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Ben Salah s’apprête à limoger le chef des armées Gaïd Salah
Le torchon brûle entre El Mouardia au siège de la présidence et El Biar où se situe le ministère de la défense. Des sources proches de la présidence ont fait courir le bruit d’un prochain limogeage du vice ministre de la défense Ahmed Gaid Salah. Les récentes montées au créneau des chefs des armées et le désaveux public qu’il a apporté aux déclaration du président par intérim A.Ben Salah n’ont pas été du gout de ce dernier.
Selon la présidence des contacts avancés sont sur le point d’aboutir pour rappeler une dizaine d’officiers de haut rangs dans l’institution militaire pour parer à un éventuel coup de force de l’actuel général major. Le nom du général major Mohammed Hammadi, limogé par A; Bouteflika ne cesse de revenir comme possible remplaçant de Gaïd Salah. Ce dernier est considéré par Alger et certaines capitales occidentale comme le maillon qui empêche le retour à la stabilité en Algérie.
De par son omnipotence et ses clivages directs avec la rue, l’actuel homme fort de la place d’Alger suscite de plus en plus de défiance au sein à la fois de l’armée et des cercles de décision algériens. Il cristalise à lui seul la colère de la rue, qui ne semble pas s’estomper à cause de ces méthodes de « burin ».
Reste à savoir le sort qui lui sera réservé et à ses protégés, dont ses enfants et son beau fils une fois qu’il aura plus les mains sur les manettes du pouvoir?
kab-news
== MODERATION ==
Topic fermé car le texte a été signalé comme intox. Il est recommandé de ne poster que des infos avérées et d'éviter de poster des intox.
Selon la présidence des contacts avancés sont sur le point d’aboutir pour rappeler une dizaine d’officiers de haut rangs dans l’institution militaire pour parer à un éventuel coup de force de l’actuel général major. Le nom du général major Mohammed Hammadi, limogé par A; Bouteflika ne cesse de revenir comme possible remplaçant de Gaïd Salah. Ce dernier est considéré par Alger et certaines capitales occidentale comme le maillon qui empêche le retour à la stabilité en Algérie.
De par son omnipotence et ses clivages directs avec la rue, l’actuel homme fort de la place d’Alger suscite de plus en plus de défiance au sein à la fois de l’armée et des cercles de décision algériens. Il cristalise à lui seul la colère de la rue, qui ne semble pas s’estomper à cause de ces méthodes de « burin ».
Reste à savoir le sort qui lui sera réservé et à ses protégés, dont ses enfants et son beau fils une fois qu’il aura plus les mains sur les manettes du pouvoir?
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