Les Algériens s’apprêtent à vivre aujourd’hui une nouvelle journée de mobilisation populaire contre le Régime en place pour le 23e vendredi consécutif. Les hirakistes, toujours fidèles a leurs revendications portées depuis le 22 février notamment le départ de tous les symboles du système devront répondre à la formule du « dialogue national » proposé par les tenants du pouvoir pour une sortie du crise politique que vit le pays depuis plusieurs mois. Une impasse dont les effets se répercuteront indubitablement sur la sphère économique.
Cette nouvelle journée de mobilisation intervient au lendemain de l’annonce par six personnalités nationales de la mise en place d’une commission de dialogue présidée par l’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Karim Younes en compagnie de Smail Lalmas, Fatiha Benabbou, zedine Benaïssa, Lazhari Bouzid et Abdelouahab Bendjelloul.
cependant, Les six personnalités devant mener le dialogue et la mediation ont posé leurs conditions au chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah notamment la mise en place de mesures d’apaisement par la libération de tous les détenus du hirak. Une condition que Bensakah s’est dit disposé « à étudier la possibilité d’élargissement des personnes font l’interpellation s’est faite en lien avec le déroulement des marches populaires »
Toutefois, malgré la promesse de Bensalah d’alléger le dispositif mis en place par les services de sécurité pour garantir la liberté de circulation » lors des marches populaires, rien ne sembler changer sur le terrain. le dispositif policier est similaire aux vendredis précédents. La police est fortement déployée dans la capitale.
Inter-Lignes
Cette nouvelle journée de mobilisation intervient au lendemain de l’annonce par six personnalités nationales de la mise en place d’une commission de dialogue présidée par l’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Karim Younes en compagnie de Smail Lalmas, Fatiha Benabbou, zedine Benaïssa, Lazhari Bouzid et Abdelouahab Bendjelloul.
cependant, Les six personnalités devant mener le dialogue et la mediation ont posé leurs conditions au chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah notamment la mise en place de mesures d’apaisement par la libération de tous les détenus du hirak. Une condition que Bensakah s’est dit disposé « à étudier la possibilité d’élargissement des personnes font l’interpellation s’est faite en lien avec le déroulement des marches populaires »
Toutefois, malgré la promesse de Bensalah d’alléger le dispositif mis en place par les services de sécurité pour garantir la liberté de circulation » lors des marches populaires, rien ne sembler changer sur le terrain. le dispositif policier est similaire aux vendredis précédents. La police est fortement déployée dans la capitale.
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