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Les prix du cheptel sont abordables et ont même beaucoup baissé cette année comparativement à ceux de l’année dernière, et ce, dans tous les marchés aux bestiaux du sud de la wilaya où existe un fort potentiel d’élevage ovin. À une semaine de la célébration de la fête de l’Aïd, le niveau des prix du mouton se situe dans la fourchette de 40 000 à 60 000 DA dans les marchés hebdomadaires de Chellalet El-Adhaoura (120 km au sud-est du chef-lieu de wilaya) et dans la commune voisine de Birine (wilaya de Djelfa).
Pour les éleveurs et les maquignons rencontrés dans ces marchés, les prix sont jugés favorables à l’acheteur et sont “à la portée de n’importe quelle bourse moyenne ; ils sont même inférieurs d’environ 10 000 DA à ceux de l’année dernière”. Mais en dépit de la baisse des prix du cheptel, il n’est toujours pas enregistré de dynamisme de l’activité d’achat sur les marchés aux bestiaux alors qu’il ne reste plus qu’une semaine avant la date de célébration de l’Aïd, fait-on remarquer.
Certains éleveurs exprimeront même leur crainte de voir durer cette situation qu’ils imputent plus particulièrement à la fermeture des frontières, facteur qui empêche tout mouvement de cheptel vers les pays frontaliers, notamment en direction de la Tunisie. “Ce sont des prix défavorables aux éleveurs qui, pour la plupart, attendent l’occasion de l’Aïd pour couvrir leurs frais d’acquisition des aliments du bétail et des autres frais liés au déplacement du cheptel et la location des terres de parcours et de nourriture”.
L’autre remarque est celle relative au nombre de points de vente autorisés par l’administration qui a été réduit par rapport à l’année dernière, passant de 23 à 18 points, conformément à l’arrêté du wali n° 857 du 24/07/ 2019. Autre contrainte pour les éleveurs, celle de disposer d’un certificat sanitaire délivré par les services vétérinaires public et privé pour tout mouvement de cheptel et de vente dans les 8 marchés à bestiaux, 6 marchés hebdomadaires et 4 aires de vente.
M. E. B.
Pour les éleveurs et les maquignons rencontrés dans ces marchés, les prix sont jugés favorables à l’acheteur et sont “à la portée de n’importe quelle bourse moyenne ; ils sont même inférieurs d’environ 10 000 DA à ceux de l’année dernière”. Mais en dépit de la baisse des prix du cheptel, il n’est toujours pas enregistré de dynamisme de l’activité d’achat sur les marchés aux bestiaux alors qu’il ne reste plus qu’une semaine avant la date de célébration de l’Aïd, fait-on remarquer.
Certains éleveurs exprimeront même leur crainte de voir durer cette situation qu’ils imputent plus particulièrement à la fermeture des frontières, facteur qui empêche tout mouvement de cheptel vers les pays frontaliers, notamment en direction de la Tunisie. “Ce sont des prix défavorables aux éleveurs qui, pour la plupart, attendent l’occasion de l’Aïd pour couvrir leurs frais d’acquisition des aliments du bétail et des autres frais liés au déplacement du cheptel et la location des terres de parcours et de nourriture”.
L’autre remarque est celle relative au nombre de points de vente autorisés par l’administration qui a été réduit par rapport à l’année dernière, passant de 23 à 18 points, conformément à l’arrêté du wali n° 857 du 24/07/ 2019. Autre contrainte pour les éleveurs, celle de disposer d’un certificat sanitaire délivré par les services vétérinaires public et privé pour tout mouvement de cheptel et de vente dans les 8 marchés à bestiaux, 6 marchés hebdomadaires et 4 aires de vente.
M. E. B.
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