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Spartacus, un Numide ?

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  • Spartacus, un Numide ?

    Publié par Kader Bakou

    Spartacus est un film de Stanley Kubrick, sorti en 1960, adapté du roman du même nom de Howard Fast. En 2017, ce péplum est sélectionné pour être conservé par le National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès américain pour son importance culturelle, historique ou esthétique. Il raconte l’histoire de Spartacus, le chef de la révolte des gladiateurs et des esclaves contre la puissante Rome. Des historiens ont écrit que Spartacus est un Thrace de nation, Numide de race, plus précisément de l’actuelle Algérie.
    Les Grecs revendiquent Spartacus. Le nom du club sportif Spartak de Moscou est en hommage à Spartacus. L’URSS, d’ailleurs, organisait les jeux sportifs internationaux, les Spartakiades.
    En Algérie, on ne sait même pas qu’il est notre ancêtre !
    K. B. 
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    à l'époque il utilisait aussi sa chemma

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    • #3
      Je suis Spartacus !


      Spartacus était soldat libre et un bon tacticien par excellence qui réclame la liberté par une révolte bien organise
      Dernière modification par katiaret, 07 août 2019, 01h02.
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        apparemment c'est lui le premier à avoir utilisé l'expression : yetne7aw ga3.....

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        • #5
          Spartacus est un Thrace de nation, Numide de race, plus précisément de l’actuelle Algérie.
          moi j'ai entendu qu'il etait de la tribu des ighawawen.

          oulaho a3lam.

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          • #6
            Il fallait la faire celle-là !

            Des historiens ont écrit que Spartacus est un Thrace de nation, Numide de race, plus précisément de l’actuelle Algérie. [...] En Algérie, on ne sait même pas qu’il est notre ancêtre !
            C'est bien la première fois que je lis une chose pareille, et c'est singulièrement ėffronté en terme d'incohérence ! "Thrace de nation, numide de race", une perle !
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #7
              Harraga algérien, capturé par les Romains qui en firent un esclave ; il déclencha une révolte pour libérer les esclaves en Italie
              « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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              • #8
                C'est bien la première fois que je lis une chose pareille, et c'est singulièrement ėffronté en terme d'incohérence ! "Thrace de nation, numide de race", une perle !
                tout est bon pour se faire valoir.

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                • #9
                  apparemment c'est lui le premier à avoir utilisé l'expression : yetne7aw ga3....
                  La bataille de Cannes est une victoire décisive d'Hannibal sur les légions romaines, au cours de la deuxième guerre punique.
                  Le 2 août 216 av. J.-C., le général carthaginois écrase les troupes romaines, deux fois et demi plus nombreuses, grâce à une manœuvre géniale qui est depuis 22 siècles toujours étudiée dans les écoles de guerre.
                  Cette victoire lui permet de s'établir durablement dans le sud de l'Italie.cette armée est constituée de fantassins et d'infanterie Africaine et Gauloise, et de Cavalerie Numide sur un flanc et la cavalerie espagnole et gauloise sur l'autre! sous le commandement de Maharbal !

                  dz(0000/1111)dz

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                  • #10
                    il est thrace! on a assez d'africains, de numides, de maures connus pour aller chercher d'autres improbables. Ridicule aussi de distribuer des CIN.

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                    • #11
                      Crassus et la fin de Spartacus

                      À Rome, de plus en plus isolée dans une Italie où des dizaines de milliers d'esclaves révoltés réduisaient à néant toute sécurité, l'angoisse, la peur de la famine montaient. Le Sénat destitua les consuls de leur commandement et confia un imperium absolu au préteur Crassus, magnat richissime qui n'avait cessé d'accroître son immense fortune dans des tractations peu honnêtes. Il était le parfait représentant des grands propriétaires de la noblesse romaine, les maîtres des troupeaux serviles. Il recruta et arma 50 000 hommes, dont 30 000 à ses frais, et il prit l'offensive à l'automne 72. Spartacus et les siens furent investis dans l'isthme de Reggio de Calabre, la pointe de la botte. Cependant, en février 71, Spartacus parvint à forcer le blocus. Déjà, plusieurs bataillons d'esclaves avaient été anéantis. En mars, l'armée de Crassus rencontra en Lucanie Spartacus et le gros de ses forces. Crassus sut donner aux siens l'élan nécessaire, les esclaves furent écrasés et Spartacus mourut dans le combat après avoir vendu chèrement sa vie.

                      Les bandes de survivants furent pourchassées et massacrées, par Crassus en Italie du Sud, et aussi par Pompée, qui rentrait d'Espagne, dans le Nord où il tua 5 000 fuyards. Crassus crucifia 6 000 prisonniers le long de la route du retour, de Capoue à Rome.

                      Les succès de Spartacus s'expliquaient assez bien par le fait que l'essentiel des armées romaines était occupé à des guerres lointaines, en Espagne et en Orient. Tôt ou tard, Rome ne pouvait manquer de se ressaisir. La révolte de Spartacus devait donc finir comme les précédentes. Il en demeura pour les Romains un souvenir terrible et pour les modernes un symbole de la révolte des opprimés contre l'injustice de leur sort.

                      UNIVERSALIS
                      partacus : le gladiateur révolté
                      Spartacus était un gladiateur d’origine thrace. A Rome, on aimait voir les combats dans l’arène, entre deux hommes ou contre des lions, parfois aussi des ours. Mais révolté contre l’esclavage dont il était une des nombreuses victimes, Spartacus entraîna 150 000 esclaves à se rebeller avec lui.
                      Dans cette armée improvisée, les esclaves avaient le rôle de soldats et les gladiateurs celui de chefs. L’insurrection commença avec Spartacus, Crixus et Oenomaus qui brisèrent les portes de l’école de Lentulus de Capoue, aidés par une trentaine de compagnons. Après avoir réunis relativement rapidement dix mille hommes de la même condition, ils partirent s’installer sur le Vésuve. Mais assiégés par Clodius Glaber, « ils se laissèrent glisser, à l’aide de liens faits de sarments, à travers les gorges du cratère de la montagne jusqu’à sa base même. » Les camps après les autres, ils les attaquèrent tous - ou presque. Ils procèdent également au massacre, ainsi qu’au pillage dans certaines villes, comme celles de Nole et Nucérie, Thurium et Métaponte. Et plus les massacres ont de succès, plus les esclaves osent rejoindre l’armée. Le projet de Spartacus devient même celui de « marcher sur Rome ».
                      La mort de Spartacus est mitigée. Certains historiens disent qu’en cherchant à fuir en Sicile sur des radeaux, il serait mort au combat, tel un vrai héros. Mais une autre fin plus tragique lui est aussi attribuée. L’armée de Spartacus aurait été réprimée par les forces supérieures, et l’ancien gladiateur aurait terminé sur une croix, environ cent ans avant la mort de Jésus-Christ dont le châtiment fut le même.
                      SOURCES Magazine PARKEO, un esclave à Rome
                      Dernière modification par nacer-eddine06, 06 août 2019, 23h28.
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                      • #12
                        Spartacus, un Numide ? Kirk Douglas ?

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                        • #13
                          La révolte ou rébellion est un sentiment d’indignation et de réprobation face à une situation.
                          Elle est aussi, dans un sens plus précis, le refus actif d'obéir à une autorité.
                          Elle correspond donc à une large gamme de comportements : non-respect des normes sociales, désobéissance, tentatives d’insurrection, mutineries, rébellions, tollés.
                          Celui qui se soulève de cette façon est désigné comme rebelle.

                          La scission violente de la rébellion prouve à la fois son enracinement ethnique, la faiblesse de ses revendications idéologiques, mais aussi, paradoxalement, ses capacités de survie et d’adaptation, notamment pour avoir continué à résister au camp loyaliste.

                          La violence militaire, criminelle ou politique, en zone rebelle, est mal connue et mal documentée.
                          dz(0000/1111)dz

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                          • #14
                            À votre avis les autorités de l'époque ont elles interdit le drapeau Numidien..... Dans les arènes de Rome ?....
                            C'est sûrement la raison qui a décidé que Jugurtha et par la suite Les trois guerres punique qui opposèrent durant près d’un siècle la Rome antique et la civilisation carthaginoise ou civilisation punique et les Numides.
                            La question qui se pose est : contre qui cette jeunesse Amzighe pousse ces slogans?: contre les romains c'est déjà fait, contre les français c'est déjà fait, alors qu'est ce qui reste comme occupant et colonisateur de l'Afrique du Nord ? c'est l'arabe ne déplaise à cette élite berbère Algérienne arabisée- arabisante, c'est bien l'arabe dans toute sa dimension qui est visé.
                            Ce peuple réunifier a du mal à comprendre après que ses ancêtres lui ont laissé un territoire immense ils se retrouver aujourd'hui sans le moindre lopin de terre où ils peuvent planter leurs drapeaux en toute liberté et le voir aussi flotter aux Nations Unis au milieu des pays libres et indépendantes.

                            N'en déplaise à ces militaires soi-disant intelligents, cultivés et donneurs de leçons , c'est la jeunesse Amazighe qui est dans son plein droit, car elle sait très bien que jamais le monde Amazigh ne sera uni avec l'Arabe à sa tête, la preuve est qu'il enferme encore aujourd'hui le peuple autochtone légitime dans des frontières hermétiques pour l'empêcher de circuler librement sur sa terre. Cette jeunesse ne veut plus faire partie de ceux qui baissent la tête, elle veut défendre la mémoire de ses ancêtres qui lui ont légué un bien inestimable celui d' akal" et d'awal". (terre et langue)

                            On est libre quand on se gouverne soi-même.

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                            • #15
                              Selon Plutarque, il serait Numide. Après qu'importe on retiendra de lui c'est qu'il aspirait à être un homme libre.
                              "Que choisir entre la vie et l'honneur?
                              La première est plus belle mais l'honneur est plus eternel!"
                              Ali Gouasmi (Allah y rahmou)

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