Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bensalah reçoit Karim Younès, Lalmas et Benabbou, annonce imminente du dialogue

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bensalah reçoit Karim Younès, Lalmas et Benabbou, annonce imminente du dialogue

    Algérie- Le Chef de l’Etat Abdelkader Bensalah a reçu aujourd’hui, jeudi 25 juillet, plusieurs personnalités pressenties pour mener le dialogue inclusif en vue d’une sortie de crise.

    Abdelkader Bensalah a notamment reçu l’ancien Président de l’Assemblée populaire nationale Karim Younès et les juristes Fatiha Benabbou et Ismail Lalmas. Ces trois personnalités font partie de la liste proposée par le Forum civil pour le changement d’Abderrahmane Arar.


    alg 24

  • #2
    Ismail Lalmas vient de se faire griller. Le Hirak va lui répondre le vendredi prochain dans la rue.

    Les deux autres se sont des opportunistes qui n’inspirent pas confiance.
    Dernière modification par shadok, 25 juillet 2019, 14h33.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

    Commentaire


    • #3
      Bensalah reçoit Karim Younès, Lalmas et Benabbou, annonce imminente du dialogue
      Qu'en pense Ali Belhadj ?
      Donc à vendredi apres le minbar ...

      Commentaire


      • #4
        Karim Younès et les juristes Fatiha Benabbou et Ismail Lalmas. Ces trois personnalités font partie de la liste proposée par le Forum civil pour le changement d’Abderrahmane Arar

        enfin quelques chose de sérieux et des personnes intégres et crédibles qui ont cru.
        L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
        Albert Einstein

        Commentaire


        • #5
          Le chef de l’Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, a reçu, ce jeudi 25 juillet, six membres de la commission chargée de diriger le dialogue et la médiation, rapporte TSA.
          Il s’agit, selon la même source, de Karim Younes, qui devrait diriger la commission, Fatiha Benabbou, Smail Lalmas, Azzedine Benaissa, Lazhri Bouzid et Abdelwahab Bendjeloul.
          « Lors de cette rencontre, le président Bensalah s’est montré disponible à satisfaire les préalables, notamment concernant la libération des détenus d’opinion et la levée des restrictions sur les médias », souligne la même source.

          D’autres sources médiatiques indiquent que la liste des personnalités devant mener le dialogue nationale sera annoncée aujourd’hui à 20h00. Ces personnalités nationales qui vont piloter le dialogue en prévision de la tenue dans les «plus brefs délais» d’une élection présidentielle, sont «indépendantes et non partisanes», indique la même source.
          ...................

          Commentaire


          • #6
            Abdelkader Bensalah vient de nommer 6 personnalités pour entamer le dialogue à savoir:

            - Karim Younes (ex president de l'APN)


            - Fatiha Benabbou (constitutionnaliste)

            - Smail Lalmas (expert en économie)

            - Bouzid Lazhari ( constitutionnaliste, université de Constantine, ancien sénateur)

            - Abdelwahab Bendjelloul (syndicaliste)

            - Azzedine Benaissa (professeur, Université de Tlemcen)




            .
            Dernière modification par sako, 25 juillet 2019, 16h18.

            Commentaire


            • #7
              Ah c’est leur compréhension du dialogue inclusif ? C’est à dire entre eux oeilfermé
              Ma fihach kheir
              Votre ennemi c'est celui que vous n'avez pas encore invité à déjeuner Edgar Faure

              Commentaire


              • #8
                On va changer la devise.

                Par la mafia, pour la mafia.

                Amine.
                “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                Commentaire


                • #9
                  Ismail Lalmas vient de se faire griller.


                  المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

                  Commentaire


                  • #10
                    Voila un debut de sortie de la crise

                    Commentaire


                    • #11
                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...0&postcount=40

                      04/02/2018, 04h41 #40
                      nacer-eddine06

                      n enterrez pas si vite belkhadem ils le sortiront du chapeau pour brouiller un peu plus le jeu

                      ou sinon les seuls qui peuvent mettre l algerie de plein pied dans le 22eme siecle
                      je ne vois qu ouyahia -said saadi-karim tabou-....karim younes ex ministre ex president de l apn(aura l appareil du fln avec lui)
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                      Commentaire


                      • #12
                        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...44&postcount=1

                        A QUOI RESSEMBLE L’ALGERIE D’AUJOURD’HUI ? Par karim younes
                        -novembre 20, 2017

                        Peut-on faire une analyse synchronique de notre situation socio-économique sans un regard sur les défis présents et futurs qui nous interpellent ?
                        Nous avons été un vaste champ d’expérimentation de nombreux modèles économiques mais l’évaluation globale des stratégies mises en place n’a pas donné de résultats probants.
                        Aujourd’hui, nous sommes en droit de poser les questions suivantes : quelles stratégies, quelles visions, quelles ambitions développons-nous en définitive pour notre pays ?
                        Notre pays a vécu durant la dernière décennie au rythme des travaux d’infrastructures que des experts bien rodés considèrent toutefois comme une nécessité pour rattraper le retard pris par le pays. Certes du point de vue économique, nul ne conteste l’utilité des barrages, des usines de dessalement et aussi des autoroutes. Ils sont un élément clé du développement, de la productivité et de l’attrait du pays.
                        Néanmoins, une question s’impose : comment développer notre savoir-faire en même temps, lorsque l’on sait que ces travaux -des autoroutes jusqu’aux bâtiments en passant par les télécoms – sont réalisés par d’autres pays sans transfert de technologie ? Ils sont même de plus en plus réalisés « clés en main », soit avec des technologies et de l’expérience dont nous ne tirons, souvent, aucune capitalisation, soit avec des matériaux et une main d’œuvre ordinaire de plus en plus importés, ce qui pourrait signifier que « nous importons des logements clés en main » au lieu de les réaliser.
                        En vérité ces grands projets – portant sur des travaux d’infrastructures indispensables pour le pays et rendus possibles par l’aisance financière découlant d’une conjoncture pétrolière favorable mais de durée exceptionnelle – ont été réalisés avec trois défauts majeurs :
                        – Des surcouts importants et des retards dus, aussi bien à une mauvaise préparation (absence ou médiocrité des études de faisabilité), qu’à un suivi rigoureux, et bien sûr facilités par l’aisance financière,
                        – L’absence d’actions et de mesures d’accompagnement à travers d’autres projets d’investissement complémentaires pouvant donner naissance à de la valeur ajoutée nationale, et donc au plan des emplois durables. On constate, hélas, que toutes les réalisations faites sont certes bénéfiques et nécessaires, mais elles n’ont contribué à ce jour qu’à accroitre de façon effrénée la consommation intérieure sans aucune valeur ajoutée.
                        – Le développement de la corruption.
                        Ce ne sont pas les aspects techniques de passation des marchés qui expliquent l’explosion de la corruption ‒ qui existait depuis toujours quoique à moindre ampleur – mais l’impunité dont bénéficient les auteurs majeurs des malversations et surtout le niveau incroyablement élevé dans la hiérarchie de la gouvernance de ces auteurs et leur proximité avec les centres de décision du pouvoir.
                        Le problème de la corruption, débridée d’ailleurs, est encore perçu aujourd’hui, comme un élément intrinsèque d’un mode de gouvernance aux antipodes des intérêts nationaux, plus précisément pour la stabilité des institutions et plus généralement pour la stabilité socio-économique.
                        Dans le même ordre d’idées, comment ne pas s’inquiéter de voir se constituer un tissu d’entreprises axées pour l’essentiel sur l’importation non pas de machines-outils et de moyens ou capacités de création et production de biens à consommer ou à exporter, mais de produits finis qui inhibent totalement la production locale quand elle existe, ou toute volonté de produire localement ?
                        Comment faire face de manière décisive à la nécessité de diversifier nos sources de revenus à travers la création de nouvelles richesses et réduire notre dépendance des hydrocarbures s’il n’existe aucune stratégie industrielle autre que celle du laisser-faire ? La politique de désindustrialisation a abouti à une économie de bazar, avec un tout-import assis sur une rente pétrolière qui s’épuisera pourtant un jour.
                        Comment ne pas s’inquiéter lorsque l’on sait que dans une dizaine d’années, la population frôlera les cinquante millions d’habitants alors que d’autre part les réserves d’hydrocarbures s’amenuisent naturellement (même si on espère de nouvelles et importantes découvertes) et que l’économie productive hors hydrocarbures est incapable de prendre la relève ?
                        Notre pays a dilapidé une bonne part de ses ressources. La faute en incombe à des politiques hasardeuses et incohérentes, parfois inspirées par la démagogie et souvent aveugles aux réalités du temps. L’ampleur des dégâts se révèle sous nos yeux, corroborée par des remous sociaux de plus en plus exacerbés.
                        Notre pays est par ailleurs en retard dans la marche des nations vers la stabilité institutionnelle. Nous n’avons pas su ou pu « sédentariser » la démocratie et le dialogue comme moyens de gouvernance.
                        L’image est très inquiétante, on voit ce qu’on n’a jamais vu, le délitement progressif de l’État algérien.
                        L’Algérie reste un pays où la situation politique est bloquée mais dont la posture stratégique évolue. Il y a de cela à peine une dizaine d’années, les Etats-Unis et les Occidentaux de façon générale ne considéraient l’Algérie que pour des intérêts commerciaux. La posture de l’Algérie change à la faveur de la reconfiguration géopolitique dessinée par les puissants.
                        Cette évolution géopolitique de l’Algérie découle déjà du basculement du pays du camp des non-alignés vers une collaboration avec l’OTAN en Méditerranée dans le cadre du partenariat pour la Méditerranée. Cette collaboration tenue jusqu’ici loin de l’opinion publique ne devrait pas se faire à l’encontre de nos intérêts stratégiques.
                        Le monde est en train de vivre une transformation globale de son économie et plus particulièrement des échanges et des relations. Il est certes de plus en plus caractérisé par la globalisation et le libre-échange, mais de nouvelles tendances sont observables à travers un nouveau président américain qui parle et défend le protectionnisme, un nouveau président français qui parle de patriotisme économique et même de nationalisation, tandis que le président chinois va à Davos parler de libre-échange.
                        Il faut ajouter à tous les enjeux géostratégiques, le progrès technologique dont les avancées sont en train d’accélérer les mutations auxquelles nous devrions faire face.
                        Dans une situation pareille, il n’y a pas d’autre choix que d’agir pour affronter les défis futurs ou subir les changements qui seront imposés de l’extérieur, et liés aussi bien à des fragmentations que des regroupements de territoires entrainant une modification complète des économies régionales.
                        L’Algérie est par conséquent face à un point de non-retour, caractérisé par l’absence de stratégie et de vision à long terme, sur tous les plans : humain, socio-culturel, politique et économique.
                        En premier lieu, il faut prendre conscience qu’il est vain de prétendre développer l’économique sans avoir au préalable assaini le politique.
                        Il n’y a pas de développement significatif sans démocratie. Aussi, est-il nécessaire de prime abord de mettre fin à la déliquescence de l’Etat actuel pour bâtir un véritable Etat de droit fondé sur des principes démocratiques et reposant sur des Institutions élues démocratiquement, une justice égale pour tous et indépendante.
                        Il faut par ailleurs libérer toutes les initiatives, qu’elles soient publiques ou privées, de toute tutelle ou système d’allégeance. Il faut redonner aux entreprises l‘autonomie et la stabilité qui leur avaient été conférées par la loi au début des années 90. Le choix des managers doit reposer sur les critères de la méritocratie et non du régionalisme et/ou du népotisme.
                        Il convient enfin d’améliorer le climat des affaires en revenant aux lois sur les investissements du début des années 90 et en mettant fin à cette règle des 51/49 contestable pour de nombreux secteurs d’activité sauf pour les domaines stratégiques liés à la souveraineté ou la sécurité nationale.
                        Notre pays doit miser sur le savoir et la connaissance et faire confiance à ses élites qu’elles vivent sur le sol national ou à l’étranger au sein de cette diaspora qui réussit si bien et qui est prête à contribuer au développement de son pays. C’est par l’émulation que l’on peut mobiliser les énergies, forger ou réveiller des convictions et créer des élans patriotiques.
                        Karim Younes
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                        Commentaire


                        • #13

                          Commentaire


                          • #14
                            Il n’a pas dit yetnahaw ga3 mais a parlé de la tenue de la présidentielle dans le délai le plus court possible

                            En même temps il dit ne pas représenter le hirak, mobadara tayiba a3la kouli hal mais en fait s’il ne représente ni le hirak ni le pouvoir, il fait trait d’union entre qui et qui ?
                            Votre ennemi c'est celui que vous n'avez pas encore invité à déjeuner Edgar Faure

                            Commentaire


                            • #15
                              Les personnalités nationales crédibles pour diriger le dialogue sont des gens comme Taleb Brahimi et Djamila Bouhired.

                              Pas de confiance dans ce Karim Younes qui s’est proposé lui-même. Des informations disent qu’il a été approché par le pouvoir pour conduire le dialogue avant qu’il soit proposé par le forum civil pour le changement (voir le dernier CPP). Les autres sont des opportunistes qui ont des ambitions politiques. Ils vont être bouffer par le pouvoir comme de petites brebis.
                              Dernière modification par shadok, 25 juillet 2019, 19h41.
                              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X