Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Noms anciens et actuels de villes et villages d'Algérie Origine de ces noms de localités

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Noms anciens et actuels de villes et villages d'Algérie Origine de ces noms de localités

    Jean-Marie THIÉBAUD

    Après la proclamation de l'indépendance de leur pays en 1962, les autorités algériennes ont rebaptisé les localités d'Algérie.
    Les noms de nombreux lieux commencent par AÏN qui, en arabe, signifie "source". C'est dire l'importance de l'eau en Algérie.
    D'autres noms commencent par SIDI, désignant, en arabe, un garçon aïné de la famille et, par extension, tout homme auquel on veut témoigner du respect. Le Cid (El Campeador) tire son nom du SIDI arabe.
    BIR signifie "puits", OUED, la "rivière" (Bab-el-Oued = Porte de la Rivière), OULED, les "enfants" ou "les frères", BORDJ, la "tour" ou la "fortification", KSAR, le "village" (fortifié), "ksar" étant aussi l'adjectif arabe pour "fort".
    Tout naturellement, l'Algérie nouvelle a baptisé plusieurs de ses localités de héros de l'indépendance.

    Noms anciens et actuels des villes et villages d'Algérie
    Origine des noms de ces localités
    Après la proclamation de l'indépendance de leur pays en 1962, les autorités algériennes ont rebaptisé les localités d'Algérie.
    Les noms de nombreux lieux commencent par AÏN qui, en arabe, signifie "source". C'est dire l'importance de l'eau en Algérie.
    D'autres noms commencent par SIDI, désignant, en arabe, un garçon aïné de la famille et, par extension, tout homme auquel on veut témoigner du respect. Le Cid (El Campeador) tire son nom du SIDI arabe.
    BIR signifie "puits", OUED, la "rivière" (Bab-el-Oued = Porte de la Rivière), OULED, les "enfants" ou "les frères", BORDJ, la "tour" ou la "fortification", KSAR, le "village" (fortifié), "ksar" étant aussi l'adjectif arabe pour "fort".
    Tout naturellement, l'Algérie nouvelle a baptisé plusieurs de ses localités de héros de l'indépendance.
    Anciens noms NOUVEAUX NOMS
    Abbo SIDI-DAOUD
    Abdellys (Les) SIDI ABDELLI
    Aboukir MESRA
    Aboukir rappelait le nom d'une victoire de Bonaparte en Egypte le 25 juillet 1799
    Aboutville AÏN-EL-HADJAR
    Affreville (colonia Augusta à l'époque romaine) KHÉMIS MELIANA
    Aïn-Mokra BERR AHA
    Alma (L') BOUDOUAOU
    Alger DJEZAÏR (El-)
    Ampère AÏN AZEL
    Arcole BIR-EL-DJIR
    Arcole rappelait une victoire de Bonaparte (17 novembre 1796)
    Arthur TLELAT ED DOUAIR
    Auguste-Comte : BAGHAÏ
    Aumale : SOUR-EL-GHOZLANE
    Henri Eugène Philippe Louis d'Orlaans, duc d'Aumale (1822-1897), 4e fils de Louis-Philippe et de la reine Amélie, s'est illustré en Algérie, notamment avec la prise de la smala d'Abd-el-Kader en mai 1843, ce qui valut le grade de lieutenant général. IL fut élu à l'Académie française en 1871.
    Auribeau : AÏN CHERCHAR
    Aïn-Sultan : AÏN-SOLTANE
    Baraque(la) : HACHIMIA (El-)
    Barbinais(la) : BIR-AISSA
    Baudens BELARBI
    Lucien Jean Baptiste Baudens (1804-1857), chirurgien d'une grande habilté, professeur à Alger, servit en Algérie au début de la conquête. On lui doit un "Traité des plaies par armes à feu".
    Bedeau RAS-EL-MA
    Marie Alphonse Bedeau (1804-1863) fit toute sa carrière en Algérie à partir de 1834 et fut gouverneur général de l'Algérie.
    Belle Fontaine TIDJELABINE
    Belle-Côte AÏN BOUDINAR
    Bellevue SOUR
    Beni-Mansour BOUDJELLIL (Kabylie)
    Bérard AÏN TAGOURAIT
    Bernelle OULED-El-MA
    Berteaux OULED HAMLA
    Maurice Berteaux fut ministre de la guerre dès 1904. Il mourut dans un accident d'aéroplane en 1911.
    Berthelot YOUB
    Bizot DIDOUCHE MOURAD
    Mourad Didouche, né à El Mouradia, Alger, le 13 juillet 1927, tué au combat lors de la bataille du douar Souadek le 18 janvier 1955, était le chef de la Wilaya II. Il fut l'un des rédacteurs de la Déclaration du 1er novembre 1954. Son adjoint Youcef Zighout a lui aussi donné son nom à une localité de l'Algérie indépendante.
    Blandan BOUTELDJA
    Boghari KSAR-EL-BOUKHARI
    Bône ANNÂBA
    Borély-la-Sapie OUAMRIA
    Bosquet HADJADJ
    Bossuet DHAYA
    Bougainville SENDJAS
    Bougie BEJAÏA
    Bourbaki KHEMISTI
    Brazza ZOUBIRIA
    Bréa (hamau de Tlemcen) ABOU-TACHFINE
    Bugeaud SERALDI
    Thomas Robert Bugeaud de La Piconnerie (1784-1849), maréchal de France, duc d'Isly, consolida la conquête de l'Algérie où il avait été envoyé dès 1836.
    Burdeau MEHDIA
    Auguste Burdeau (1851-1894), ministre des finances en 1893-1894, termina sa carrière comme président de la Chambre des Députés en 1894.
    Cacherou SIDI KADA
    Calle (La) KALA (El-)
    Camp-du-Maréchal TADNAÏT
    Canrobert OUM-El-BOUAGHI
    Certain Canrobert (1809-1895), maréchal de France, fut aide-de-camp du prince Louis-Napoléon.
    Carnot ABADIA (El-)
    Cassaigne SIDI ALI
    Castiglione BOU-ISMAÏL
    Castiglione rappelait une victoire de Bonaparte (5 août 1796)
    Cavaignac BORDJ ABOUL El HASSEN
    Louis Eugène Cavaignac (1802-1857), général, prit part à la conquête de l'Algérie, reçut le commandement de la subdivision de Tlemcen puis, en 1847, succéda à Lamoricière comme gouverneur de la province d'Oran. Enfin, en 1848, il fut nommé général de division et gouverneur général de l'Algérie.
    Cavallo AOUNA (El-)
    Champlain OMARIA (El-)
    Changarnier OUED-ZEBBOUDJ
    Nicolas Anne Théodule Changarnier (1793-1877) fut nommé gouverneur de l'Algérie en 1848
    Chanzy SIDI ALI BEN YOUB
    Antoine Eugène Alfred Chanzy (1823-1883), chef du bureau arabe de Tlemcen, général, devint gouverneur de l'Algérie en 1873.
    Charon BOU KADIR
    Viala Charon (1794-1880) fut gouverneur général de l'Algérie jusqu'en 1849
    Charrier MEFTAH SIDI BOUBEKER
    Chasseloup-Laubat GUIDJEL
    Justin de Chasseloup-Laubat (1805-1873) fut ministre de la Marine sous Napoléon III puis président du Conseil d'Etat en 1869.
    Chassériau BOUZGAHAÏA
    Théodore Chassériau a peint un portrait équestre d'Ali-ben-Ahmet, calife de Constantine (1847), "Le Sabbat dans le quartier juif de Constantine" (1848), des "Femmes mauresques jouant avec une gazelle" (1850), etc.
    Châteaudun-du-Rhumel CHELGOUN-El-AÏD
    Chevreul ARBAOUN
    Chiffalo KHEMISTI-PORT
    Clairefontaine AOUINET (El-)
    Clinchant MATMAR (El-)
    Charles Clinchant (1820-1881) fut général puis gouverneur de Paris
    Col-des-Oliviers AÏN BOUZAINE
    Coligny BOUÏRA
    Colomb-Béchar BECHAR
    Condé-Smendou ZIGHOUT YOUCEF
    Youcef Zighout a été l'initiateur du soulèvement dans le Constantinois.
    Constantine QACENTINA
    Corneille MEROUANA
    Dalmatie OULED-YAICH
    Damiette AÏN-DHAB
    Damiette fut une victoire des Français en 1798 et Kléber y battit les Turcs le 1er novembre 1798
    Davoust KHELIL
    De Malherbe AGHLAL
    Desaix NADOR
    Détrie SIDI-LAHSSEN
    Djidjelli JIJEL
    Dolfusville OUED CHORFA
    Dombasle HACHEM (El-)
    Dominique-Luciani TAKHEMARET
    Dublineau HACINE
    Duperré AÏN ED DEFLA
    Victor-Guy, baron Duperré (1775-1856), amiral et pair de France, commanda la flotte française devant Alger en 1830.
    Dupleix DAMOUS
    Duquesne KAOUS
    Duvivier BOUCHEGOUL
    Franciade-Fleurus Duvivier (1794-1848), général, était présent à la prise d'Alger en 1830 et fit presque toute sa carrière en Algérie
    Duzerville HADJAR (El-)
    El-Arrouch HARROUCH (El-)
    Edgar-Quinet KAÏS
    Edgar Quinet (1803-1875), professeur au Collège de France, maître à penser de la république laïque. IL fut suspendu pour son anticléricalismr en 1846.
    El-Goléa MENIA (El-)
    El-Rahel HASSI-El-GHELLA
    Eugène-Étienne HENNAYA
    Félix-Faure SIDI-MUSTAPHA
    Ferry OUED-El-DJEMAA
    Fleurus HASSIANE ETTOUAL
    Fleurus est une victoire française (1794)
    Fondouk KHEMIS-El-KECHNA
    Fort-de-l'Eau BORDJ-El-KIFAN
    Fort-National LARBAA NATH IRATHEN
    Franchetti SI-AMAR
    Francis-Garnier BENI-HAROUA
    Marie Joseph François dit Francis Garnier (1839-1872), marin et explorateur, mourut en combattant les pirates chinois
    Froha KHARA
    Fromentin TADJENA
    Eugène Fromentin (1820-1876), peintre et écrivain, fut l'auteur de "Un été dans le Sahara" (1857), "Une année dans le Sahel" (1858). on lui doit aussi plusieurs tableaux sur l'Algérie dont "Chasse au faucon en Algérie" (1863), "Campement arabe", "Halte de cavaliers arabes" (1870), "Chasse à la gazelle", "Les gorges de la Chiffa", "La place de la Brèche à Constantine", etc. La plupart de ces toiles sont conservées au Louvre.
    Gallieni BOUATI MAHMOUD
    Gambetta TAOURA
    Léon Gambetta (1838-1882), président du Conseil, préconisa une politique d'expansion coloniale
    Gastonville OUED BERKECHE
    Gastu ZIT EMBA
    Georges-Clemenceau STIDIA
    Geryville BAYAH (El-)
    Gounod ABDI
    Guiard AÏN TOLBA
    Guillaumet AÏN-EL-HAMMAN
    Guyotville AÏN BÉNIAN
    Hamma-Plaisance HAMMA-BOUZIANE
    Hanoteau ZEBOUDJA

  • #2
    Louis Joseph Adolphe Charles Constance Hanoteau (1814-1897), général, fit presque toute sa carrière en Algérie. On lui doit un "Essai de grammaire kabyle", "La Kabylie et les coutumes kabyles" (1873), etc.
    Haussonvillers NACIRIA
    Henri-Duc OUED-ES-SALAM
    Hoche KHABBOUZIA
    Inkermann OUED RHIOU
    Jemmapes AZZABA
    Rappelait la victoire remportée par Dumouriez le 5 novembre 1792
    Kellermann FEDJOUDJ (El-)
    François Christophe Kemmermann, duc de Valmy (1735-1820), maréchal de France, remporta la première victoire de la République
    Kléber SIDI BEN YABKA
    Jean-Baptiste Kléber (1753-1800), général, remporta la victoire de Mont-Thabor et écrasa les Turcs à Héliopolis
    Lacroix AL AÏOUM
    Lacs (Les) OULED ZOUAI
    Lafayette BOUGAA
    Laferrière CHAABAT-EL-LERAM
    Julien Lafferrière (1841-1901), jurisconsulte et administrateur, fut gouverneur général de l'Algérie en 1898
    Lamartine KARIMIA (El-)
    Lambèse TAZOULE
    Lamoricière OUED MIMOUN
    Jean Christophe Léon Juchault de Lamoricière (1806-1865), général, prit une part importante dans la conquête de l'Algérie, notamment lors de la bataille d'Isly (1844). C'est lui qui reçut la soumission d'Abd-el-Kader en 1847.
    Lamy BOU-HADJAR
    François Joseph Amédée Lamy (1858-1900), officier et explorateur, commanda l'escorte militaire de la mission Foureau, de la Méditerranée au lac Tchad
    Lapaine KHEZACAS
    Lappasset SIDI LAKHDAR
    Lavarande SIDI LAKHDAR
    Lavayssière AÏN YOUSSEF
    Lavigerie DJENDEL
    Charles Lavigerie, né à Bayonne (Pyrénées Atlantiques) (1) en 1825, mort à Alger en 1892, fut archevêque d'Alger dès 1867, cardinal en 1882. Il fonda les Missionnaires d'Afrique connus sous le nom de "Pères blancs". Il fut l'instrument de la réconciliation des catholiques français avec la République. (1) On peut voir une statue monumentale de ce prélat à Bayonne, près du pont Saint-Esprit.
    Lecourbe HAMMAOUADIA (El-)
    Lecourbe, général
    Letourneux DERRAG
    Levasseur BIR CHOUADA
    Liebert OULED BESSEM
    Lodi DRAA-ESMAR
    Lodi rappelait une victoire de Bonaparte (9 mai 1796)
    Lourmel AMRIA (El-)
    Frédéric Henri Lenormand de Lourmel (1811-1854), aide-de-camp de Louis-Napoléon, promu général, fut tué en Crimée
    Loverdo OUZERA
    Magenta HACAIBA (El-)
    Magenta rappelait une victoire de Napoléon III sur les Autrichiens (4 juin 1859)
    Maginot CHELLALAT EL ADHAOUARA
    André Maginot fut ministre des colonies en 1917
    Maillot M'CHEDILLAH
    François-Clément Maillot (1804-1894), médecin militaire, répandit l'usage du sulfate de quinine pour soigner les soldats de l'armée d'Afrique touchés par le paludisme. On a donné son nom à la commune de Béni-Mansour en Algérie
    Maison-Blanche DAR-EL-BEÏDA
    Maison-Carrée HARRACH (El-)
    Mangin BRAYA (El-)
    Charles Mangin (1866-1925), général, fut inspecteur général des troupes coloniales. Un paquebot de la compagnie Paquet, reliant Bordeaux à Dakar, portait encore son nom dans les années 1960
    Marbot TARIK IBN ZIAD
    Jean-Baptiste-Antoine-Marcelin, baron de Marbot (1782-1854), maréchal de camp, suivit le duc d'Orléans en Algérie
    Marceau MENACEUR
    Maréchal-Foch AFBATACHE
    Marengo HADJOUT
    Marengo rappelait une victoire de Bonaparte sur les Autrichiens (14 juin 1800)
    Marguerite AÏN-TORKI
    Marnia MAGHNIA
    Martimprey AÏN EL HADID
    Edouard Charles, comte de Martimprey (1808-1883), général, fut sous-gouverneur puis gouverneur de l'Algérie en 1864. Il finit sa carrière comme gouverneur des Invalides.
    Masqueray NACEREDDINE
    Emile Masqueray (1843-1894) fut professeur à Alger de 1871 à 1880. On lui doit de nombreux ouvrages dont "L'Aurès pendant la période byzantine" (1882).
    Masséna OULED BEN ABDELKADER
    Ménerville THENIA
    Mercier-Lacombe SFIZEL
    Michelet AÏN-EL-HAMMAM
    Mirabeau DRÂA BEN KHEDDA
    Ben Youcef Ben Khedda, né à Berrouaghia le 23 février 1920, pharmacien, fut le second président du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA). L'Université d'Alger porte aussi son nom.
    Molière BORDJ BOUNAAMA
    Mondovi DREAN
    Mondovi rappelait une victoire de Bonaparte sur les Piémontais (22 avril 1796)
    Montagnac REMCHI
    Montcalm TAMLOUKA
    Montebello SIDI-RACHED
    Montebello rappelait une victoire de Bonaparte sur les Autrichiens (12 juin 1800)
    Montenotte SIDI AKACHA
    Montenotte rappelait une victoire de Bonaparte sur les Autrichiens (14 avril 1796)
    Montesquieu M'DAOUROUCH
    Montgolfier EAHOULA
    Montpensier BEN BOULAÏD
    Mostefa Ben Boulaïd, né à Arris le 5 février 1917, tué le 22 mars 1956, fut l'un des chefs historiques de la guerre d'Algérie.
    Morris BEN MEHIDI
    Larbi Ben Mehidi, né à Douar el Kouahi en 1923, mort prisonnier en mars 1957 après avoir dirigé la bataille d'Alger, avait été le premier chef de la Wilaya V (Oran). C'est à lui qu'on doit l'apostrophe fameuse : "Jetez la révolution dans la rue et elle sera prise en charge par le peuple".
    Mouzaïa-les-Mines TAMESGUIDA
    Mouzaïaville MOUZAÏA
    Munier AÏN-KERMA
    Navarin BIR-EL-ARCHE
    Nazereg REBAHIA
    Nelsonbourg SIDI-MAHDJOUB
    Noisy-les-Bains AÏN-NOUISSY
    Nouvion GHOMRI (El-)
    Oran WHARAN
    Orléansville CHLEF
    Oued-Imbert AÏN-EL-BERD
    Ouillis ABDELMALEK RAMDAN
    Abdelmalek Ramdane, héros de l'indépendance algérienne, a aussi donné son nom à une place d'Oran.
    Palat MELLAKOU
    Palestro LAKHADARIA
    Palikao RIGHENIF
    Palissy SIDI KHALED
    Parmentier SIDI ALI BOUSSIDI
    Paul-Doumer SIDI-EMBAREK
    Paul-Robert TAOUGRITE
    Paul Robert, né à Orléansville (aujourd'hui Chlef) en Algérie en 1910, mort à Mougins en 1980, lexicographe et éditeur, a dirigé la rédaction du "Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française "(1954-1963). On lui doit aussi le "Petit Robert" (1967).
    Penthièvre AÏN BERNA
    Perigotville AÏN-EL-KEBIRA
    Pérregaux MOHAMMADIA
    Petit BOUMAHRA AHMED
    Philippeville SKIKDA
    Picard KHADRA
    Pirette AÏN-ZAOUIRA
    Pointe-Rouge SOUK-ELBAKAR
    Pont-de-l'Isser BENSEKRANE
    Pont-du-Cheliff SIDI-BEN-ATAR
    Port-aux-Poules MERS-EL-HADJAD
    Port-Gueydon AZEFFOUN
    Prévost-Paradol MECHERAA ASFA
    Prudhon SIDI-BRAHIM
    Rabelais AÏN-MERANE
    Randon BESBES
    Rebeval BAGHLIA
    Renault SIDI M'HAMED BENALI
    Réunion (La) OUED GHIR
    Richelieu AHMED RACHIDI
    Rio-Salado MALAH (El-)
    Rivet MEFTAH
    Rivoli JEZ-ED-CHICH (El-)
    Robertsau (La) ES SEBT
    Rochambeau MEZAOUROU
    Rouffach EBB ZIAD
    Rouget-de-Lisle SOUK-NZAMANR
    Rovigo BOUGARA
    Saint-Aimé JDOUIA
    Saint-Antoine HEDIAEK (El-)
    Saint-Arnaud EULMA
    Saint-Charles RAMDANE DJAMAL (alias RAMDANE DJAMEL)
    Saint-Cloud GOYEL
    Saint-Denis-du-Sig SIG
    Saint-Donat TADJENANET
    Sainte-Barbe-du-Tlélat OUED TLELAT
    Saint-Eugène BOLOGHINE-IBNOU-ZIRI
    Saint-Ferdinand SOUIDANIA
    Saint-Joseph BOUKAMOURA
    Saint-Leu BETHIOUA
    Sainte-Amélie RAHMANIA
    Sainte-Léonie MAGHOUN (El-)
    Saint-Lucien ZAHANA
    Saint-Maur TAMZOURA
    Saint-Pierre-Saint-Paul OULED MOUSSA
    Sidi-Ferruch SIDI-FERDJ
    N.B. : c'est sur les plages de cette localité, à l'ouest d'Alger, que le corps expéditionnaire français a débarqué le 14 juin 1830.
    Stéphane-Gsel HAKIMIA
    Strasbourg EMIR ABDELKADER
    Taine LAAVOUNE
    Tassin HASSI ZENANA
    Téfeschoun KHEMISTI
    Thiers KADIRIA
    Thiersville GHRISS
    Tirman TEGHALIMET
    Tocqueville RAS-EL-OUED
    Tounin KHEIR DINE
    Trembles (Les) SIDI HAMADOUCHE
    Trezel SOUGUEUR
    Trois-Marabouts SIDI BEN ADDA
    Trolard-Taza BORDJ-EL-EMIR-ABDELKADER
    Trumelet DANMOUNI
    Turgot TERCA
    Uzés-le-Duc OUED-EL-ABTAL
    Valée HAMOUDI HAMROUCHE
    Valmy KERMA (El-)
    Vialar TISSEMSILT
    Victor-Duruy CHAABAAT OULED CHELITH
    Victor Duruy (1811-1894), historien, ministre de l'Instruction publique de 1863 à 1869, est le créateur de l'École Pratique des Hautes Études (1868)
    Victor-Hugo HAMADIA
    Voltaire AÏN LECHNIAK
    Waldeck-Rousseau SIDI-HOSNI
    Pierre Waldeck-Rousseau (1846-1904), ministre de l'Intérieur, fit voter la loi créant les syndicats (1884) et, en qualité de président du Conseil, gracier Dreyfus. On lui doit aussi la loi sur les associations (1901).
    Warnier LARBAAT OULED FARES
    Youks-les-Bains HAMMAMET
    N.B. : Hammamet signifie "Les Bains" en arabe.
    Yusuf AÏN-EL-ASSEL
    Zégla MERINE
    Zurich SIDI-AMAR

    Commentaire


    • #3
      Trezel SOUGUEUR
      Camille Alphonse Trézel est un criminel de guerre.

      Stéphane-Gsel HAKIMIA
      Stéphane Gsell, né à Paris le 7 février 1864 et mort à Paris le 1 janvier 1932

      archéologue et historien Français ??? !!!!
      Dernière modification par katiaret, 24 juillet 2019, 23h05.
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        Noms anciens et actuels de villes et villages d'Algérie
        une partie, seulement.

        Commentaire


        • #5
          Camp du Maréchal est Tadmait et non pas Tadnait.

          Commentaire


          • #6
            une partie, seulement.
            Exacte: par exemple comment s'appeler la localité dénommée "Thaourga" un village proche de Dellys dans la wilaya de Boumerdes,j'ai pris exemple ce village car un a une histoire particulière en Kabylie maritime .

            Commentaire


            • #7
              Elle s'appelle Horace Vernet.
              La moitié de ma famille y installée depuis des siècles après être délogée de Dellys.

              Commentaire


              • #8
                j'ai enlevé villes et villages de la 3issaba

                Commentaire


                • #9
                  Montgolfier EAHOULA
                  Montgolfier, commune d'Algérie actuellement nommée Rahouia.
                  Montgolfière, nom du ballon ascensionnel découvert par les frères Montgolfier.

                  La famille de Montgolfier est une famille noble française subsistante[1], dont les membres les plus connus sont les frères Montgolfier, inventeurs de la montgolfière.
                  Elle est venant du Vivarais (Annonay), où elle a exercé pendant plusieurs siècles le métier de papetier.

                  Elle a été anoblie en 1783 en la personne de Pierre Montgolfier, papetier, père des deux frères Montgolfier aéronautes, sans postérité actuelle, et de sept autres fil.
                  dz(0000/1111)dz

                  Commentaire


                  • #10
                    Geryville.... El-BAYAH
                    Poste militaire fondé en 1853 par le général Pelissier près du Ksar d’El Biod sur l’emplacement d’un poste Romain, le fort était entouré d’une haute enceinte avec à ses pieds un groupement de village arabe et quelques maisons européennes formant une agglomération de 800 à 900 individus.

                    Il reçu le nom de « Géryville » en souvenir du colonel Gery qui, en 1845 avait fait une incursion dans la région avec un détachement militaire.

                    Le fort construit en 1853 constituait un embryon de ville, mais une ville qui est restée longtemps exclusivement militaire, la colonisation de la région présentant pour de nouveaux arrivants plus d’inconvénients que d’avantages.

                    Aujourd’hui El Biadh ou El Bayadh. Ville du département de Saïda, construite à 1320 m d’altitude, sur le territoire militaire qui s’étend du Chott el-Chergui jusqu’au grand Erg occidental.
                    D’abord appelée Lignyville, elle doit son nom au colonel Géry, qui dirige la 1re expédition dans le sud de l’Oranie et dont un petit corps de garde pris son nom.

                    En le 20 nov.1852, la construction d’un fort est entreprise par le lieutenant du Génie, futur général de division Segretain, grand père du commandant du 1er BEP mort au champ d’honneur, pour surveiller le pays des Ouled Sidi Cheikh sur le lieu dit El Beïod.

                    Au retour du Mexique, le régiment étranger à 6 bataillons est transformé. L’artillerie et le génie disparaissent et, réorganisé à 4 bataillons, le régiment opère dans la région. À travers les chotts, une chaussée est construite.
                    Pour la damer, un bataillon tout entier fait une heure de pas de gymnastique chaque soir après le travail.
                    Le camp de Géryville est dépourvu d’eau et de bois. L’eau est apportée dans des baquets. Pour se préserver du froid, les légionnaires se terrent dans des trous d’un mètre de profondeur.

                    En raison de la présence des Ouled Sidi Cheickh, révoltés depuis 1854, la région est peu sûre. Diverses sorties sont organisées. Une colonne poussée vers Figuig se heurte à l’hostilité ouverte des habitants, Le retour se fait dans des conditions particulièrement pénibles. Avec le mauvais temps, les chameaux meurent d’épuisement.
                    À bout de force et de vivres, la colonne rentre à Géryville.
                    En 1869, les installations du poste sont améliorées. Les officiers et les Légionnaires habitent des gourbis construits en abodes, briques en terre séchées au soleil. Les toitures sont faites de branches recouvertes d’un tapis de brins de lauriers-roses, d’alfa et de terre mélangée à la chaux. Des lits de camp sont confectionnés en abodes sur lesquels on étend la tente-abri bourrée d’alfa.

                    Ville de garnison, elle accueille les spahis et la Légion étrangère. 1897 – 4e CM/1er bataillon, 1898 – 6e CM/2/2e, 1900 1ère CM/1/2e RE. Dernier poste vers le Sud, constituée en 1914, d’une grande bâtisse en redoute, entourée d’un mur percé de meurtrières.
                    À l’intérieur de la redoute, s’entassent un hôpital, l’intendance, les bureaux de la place, les magasins et le peu de services civils que comporte le poste. À ses pieds, s’étend le camp, le village indigène de cabanes de torchis, et quelques maisons basses abritant la maison de Si Amza, le cercle des officiers, le lavoir, des débits de boissons, une épicerie et des artisans indigènes. Plus tard, l’hôtel du Sahara ouvre son enseigne.

                    Txt CRY
                    dz(0000/1111)dz

                    Commentaire


                    • #11
                      a Elle s'appelle Horace Vernet.
                      Lmoitié de ma famille y installée depuis des siècles après être délogée de Dellys.
                      Exacte, du nom du peintre du même nom qui avait dresser un tableau célèbre à l'époque qui représente la premiére messe en Kabylie en 1854 .

                      Commentaire

                      Chargement...
                      X