Les enfants de la rue…
Mes voisins de palier, ici, à la rue des petites perles
Où chaque jour, les joies et les larmes y déferlent
Nous ont habitués à jongler savamment avec la rime
Et nous laissent souvent entendre des vers sublimes.
On y rencontre à coup sûr, de bien agréables créatures,
Et on y palpe chez certains des sentiments vraiment purs.
Ce charmant lieu de culture doit être à tout prix, préservé
Que ses membres le protègent comme un livre de chevet !
On pourrait facilement s’y faire des amis véritables.
Pour les âmes sensibles, notre rue leur est bien profitable.
On y retrace des exaltantes et merveilleuses aventures
Certains y trouvent même des remèdes à leurs blessures.
Majestueuse Mordjane, tu sais si bien nous faire rêver.
Par ton verbe admirable qui est de nos jours, entravé.
De tous les épris de rimes, tu es sans doute, la princesse
Ils savourent tes poèmes qui les comblent d’allégresse.
Je vais ensuite à Larri, cet ami qui a toujours partagé,
Ses écrits, ses souvenirs, ses fables et aussi ses projets.
Qui suis-je, moi, pour disserter sur cet éminent virtuose,
Magicien des vers, des legendes en rimes et en prose.
Chapeau ! Je tire ma révérence devant tous ses écrits,
Et devant ses personnages lorsqu’il nous les décrit
Il transforme les mots, les insuffle, et en fait des délires,
De beaux poèmes harmonieux qu’il faut lire et relire.
Maysarah, ancre un poème aux passants à chaque réverbère,
Son ramage séduisant les convainc qu’ils ne sont plus solitaires.
Grâce à elle, s’habitue à venir alors, ce promeneur qui déambule,
Dans notre rue, en quête de mots qui réchauffent ou qui brûlent,
Tel un matador qui fait valser à loisir son taureau dans l’arène
Elle assemble ses peines pour en faire tout un chant de sirènes
Un à un elle rassemble savamment, tous ces jolis mots dispersés
Les dessine en rêves séduisants, mais conjugués souvent au passé.
Bien frappants sont les textes déposés par la diablesse, Lilly
Je m’abreuve de tous ses mots sans retenue, quand je la lis.
Est lui aussi, d’un style à part, ce que nous narre Stranger
Comme d’autres, Il a vécu je crois, des moments bien amers.
Que ceux que je n’ai pas pu citer me pardonnent ce faux bond
Chevalblanc, Votre présence protège notre rue de l’abandon
Tin, Chamâ, et les autres vous avez aussi réussi à faire renaître
Les mots ‘’amitié’’ et ‘’amour’’ qui ont tendance à disparaître.
M.A 24/03/2007
Mes voisins de palier, ici, à la rue des petites perles
Où chaque jour, les joies et les larmes y déferlent
Nous ont habitués à jongler savamment avec la rime
Et nous laissent souvent entendre des vers sublimes.
On y rencontre à coup sûr, de bien agréables créatures,
Et on y palpe chez certains des sentiments vraiment purs.
Ce charmant lieu de culture doit être à tout prix, préservé
Que ses membres le protègent comme un livre de chevet !
On pourrait facilement s’y faire des amis véritables.
Pour les âmes sensibles, notre rue leur est bien profitable.
On y retrace des exaltantes et merveilleuses aventures
Certains y trouvent même des remèdes à leurs blessures.
Majestueuse Mordjane, tu sais si bien nous faire rêver.
Par ton verbe admirable qui est de nos jours, entravé.
De tous les épris de rimes, tu es sans doute, la princesse
Ils savourent tes poèmes qui les comblent d’allégresse.
Je vais ensuite à Larri, cet ami qui a toujours partagé,
Ses écrits, ses souvenirs, ses fables et aussi ses projets.
Qui suis-je, moi, pour disserter sur cet éminent virtuose,
Magicien des vers, des legendes en rimes et en prose.
Chapeau ! Je tire ma révérence devant tous ses écrits,
Et devant ses personnages lorsqu’il nous les décrit
Il transforme les mots, les insuffle, et en fait des délires,
De beaux poèmes harmonieux qu’il faut lire et relire.
Maysarah, ancre un poème aux passants à chaque réverbère,
Son ramage séduisant les convainc qu’ils ne sont plus solitaires.
Grâce à elle, s’habitue à venir alors, ce promeneur qui déambule,
Dans notre rue, en quête de mots qui réchauffent ou qui brûlent,
Tel un matador qui fait valser à loisir son taureau dans l’arène
Elle assemble ses peines pour en faire tout un chant de sirènes
Un à un elle rassemble savamment, tous ces jolis mots dispersés
Les dessine en rêves séduisants, mais conjugués souvent au passé.
Bien frappants sont les textes déposés par la diablesse, Lilly
Je m’abreuve de tous ses mots sans retenue, quand je la lis.
Est lui aussi, d’un style à part, ce que nous narre Stranger
Comme d’autres, Il a vécu je crois, des moments bien amers.
Que ceux que je n’ai pas pu citer me pardonnent ce faux bond
Chevalblanc, Votre présence protège notre rue de l’abandon
Tin, Chamâ, et les autres vous avez aussi réussi à faire renaître
Les mots ‘’amitié’’ et ‘’amour’’ qui ont tendance à disparaître.
M.A 24/03/2007
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