Les algeriens sont ingrats. Personne ne les egorge une fois par an, et ils osent defiler dans la rue pour exprimer leur mecontentement.
Ils doivent comparer leur situations au pauvres moutons en Algerie. Chaque annee, un pourcentage non negligeable sont egorges. Les humains doivent donc rentrer chez eux et, au nom de l'egalite homme-femme-mouton, laisser aux plus oprimes des trois (les moutons) le champ libre pour reparer les injustices contre eux avant de sortir de nouveau pour protester contre leur problemes qui, comparativement, sont banals (interdiction de marier les etrangers pour les femmes, absence de democratie pour les hommes, femmes et moutons, etc.)
Ils doivent comparer leur situations au pauvres moutons en Algerie. Chaque annee, un pourcentage non negligeable sont egorges. Les humains doivent donc rentrer chez eux et, au nom de l'egalite homme-femme-mouton, laisser aux plus oprimes des trois (les moutons) le champ libre pour reparer les injustices contre eux avant de sortir de nouveau pour protester contre leur problemes qui, comparativement, sont banals (interdiction de marier les etrangers pour les femmes, absence de democratie pour les hommes, femmes et moutons, etc.)
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