Des étudiants, militants du mouvement populaire, ont envahi ce samedi 17 août 2019 le Centre culturel de la rue Larbi Ben M’hidi à Alger, où devait se dérouler l’installation d’un “comité de sages” annoncé cela fait plusieurs jours par Karim Younes, coordinateur panel de dialogue et de médiation.
Ces étudiants, qui prennent part chaque mardi à la marche de leurs camarades à Alger, ont surpris les personnalités de ce panel en occupant la scène tout en scandant “pas de dialogue avec la bande”.
Ils ont également affirmé que les syndicats des étudiants “ne les représentaient pas”.
Après plusieurs tentatives de les calmer et de les inviter à prendre la parole, de la part de la constitutionnaliste Fatiha Benabbou et de l’avocate Fatma-Zohra Benbrahem, qui fait l’objet d’une plainte, l’un des étudiants a pris le micro pour rappeler le rejet des manifestants de ce panel de dialogue et des élections sous “ce gouvernement illégitime”.
Il a également posé quelques questions à Karim Younes sur la légitimité du gouvernement Bedoui avant de réitérer le refus, exprimé par les manifestants chaque vendredi, de prendre part à des élections sous Bedoui.
Les étudiants s’étaient rassemblés à l’entrée du centre culturel, en réponse à un appel à manifester lancé à l’université Alger 1. “Le Panel du dialogue que le peuple refuse a prévu de rencontrer un syndicat estudiantin “cachiriste” appelé UGEL, afin que ce dernier représente les étudiants et donc de légitimer ce dialogue”, lit-on sur cet appel sur Facebook.
HuffPost Algérie
17/08/2019
Ces étudiants, qui prennent part chaque mardi à la marche de leurs camarades à Alger, ont surpris les personnalités de ce panel en occupant la scène tout en scandant “pas de dialogue avec la bande”.
Ils ont également affirmé que les syndicats des étudiants “ne les représentaient pas”.
Après plusieurs tentatives de les calmer et de les inviter à prendre la parole, de la part de la constitutionnaliste Fatiha Benabbou et de l’avocate Fatma-Zohra Benbrahem, qui fait l’objet d’une plainte, l’un des étudiants a pris le micro pour rappeler le rejet des manifestants de ce panel de dialogue et des élections sous “ce gouvernement illégitime”.
Il a également posé quelques questions à Karim Younes sur la légitimité du gouvernement Bedoui avant de réitérer le refus, exprimé par les manifestants chaque vendredi, de prendre part à des élections sous Bedoui.
Les étudiants s’étaient rassemblés à l’entrée du centre culturel, en réponse à un appel à manifester lancé à l’université Alger 1. “Le Panel du dialogue que le peuple refuse a prévu de rencontrer un syndicat estudiantin “cachiriste” appelé UGEL, afin que ce dernier représente les étudiants et donc de légitimer ce dialogue”, lit-on sur cet appel sur Facebook.
HuffPost Algérie
17/08/2019
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