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Pour Melilla, les conséquences de la fermeture du Maroc de sa frontière commerciale «sont catastrophiques»

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  • Pour Melilla, les conséquences de la fermeture du Maroc de sa frontière commerciale «sont catastrophiques»

    Quand Rabat plagie Alger!

    - Il y a une année le Maroc avait ordonné la fermeture de sa frontière commerciale avec Melilla, au grand dam des commerçants de la ville et des protestations des politiques. Depuis, Rabat n’a toujours pas fléchi sa position.


    Le 1er août 2018, le Maroc fermait sa frontière commerciale avec Melilla. En une année, «les conséquences de la fermeture de la douane sont catastrophiques» pour l’économie locale, a révélé le président de la Confédération des entrepreneurs, José Reyes García dans une interview accordée ce jeudi à El Faro de Melilla.

    Bien qu’il ait reconnu que la solution au problème est avant tout «politique», il a annoncé que son association a tenu des réunions avec des investisseurs de Nador et Béni Nsar qui «eux aussi gagnent leurs pain» du commerce transfrontalier, a-t-il expliqué.
    (…).
    Sur cette question, le royaume n’est guère pressé pour accorder un cadeau à l’Espagne. Dès les premiers jours de la fermeture, le gouvernement El Othmani a clairement fait savoir qu’il s’agit d’une «décision souveraine qui concerne le Maroc». «Rabat a pris cette décision conformément à sa souveraineté nationale» afin de «développer l’activité du nouveau port de Nador», avait affirmé le 30 août lors d’un point de presse le ministre des Relations avec le Parlement, Mustapha El Khalfi.

    Ya..bi(extraits).



    .
    Dernière modification par rago, 01 août 2019, 19h21.

  • #2
    Ça te tuerait probablement de publier l'article entier petit malhonnête.



    Pour Melilla, les conséquences de la fermeture du Maroc de sa frontière commerciale «sont catastrophiques»
    Il y a une année le Maroc avait ordonné la fermeture de sa frontière commerciale avec Melilla, au grand dam des commerçants de la ville et des protestations des politiques. Depuis, Rabat n’a toujours pas fléchi sa position.

    Temps de lecture: 2'
    DR
    Le 1er août 2018, le Maroc fermait sa frontière commerciale avec Melilla. En une année, «les conséquences de la fermeture de la douane sont catastrophiques» pour l’économie locale, a révélé le président de la Confédération des entrepreneurs, José Reyes García dans une interview accordée ce jeudi à El Faro de Melilla.

    Bien qu’il ait reconnu que la solution au problème est avant tout «politique», il a annoncé que son association a tenu des réunions avec des investisseurs de Nador et Béni Nsar qui «eux aussi gagnent leurs pain» du commerce transfrontalier, a-t-il expliqué.



    Force est de constater qu’en douze mois, le discours du patronat à Melilla a bien évolué. En 2018, la confédération était montée au créneau pour dénoncer la décision marocaine au point de solliciter l’intervention de la chancelière allemande, Angela Merkel alors en visite privée en Espagne, pour «résoudre le problème gravissime» avec Rabat.

    Désormais, son nouveau président plaide pour «de bonnes relations avec le Maroc. Nous sommes tous d’accord sur ce point. Il nous parait bon que le nord du Maroc se développe (…) mais dans notre ville nous avons aussi le droit de commercer et d’exporter».

    Le dialogue au point mort ?

    Visiblement, le dialogue entre le Maroc et l’Espagne sur cette question n’a pas avancé, comme le constate José Reyes García. Les directeurs des douanes dans les deux pays se sont rencontrés pour aborder cette question. Lors de leur dernière réunion, qui remonte au 10 juin, Rabat avait encore une fois refusé la présence de représentants de commerçants de Melilla, à la table des discussions.

    «Nous ne savons pas si les négociations progressent. Ce que nous savons, c'est que l'Espagne a fait une série de propositions au Maroc et que le pays voisin a dit oui pour certaines et non pour d’autres.»

    José Reyes García, président de la Confédération des entrepreneurs
    Sur cette question, le royaume n’est guère pressé pour accorder un cadeau à l’Espagne. Dès les premiers jours de la fermeture, le gouvernement El Othmani a clairement fait savoir qu’il s’agit d’une «décision souveraine qui concerne le Maroc». «Rabat a pris cette décision conformément à sa souveraineté nationale» afin de «développer l’activité du nouveau port de Nador», avait affirmé le 30 août lors d’un point de presse le ministre des Relations avec le Parlement, Mustapha El Khalfi.

    Pour sa part, l’exécutif Sanchez a compris le message et s’est gardé de faire pression sur Rabat. Officiellement, la question est absente des réunions tenues durant les douze deniers mois entre les deux chefs de diplomatie et les ministres de l’Intérieur. Par ailleurs, le sujet n’est plus à la une de l’actualité espagnole.



    Même la droite classique qui avait fait de la fermeture un de ses thèmes favoris pour dénoncer la politique de Pedro Sanchez a fini par opérer un retrait. La perte de la présidence de Melilla par José Imborda y est probablement pour quelque chose.



    Ya biladi

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    • #3
      Souveraineté marocaine pour le royaume mais non pour les autres pays! Ali Bouzerda se prendrait-il par Nabilla!


      - Allô Alger… Y a-t-il quelqu’un à l’écoute?

      On s’en doutait un peu, mais les faits sont malheureusement têtus. Et pour cause : c’est un silence radio à Alger suite à l’appel du roi Mohammed VI à une réconciliation entre frères et à ouvrir un nouveau chapitre dans les relations bilatérales maroco-algérienne.

      Le roi Hassan II disait souvent que face à la méchanceté de l’autre, il faut continuer à faire du bien, jusqu’à ce que le bien vainc le mal.
      Cette sagesse illustre bien la volonté sincère du roi du Maroc de tourner la page du passé, une page marquée par des malentendus et des nuages passagers.

      Lors du discours du Trône du 29 juillet 2019, le roi a lancé un nouvel appel, réaffirmant l’engagement sincère du Maroc à garder « la main tendue » en direction de l’Algérie.

      « Nous réaffirmons notre engagement sincère à garder la main tendue en direction de nos frères en Algérie, fidèles en cela aux liens de fraternité, de religion, de langue et de bon voisinage, qui unissent depuis toujours nos deux peuples frères », a souligné le roi dans un discours radio-télévisé-.

      Aticle19.ma (extraits)

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      • #4
        Escomptons qu'il ne s'agisse pas d'une mesure de rétorsion par l'Espagne contre la fermeture de la frontière décidée par le Maroc. Déjà que ce dernier a fait éclore la formation fasciste ibérique de VOX!:22:

        - A Melilla, plus de 200 enfants marocains sans papiers ne peuvent pas aller à l’école

        .Les familles marocaines sans titre de résident à Melilla se trouvent dans la contrainte de ne pas scolariser leurs petits. A l’approche de la rentrée scolaire, attendue le mois prochain, le quotidien El País indique que 243 enfants sont concernés, soit 1,2% des 19 300 écoliers en âge d’être inscrits dans les établissements publics de l’enclave.

        «Ce sont des enfants de la ville, ils n’ont peut-être pas de documents, mais ce sont des raisons qui ne leur sont pas attribuables», explique José Palazón, fondateur de l’Association locale pour la défense des droits de l’enfant (Prodein). Parmi ces cas, des enfants nés à Melilla mais sans nationalité espagnole ou marocaine, en plus des mineurs marocains âgés de 3 à 16 ans.

        Le journal espagnol explique que l’institution ibérique du Médiateur a demandé au gouvernement de résoudre ce problème d’«invisibilité administrative» à travers «des mesures permanentes», du moment que la Constitution reconnaît le droit à l’éducation de tous les enfants en Espagne, «quelle que soit la situation de leurs parents»-.


        Ya..bi (extraits)

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        • #5
          Il nous parait bon que le nord du Maroc se développe (…) mais dans notre ville nous avons aussi le droit de commercer et d’exporter
          Ahh le retour a de bons sentiments de l'espagnol qui se croyait tout fort avant,
          Ce sera aux conditions marocaines,mais je doute qu'un retour a la situation d'avant la fermeture soit sur l'agenda du Maroc.

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