En 1999, l'avènement du roi M6 avait nourri d'énormes espoirs. Celui-ci a effectivement entrepris des changements au début: notamment, l'instauration de l'Instance de l'Equité et Reconciliation (IER) restée, malheureusement, inachevée.
- VERBATIM. L’ex-condamné à mort, Mbarek Abbas Bouderka revient sur le processus de réconciliation entamée par le pays il y a 20 ans. Pour le militant des droits de l’Homme, l’expérience marocaine dans ce domaine est inédite.
Lors de la conférence organisée, mercredi 17 juillet à Rabat, par le RNI à l’occasion des 20 ans de règne du Roi Mohammed VI, Mbarek Abbas Bouderka, ancien exilé politique de l'USFP, ex-condamné à mort et membre de l'Instance Équité et Réconciliation (IER) s’est confié sur son expérience personnelle au sein de cette commission ainsi que sur l’évolution du processus de réconciliation mis en place par le Maroc.
Pour ce militant, au-delà des acquis dans ce domaine, le Maroc peut toujours avancer en s’autorisant à faire son autocritique.
Médias24 a précédemment publié les interventions, lors de cet événement, de Nadia Bernoussi, professeur de droit constitutionnel et membre de la commission de révision de la Constitution en 2011, Youssef Saâdani, directeur des études économiques à la CDG, Ali Bouabid, délégué général de la fondation Abderrahim Bouabid et Karim El Aynaoui, directeur du think tank Policy Center for The New South-.
(à suivre)
Medias 24.ma
- VERBATIM. L’ex-condamné à mort, Mbarek Abbas Bouderka revient sur le processus de réconciliation entamée par le pays il y a 20 ans. Pour le militant des droits de l’Homme, l’expérience marocaine dans ce domaine est inédite.
Lors de la conférence organisée, mercredi 17 juillet à Rabat, par le RNI à l’occasion des 20 ans de règne du Roi Mohammed VI, Mbarek Abbas Bouderka, ancien exilé politique de l'USFP, ex-condamné à mort et membre de l'Instance Équité et Réconciliation (IER) s’est confié sur son expérience personnelle au sein de cette commission ainsi que sur l’évolution du processus de réconciliation mis en place par le Maroc.
Pour ce militant, au-delà des acquis dans ce domaine, le Maroc peut toujours avancer en s’autorisant à faire son autocritique.
Médias24 a précédemment publié les interventions, lors de cet événement, de Nadia Bernoussi, professeur de droit constitutionnel et membre de la commission de révision de la Constitution en 2011, Youssef Saâdani, directeur des études économiques à la CDG, Ali Bouabid, délégué général de la fondation Abderrahim Bouabid et Karim El Aynaoui, directeur du think tank Policy Center for The New South-.
(à suivre)
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