Le pouvoir délimite les contours du processus de dialogue qui est prévue dans les prochains jours avec la participation d’un panel de personnalités. “Le dialogue portera sur les conditions d’organisation de cette élection, sur les mécanismes ou les organes à mettre en place pour garantir la transparence et la régularité du scrutin ainsi que sur l’échéancier électoral”, a affirmé le secrétaire général de la Présidence Noureddine Ayadi dans un entretien à l’agence officielle APS.
“Le dialogue devra donc, nécessairement, se concentrer sur l’objectif stratégique que constitue l’organisation de l’élection. Il doit se dérouler dans le cadre de la Constitution qui impose la préservation de l’État, le respect des Institutions et la prévalence de l’intérêt supérieur de la Nation”, a détaillé le SG de la présidence.
“Les participants au dialogue auront la liberté de discuter et de débattre des conditions à réunir pour garantir la crédibilité du scrutin et aborder l’ensemble des aspects législatifs, réglementaires et organisationnels de cette élection, y compris le déroulement du calendrier électoral, ainsi que les mécanismes de son contrôle et de sa supervision”, a-t-il expliqué.
Pour le SG de la présidence, deux points seront, sans doute, au centre des discussions : la mise en place de l’autorité électorale indépendante en charge de l’organisation de la présidentielle et la mise en place d’un cadre juridique, qui nécessitera l’adoption d’une Loi spécifique.
D’autre part, le Panel « pourrait également proposer toutes les mesures qui concourent à apaiser les tensions et à rétablir la confiance autour du processus électoral”, a annoncé M Ayadi
“Assurément, il y a une volonté partagée d’apaiser les esprits, d’assainir le climat politique et de créer les conditions pour un déroulement du scrutin dans une atmosphère sereine et apaisée. Il s’agit donc de mesures d’accompagnement et comme l’a indiqué le Chef de l’Etat dans son discours, celles-ci pourraient faire l’objet de discussions lors du processus de dialogue et l’Etat ne manquera pas de faire ce qu’il faut pour consolider la confiance.
Il s’agit bien entendu de tenir compte des opinons majoritaires, pas des exigences partisanes ou des visions étriquées de ceux qui ne reflètent que des secteurs minoritaires de la société et qui cherchent à imposer, par médias interposés, leurs visions en en faisant des préalables au lancement du processus de dialogue. Ceux-là, en fait, ne veulent pas d’élections crédibles ; voire même les craignent”, a fustigé le SG de la présidence.
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Rédaction du HuffPost Algérie
“Le dialogue devra donc, nécessairement, se concentrer sur l’objectif stratégique que constitue l’organisation de l’élection. Il doit se dérouler dans le cadre de la Constitution qui impose la préservation de l’État, le respect des Institutions et la prévalence de l’intérêt supérieur de la Nation”, a détaillé le SG de la présidence.
“Les participants au dialogue auront la liberté de discuter et de débattre des conditions à réunir pour garantir la crédibilité du scrutin et aborder l’ensemble des aspects législatifs, réglementaires et organisationnels de cette élection, y compris le déroulement du calendrier électoral, ainsi que les mécanismes de son contrôle et de sa supervision”, a-t-il expliqué.
Pour le SG de la présidence, deux points seront, sans doute, au centre des discussions : la mise en place de l’autorité électorale indépendante en charge de l’organisation de la présidentielle et la mise en place d’un cadre juridique, qui nécessitera l’adoption d’une Loi spécifique.
D’autre part, le Panel « pourrait également proposer toutes les mesures qui concourent à apaiser les tensions et à rétablir la confiance autour du processus électoral”, a annoncé M Ayadi
“Assurément, il y a une volonté partagée d’apaiser les esprits, d’assainir le climat politique et de créer les conditions pour un déroulement du scrutin dans une atmosphère sereine et apaisée. Il s’agit donc de mesures d’accompagnement et comme l’a indiqué le Chef de l’Etat dans son discours, celles-ci pourraient faire l’objet de discussions lors du processus de dialogue et l’Etat ne manquera pas de faire ce qu’il faut pour consolider la confiance.
Il s’agit bien entendu de tenir compte des opinons majoritaires, pas des exigences partisanes ou des visions étriquées de ceux qui ne reflètent que des secteurs minoritaires de la société et qui cherchent à imposer, par médias interposés, leurs visions en en faisant des préalables au lancement du processus de dialogue. Ceux-là, en fait, ne veulent pas d’élections crédibles ; voire même les craignent”, a fustigé le SG de la présidence.
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