf si ce dernier est indépendant dans sa gestion et souverain dans ses décisions ».
Dans ce contexte, Taleb Ibrahimi a réitéré son soutien au Hirak, appelant ses membres « à conserver son caractère pacifique ».
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